Au cimetierre [ Pv Tom ]

Lorenzo, après son cour décida de se rendre au cimetierre. Depuis qu'il était élève, il ne s'y était jamais rendu. Lui qui y allait chaque semaines, chaque jour. Il s'arretait tout simplement devant une tombe. Une tombe qui n'était pas n'importe laquelle. C'était celle de sa mère. Le professeur passait son temps à dire qu'il ne l'avait pas porté dans son coeur. Que ce n'était que sa génitre. La salo*e qui l'avait porté. Oui. Celle qu'il considérait vraiment comme sa mère était la femme d'affaire. Celle qui dès son plus jeune âge l'avait élève en Italie avec son vrai père.

Perdre un membre de la famille était quelque chose de commun à présent dans le monde des sorciers, surtout en cette periode de résurrection de Voldemort. S'il détestait vraiment sa mère. Pourquoi était-il devant cette tombe. Lui même n'en savait rien. Peut-être pour se rémunerer la rencontre avec Sylia. C'était ici qu'il avait été heureux pour la première fois en posant ses yeux sur une fille. Il sourit à cette idée. Ce n'était pas un de ces sourires malsaints qu'il avait l'habitude d'employer. Non... Un vrai sourire.

Lorenzo sortit sa baguette et l'agita au dessus de la tombe. De nouvelles fleurs apparirent faisant disparaitres les anciennes qui n'avaient pas été remplacées depuis 3 ans ... Personne n'était donc venu depuis Lorenzo, il y a trois ans, en tant qu'élève. C'est comme si personne ne l'avait connu. Seul Lorenzo.. Il rangea sa baguette dans sa poche et mit ses mains dans les poches de sa robe de sorcier.

Il entreprit une marcha lente entre deux rangées de tombes. Il n'avait pas l'intention de partir. Juste de marcher dans un lieu où à cette heure-ci, il était sûre de n'y voir personne. Il était seul, et c'est ce qu'il aimait par dessus tout. Être seul au monde, n'avoir de compte à rendre à personne.. Il s'arretait de temps à autre devant certaines tombes, tout en reconnaissant les noms inscrits, étant des parents d'élèves qu'il avait connu pendant ses études, ou tout simplement les élèves eux mêmes. Il fut surprit de voir que certains avaient quitté ce monde bien tôt. Mais il s'en moquait, il ne les cottoyaient pas.

Lorenzo était dans ses pensées lorsqu'il remarqua quelque chose au loin l'espace d'une fraction de seconde, qu'il n'eut donc pas le temps d'analyser et donc de décrire. Il resta longuement son regard poser à cet endroit précis avec l'esperance de voir réapparaitre de nouveau cette chose qu'il avait vu, curieux.

[hj : Bon, ce n'est pas très consistent mais c'est tout ce que mon cerveau est capable de répondre pour l'instant.]

- Sforea ounira.

Cette seule formule brisa un silence installé depuis un moment. Une unique rose noire apparut dans une main gantée. Le sorcier rangea sa baguette et déposa la fleur.

Citation :: Pauline Guichard
12/7/1966 4/5/1981

La tombe était simple, blanche, et seul le fleur que venait de déposer cette personne au visage caché sous un capuchon. La main lâcha la fleur qui tomba doucement sur la pierre froide. L'étranger se retourna et marcha quelques instants avant d'entendre un bruit... Une présence ?

*Ombus sferato*

Pas un mot... Plus personne. Le sorcier avait "fondu" pour disparaître. Il réapparut quelques mètres plus loin dans le dos de celui qui l'avait surpris. Tom regarda l'inconnu. Un legilimens de bas niveau devait pénétrer l'esprit de sa cible en passant par son regard. A son niveau le sorcier de l'ombre n'avait qu'à se trouver à moins d'un mètre de sa victime. Il laissa donc son mental couler de façon insensible dans la tête de Lorenzo. Seul un occlumens de très haut niveau arrivait à lui fermer son esprit parfaitement. Il eut l'agréable sensation d'apprendre que celui qui ce tenait devant lui ne maîtrisait pas cet art. Il ne perça pas les sentiments profonds de l'homme mais regarda tout ce qui ne lui demandait aucun effort. Lorsqu’il eut finit l’introspection le sorcier hocha la tête sous son capuchon et prononça quelques mots d’une voix agréable mais méfiante :

- Attendez-vous quelqu’un ? D’après l’expression de votre visage je crois que vous avez déjà rendu visite à celle que vous vouliez voir.

[HJ : Moi de même .. ]

Lorenzo tendit sa baguette et tourna sur lui même pour voir une présence. Il se savait en présence de quelqu'un. Il apperçut brievement une silouhette. Cependant, alors il n'eut le temps de voir ce que celle-ci représentait réellement qu'il ne la vit plus. Fallait-il croire que son esprit lui jouait des tours ? Serais-ce la fatigue ? Il ne le savait pas. Il se remit façe à la tombe qu'il regardait depuis un certain nombre de temps à présent.

Il ne remarqua pas le moin du monde qu'il était épié par quelque chose qui se trouvait juste derrière lui. Il oublia vite ce qu'il venait de voir, ou ce qu'il avait cru voir et se reconcentra totalement sur la tombe, les mains dans les poches, la garde baissée avec la baguette de nouveau rangée. Pas très vigilant pour un membre de l'ordre. Il ferma les yeux pensant a beaucoup de choses, ayant rapport avec ce qu'il avait en façe de lui ou pas.

Lorenzo faillit avoir une crise cardiaque lorsqu'il entendit une voix et sorti avec un reflexe incalculé et se retourna pour se retrouver façe a quelqu'un portant une capuche. Il pensa d'abord l'espace d'une fraction de seconde que c'était un mangemort et s'appréta a lancer un sort. Mais s'habituant à ce qu'il voyait, il était claire que ce n'était pas un mangemort.

- Que .. Pardon ? Qui êtes vous !

Il était prit à cours ! Il ne savait pas ce qu'il avait en façe de lui ! Il ne baissa pas sa garde, prèt à tout moment de l'attaquer. Comment l'homme pouvait-il avoir lu l'expression de son visage ? Il n'était pas encore façe à lui lorsque celui-ci lui avait parlé. Et après avoir fait le lien entre ce qu'il avait cru voir et l'homme qui se tenait devant lui, il les relia. Il avait seulement pu voir son visage à ce moment là, mais avait dû porter un visage prèt a se battre et non amplit de tristesse comme à l'instant.

i]La main gantée du sombre sorcier se déplaçat légèrement sous sa longue robe ténébreuse. Contrairement à celle de l'italien la baguette de Tom était restée rangée dans l'un des nombreux replis mais pouvait sortir et lancer un sortilège en quelques fractions de seconde. Derrière son voile sombre le visage du sorcier regardait profondément celui de Lorenzo. Bien évidemment il lui avait été impossible de lire quoi que se soit sur son visage lors du bref coup de regard qui avait été échangé. Ce qu'il avait dit il l'avait vu directement dans l'esprit de Lorenzo.[/i]

- Que .. Pardon ? Qui êtes vous !

Cette question dessina un sourire caché sur le visage de Tom. C'était tout le temps la question qui revenait. Pourquoi les gens ne voulaient jamais répondre à la question qu'il leur posait ? Est-ce qu'un inconnu ne pouvait pas poser une simple question ? Mais surtout la réponse qu'il donnait allait être la réponse habituelle :

- Je me nomme Tom Pereth mais je sais que cela ne vous dira sans doute rien.

Le sorcier fit quelques pas en arrière En effet, maintenant que Lorenzo s'était retourné il préférait pouvoir l'observer entièrement pour ne pas se faire surprendre en cas de nécessité de combat.

- Maintenant que vous savez qui je suis, répondrez-vous à ma question professeur Christensen ?

Tom se rendit compte qu'il s'attendait, instinctivement, à ce que son père entre une nouvelle fois dans son esprit pour lui révéler ce qu'il pouvait savoir sur lui. Etrangement rien ne vint. Cet homme était donc arrivé à Poudlard depuis peu de temps. Tant mieux, ainsi il n'aurait pas forcément eu le temps de se créer trop de liens et pourait donc être dirigé dans de bonnes voix.

[HJ : désolé du temps.]

Lorenzo se résigna à ne pas quitter des yeux l'être qui se trouvait devant lui, trop mysterieux à son gôut. Cet homme était-il dangereux ? Innofensif ? Un mangemort ? Il n'en savait rien. Il ne l'avait jamais vu auparavant ni quoi que ce soit d'autre qui pouvait s'y rapprocher. Ainsi, rester sur ses gardes sans pour autant attaquer était la meilleure chose qu'il puisse faire.

L'homme mit un certain temps à répondre à la question de Lorenzo. Cependant, la façon dont-il se présentait semblait être une habitude. Comme s'il l'avait apprit par coeur. Ceci laissa Lorenzo perplexe et fronça les sourcils, d'autant plus que son nom ne lui disait rien. Pourtant, a l'Ordre, il n'était pas coutûme d'ignorer le nom des ennemis, ou pas.

Le sorcier Italien ne prit pas la peine de se présenter. Il n'en éprouvait pas le besoin, ni l'envie. Cependant, il resta figé à l'entente de son nom. Jamais il n'avait prononcé son nom devant l'Homme, ni sa fonction de professeur ! A prioris, l'homme connaissait Lorenzo, qui lui même ne connaissait pas son interlocuteur.
L'Homme souhaitait savoir si Lorenzo attendait quelqu'un bien qu'il lui semblait qu'il avait dejà rendu visite a celle qu'il voulait voir. Celle... Ce mot resta en travers de Lorenzo. Décidemment cet homme là ne prédissait rien de bon. La garde de Lorenzo n'en fut que plus améliorée, prète a tout moment. Il resta cependant impassible dans ses propos.

- En effet, la personne que je souhaitai voir a dejà reçue ma visite. Je n'attend donc personne, si telle est votre question.

L'Italien ne pu resister une minute de plus à la tentation. Il se savait en danger, pourquoi n'avait-il pas agit plus tôt ? Cet homme n'avait rien d'un sage. Loin de là. Sa baguette, prète à l'attaque se leva et Lorenzo tenta d'envoyer un sortilège envers l'Homme

- Expulso !

Derrière son masque de ténèbres le sorcier souriat. Il sentait la tension s'installer dans l'italien. Il n'avait pas prit la peine de quitter l'esprit de Lorenzo et cela l'amusait encore plus. Ce sorcier était puissant mais trop instable, il essayait bel et bien de se contenir mais la legilimencie de Tom semblait être se qui dérangeait le plus le sorcier italien. L'Ombre posa alors sa dernière carte en prononçant le nom du sorcier. Cela parut le destabiliser suffisamment pour le mettre en colère. Une image lui apparut alors très clairement et Lorenzo n'avait pas terminer de lancer son sort que le sorcier l'avait déjà paré d'un Protego informulé.

Intérieurement Tom sentit une infime douleur, un pincement au coeur, il utilisait le même sortilège qu'un sorcier normal et ce uniquement pour ne pas révéler les pouvoirs qu'il possédait. Cela le révoltait. Ce reprenant immédiatement il lança cependant un Stupefix informulé tout en se préparant à parer un éventuel sortilège de la part de l'italien :

- Je vous pensez plus sage que ça professeur Christensen. Vous pensez que je représente un danger et vous ne me lancez qu'un Expulso alors que vous n'avez pas hésité à faire usage d'un sortilège Impardonable sur une élève. Vous me décevez vraiment professeur.

Lorenzo n'éprouvait aucune sympathie envers son interlocuteur. Bien au contraire. De plus, l'Italien ne se sentait pas protégé. Comme s'il était nu. Il ne sut pas comment l'exprimer, ni comment faire disparaître ce mauvais sentiment ! Il était peut-être interieurement à la merci de l'homme ! Il n'en n'était pas encore certain. Christensen n'avait plus l'intention de baisser sa garde. Trop risqué.

Le professeur vit son sort se faire contrer. Il n'abaissa pas sa baguette pour autant. Il était certain que son adversaire allait jeter un autre sort. Il s'était habitué à faire façe à des sorciers utilisant des sortilèges informulés. Par instinct, il contra donc le sortilège de l'homme, guidé par son intuition. Lorenzo s'appréta a lancer un nouveau sortilège lorsque son interlocuteur reprit la parole. Le regard noir de l'Italien regarda sévèrement l'inconnu.

Lorenzo se glaça. Il n'avait pas rêvé ce qu'il venait d'entendre. Comment pouvait-il être au courant pour.. pour Hedwige ? Lorenzo n'en avait plus aucun doute, l'étranger lisait à travers l'esprit. C'était un Légilimentien occlumentien. Lorenzo tenta de protéger son esprit tout en se concentrant à la réponse qu'il allait apporter à l'homme.

- Ce que je fais avec mes élèves ne vous regarde pas le moins du monde ! Vous n'êtes personne pour me juger, ni personne dans cette école ! Je n'ai pas à me justifier !

L'homme était-il jaloux de ne pas avoir reçu lui même un sortilège impardonnable ? Il allait être servit ! Lorenzo lança un endoloris vers l'autre.

[hj : Dsl, pas vraiment d'inspiration]

Tom eut un petit rire ironique face à la réponse de l'Italien.

- Savez-vous que l'usage d'un sortilège impardonnable peut vous valoir un enfermement à vie à Azkaban ? Je pense que oui. Vous savez donc que je devrais vous dénoncer pour cela. Bien sûr il me faudrait un témoin... Peut être cette Hedwige. Pensez-vous qu'elle serait prête à vous dénoncer elle aussi ?

Lorsqu'il vit le sortilège fuser vers lui, Tom esquissa un rapide geste de sa baguette et "fondu" dans le sol avant de réapparaître derrière Lorenzo.

- Voyons, mettez-y un peu du vôtre, nous risquerions d'y passer toute la nuit.

Toujours concentré sur les pensées du sorcier Tom dû mettre un peu plus du sien pour voir parfaitement tout ce que Lorenzo laissait clairement transparaître. Plus il s'ennervait moins il faisait attention à ses pensées, Peut être qu'il connaissait quelque chose qui pourrait interrésser Tom.

(ps : On dit Legilimens et Occlumens)

[Hj : pardon de la faute ]

Lorenzo eu un petit sourire lorsque Tom lui répétait que l'usage d'un sortilège impardonnable était interdit. Il ne put s'en empecher. Pour quel homme se prennait-il pour avoir l'audace de le dénoncer ? Qui était-il pour connaître ses faits et gestes, mais aussi l'existence d'une élève inutile comme Hedwige ?

- Plait-il ? D'où tenez vous ces informations Tom ! Savez vous au moins qui je suis vraiment ? Savez vous ce que représente celle élève réellement ? Qui est-elle ? Qu'est-elle vraiment ? Qui est son père ? Dites moi tout étant donnez que vous avez l'air de connaître tout de tout sur tout ! Je vous éco...

Lorenzo n'eut pas le temps de finir que Tom "fondit". Lorenzo se tourna vivement et se retrouva de nouveau façe à façe à lui

- Que me voulez-vous, alors ! Vous n'êtes pas ici pour seul but d'essayer de m'impressioner avec vos pouvoirs !

Lorenzo s'ennervait de plus en plus. Le moindre de ses paroles n'avait que pour égal la puissance de sa voix. Ainsi, Lorenzo était sûre de se faire entendre ! Cependant, il ne pensait pas à contrôler ses pensées, ce qui pouvait s'avérer dangeureux.

Tom écouta plus ou moins attentivement les questions de Lorenzo mais se concentrait surtout sur les pensées du sorcier. Dès qu'il posait sa question Tom voyait en images parfaites la réponse. finalement il disparut pour éviter le doloris de Lorenzo. Lorsqu'il réapparut il éclata de rire.

- Mais, Lorenzo Christensen. C'est vous même qui m'avez confié ces informations. Vous sembliez avoir comprit il y a quelques instants mais votre énervement vous empêche de cacher vos idées.En tout cas je vous remercie. Vous venez de m'apprendre quelque chose de très intéressant.

Tom "écouta" alors la suite des paroles de Lorenzo tout en réfléchissant déjà à ce qu'il pourait faire de ces nouvelles informations. Voldemort avait donc une fille, Hedwige, également vampire. Le ton du sorcier italien ne perturba en rien Tom qui reprit, lui, avec le même calme qu'auparavant :

- En réalité je ne voulais rien de particulier. J'étais venu ici pour la même raison que vous, je vous ai vu et j'ai pris la décision de vous parler. Ce n'est pas moi qui ai lancé le premier sort. Quand à vous impressionner je n'en ai pas l'intention, non. Peut-être que ma façon de me mouvoir vous impressionne mais dans ce cas sachez que ce n'est pas volontaire.

Lorenzo était de plus en plus agacé par la façon d'âgir de Tom Pereth. Cet homme ne faisait que fondre pour réapparaître par derrière. Etait-il si faible pour ainsi fuire ? Lorenzo eu un léger sourire en lui même qu'il se forca à ne pas dévoiler à l'homme. L'Italien se retourna vers Tom, une nouvelle fois. Son agacement ne fut que plus fort lorsque l'homme ricana bruyament.

- Vous n'avez pas à parcourir mon esprit, mes pensées et mes idées ! Vous n'êtes pas haut placé pour ainsi vous le permettre !

Lorenzo ne faisait que s'ennerver de plus en plus. Il essayait cependant d'établir une barrière entre son esprit et celui de Tom qu'il ne percevait pas. Celà n'était pas de son ressort bien qu'il savait faire beaucoup de chose.
Lorenzo n'était pas sûre d'avoir comprit ce que Tom venait d'apprendre. Venait-il de lire quelque chose de nouveau en lui ? Ou bien était-ce seulement une allusion à quelque chose dont-ils venaient de parler.

- Qu'avez vous appris, Pereth !
Dit-il d'un ton menaçant tout en pointant sa baguette sur lui.

Le bel Italien n'essaya plus d'envoyer des sorts sur son adversaire étant donné qu'il les esquivait tous de manière lâche. Lorenzo ne supportait plus non plus la manière sereine qu'avait adopté l'homme. Celà lui rappelait étrangement la façon d'être du defunt Albus Dumbledore.

- Laissez moi douter, dès à présent que vos intentions ne sont plus les mêmes que lors de votre arrivée en ce cimetierre. Quant aux sorts que je viens de lancer, puis-je vous rappeler que vous vous êtes permis des choses que vous n'avez pas à faire ?

Lorenzo s'approcha de l'homme et n'en était qu'à quelques centimètres, façe à façe. Cependant, il n'arrivait pas à percevoir son visage, caché sous la capuche de sa cape si profonde. Lorenzo était nu à côté. Il essaya cependant de fixer l'endroit où devaient normalement se situer les yeux.

- Je répète ma question. Que me voulez vous, maintenant, concrètement !
Dit-il tout en articulant chacune des syllabes de sa phrases et en appuyant sur le dernier mot.

Lorenzo savait pertinament que Tom n'avait plus les mêmes intentions envers lui depuis qu'il l'avait croisé. Il le connaissait, peut-être trop bien à force de lire son esprit. Lorenzo essaya de nouveau d'établir une barrière sans pour autant savoir si c'était efficace. Tom avait peut-être deja decouvert sa faiblesse, mais si ce n'était pas le cas, autant la cacher car celà pouvait le rendre fortement vulnérable, contre son dépit.