Par une nuit froide d'hiver... [PV: Lorenzo]

Pourquoi était elle là? Elle n'avait rien à faire ici. Son regard parcouraitle ciel. Entre noir, bleu ancré et gris, elle ne voyait pas les couleurs, mais les étoiles. Malgré les nuages, elle guettait la moindre étoile. La lumière de la lune n'était pas suffisante pour éclairé sa nuit. Encore cette nuit, elle ne dormait pas. Elle ne dormait plus très bien. Et elle avait ses raisons.

Avait elle fait le bon choix au fond? N'aurait elle pas du continuer l'apprentissage d'Auror? Professeur... Ce n'était peut être pas pour elle. Mais en tant que membre de l'ordre, elle se devait de ne pas l'abandonner. Si Dumbledore et Melle Black lui avait fait confiance, cela ne devait pas être en vain. Doute. Elle se posait tant de questions, pour au final tout garder en son for intérieur. Lorsque Lorenzo lui avait posé toutes ses questions aux quidditch elle aurait du répondre. Se confier pouvait peut être lui faire du bien. Personne n'a jamais su quoi que ce soit du passé de la jeune femme. Peut être le moment était il venu de changer.

Elle fut soudainement bousculé par un crétin d'hiboux, sans doute sauvage qui venait s'habriter dans la volière. Elle le fussilla du regard et avait envie de le foutre dehors. Mais elle n'en fit rien. Elle restait là, à la fenêtre de la tour. Elle avait froid, mais elle s'en fichait. Elle ne pensait à rien.

Si. A Lorenzo. Mais qu'elle idiote elle était... Elle ne l'avait plus vu depuis une bonne semaine. Est ce qu'il lui en voulait? Elle voulait revenir en arrière et être moins orgueuilleuse. Ce qui était sur, c'était qu'elle n'était pas repartit du bon pied avec lui. Un simple larme s'écoula sur sa joue porcelaine.

C'était une journée maussade qui se présentait là. Le ciel était instable. Les nuages ne faisaient que des "va et viens", et le ciel ne faisait que de sombrent apparission. Malgrès celà, Lorenzo avait le devoir d'envoyer une importante lettre à l'Ordre. Il devait les informer de quelque chose. Après son cours de quidditch, il se rendit donc a la voilière en compagnie de lettre qu'il avait dejà écrit ce matin même. Il ne faisait pas très chaud non plus. Il se hata donc de rentrer.

Cela faisait à présent une semaine que Lorenzo n'avait pas vu Milena. Non pas qu'il l'évitait, mais juste qu'il n'avait pas trop apprécié le fait qu'elle n'avait pas souhaiter lui parler et préférer partir plutôt que d'affronter la vérité... Lorenzo s'ennervait pour un rien de toute façon, il avait peut-être mal réagit, mais trop orgueilleux pour se l'avouer, il se donna raison. Cependant, il lui arrivait de se surpendre en train de penser furtivement à la pauvre Milena. Qu'en était-il d'elle ? Pareil, lui semblait-il... Il en était presque persuadé de toute manière... Combien de jour cet écart allait-il duré ? Il préférait laisser le hasard commander la chose.

Ce fut donc après avoir traversé le parc, et parcourut le chateau que Lorenzo arriva au bas des escaliers menant à la voilière. Celui-ci monta les marches deux à deux histoire d'y arriver plus vite. Quelle ne fut pas sa surprise d'arriver façe a Milena à la voilière ! Prit au dépourvu, il en perdit ses mots.

- Mais qu'est-ce-que tu fais.. Enfin... Tu pleures ?

En effet, Lorenzo avait perçut une traçée sêche d'une larme qui avait coulé le long de sa joue. Il fronça les sourcils, la lettre pour l'Ordre à sa main. Il s'attendait qu'elle lui demande ce qu'il faisait là. Qu'avait-elle ? Malgrès lui, Lorenzo s'en préoccupait. Encore une fois, son comportement n'était pas habituel façe à Milena. Il n'en était que plus agacé. Il n'aimait pas agir en contradiction de lui même... Mais il n'y pouvait rien.... Si seulement il savait pourquoi... Tout serait beaucoup plus simple.

- Milena, je t'en prie, parles moi... Que t'arrive-t-il ? Je ne te connaissais pas aussi sensible d'antan...

Un frisson lui parcourut le dos. Le froid sans doute... Non. Lorenzo venait de faire irruption dans la pièce, une lettre à la main. Il fut surprit de la voir ici, en pleine nuit. Il faut dire que ce n’était pas un endroit recommandé pour attendre le jour. Mais lui, que faisait il ici ? S’il venait posté cette lettre, elle devait être importante. Personne ne poste ses lettres en pleine nuit. Milena ne chercha pas plus loin et le regarda brièvement. Il lui parlait.

- Mais qu'est-ce-que tu fais... Enfin...

Il avait l’air plus que surpris de la voir ici. Il en perdait ses mots. Mais alors qu’il se rapprochait, elle détournait la tête légèrement. Trop tard apparemment.

-Tu pleures ?

Elle avait envie de lui crier que oui, elle pleurait. Que s’était sa faute à lui, à elle… Mais ce soir elle n’en fit rien. Elle passa le bout de ses doigts sur la larme qui s’était évaporé sur sa joue puis prit un sourire le plus naturel possible. Elle se retourna vers lui, en essayant de la rassurer.

-Non… Je … […] Qu’est ce que tu fais là ?

Elle évita des explications débiles en lui retournant la question qu’il lui avait posé tout à l’heure. Mais il n’était pas dupe et enchainait sur les questions afin de la cerner. Et ca marchait plutôt bien, elle était, ce soir, impuissante suite à sa surprise de voir Lorenzo.

- Milena, je t'en prie, parles moi... Que t'arrive-t-il ?

- Mais rien je t’assure… Je…

Le jeune homme ne laissa pas la jeune femme continuer ses explications confuses. Il la coupa fermement.

-Je ne te connaissais pas aussi sensible d'antan...

-Autrefois je te cachais tout… Et… J’ai honte…

Ils se turent tout deux. Sur ses dernier mot, ellele regarda intensémment, un regard pur, plein de détresse et empli d'insinuation. Elle ne parvenait à détcaher son regard du sien. Milena commençait à se confier à lui. Mauvais signe… Cela voulait dire qu’elle devenait faible face à lui, qu’elle craquait… Qu’elle était faillible…

Lorenzo s'en était douté, Elle lui demanda ce qu'il faisait ici. De plus Milena semblait le fuir du regard. Il ne la comprenait pas. Elle avait beaucoup plus d'assurance avant... Vraiment plus. Avait-elle autant changé que ça ? Ou c'était simplement a cause de lui... Il n'en savait rien.

- J'envoi une lettre pour l'Ord... a quelqu'un.

Sous la précipitation, il faillit se trahir. Connaissait-elle l'Ordre ? Il n'en savait rien. Si c'était le cas, elle aurrait surrement comprie ce qu'il était sur le point de dire. Si elle en faisait partie, il ne l'avait jamais vu au siège.
Milena lui assurait qu'elle n'avait rien. Elle mentait. Il en était sûre. Il le lisait sur son visage. De plus, elle était confuse. Il se rapprocha d'elle histoire de la rassurer. Rien de plus pour le moment.
Il s'appréta a parler lorsqu'elle lui dit qu'autrefois, elle lui cachait tout. Il fut prit au dépourvu. De quoi parlait elle ? Que voulait-elle dire par là ? ....

- Comment ça ? Que me cachait-tu ? Expliques toi ... ?

Il s'approcha d'une chouette. De la sienne. Il n'avait ainsi, pas la nécéssitée d'annoncer l'adresse où l'animal devait se rendre. Il accrocha la lettre à sa patte délicatement et lui donna un peu à manger historie de ne pas partir le ventre vide et de ne pas perdre du temps à chasser. Il la caressa soigneusement avant de lui dire.

- Là ou tu sais, Hobbo. Va et ne perds pas de temps ! Cette lettre est importante ! Bonne chance ...

Elle regardait dehors lorsque Lorenzo prononça le morte "Ordre". Elle se retourna. Avait ell e bien entendu? Mais déjà, Lorenzo enchainait. Il s'était approcher de la jeune femme, sans doute pour la rassurer... Un frisson lui parcourut le corps.

*Pourvu qu'il ne s'approche pas trop encore...*

La question qui lui posa était des plus vagues. Il y avait tant de chose à dire... Elle voulait tout lui déballer, mais répondit simplement.

- Tout...! Mon passé, [mes sentiments], mes peines, mes problèmes...

Elle avait dit très brièvement les mots "mes sentiments" pour ne pas que ca s'entende. Son ton était grave et un peu lassé. Lorenzo se dirigea vers un hibou et lui accrocha un message à la patte. Le petit nom qu'il lui avait donné prouvait que c'était le sien. L'oiseau s'envola après avoir manger. C'était apperement un lettre importante. Tous laissait à penser que Lorenzo faisait partit de l'Ordre. Prendre un risque? Peut être bien....

- Tu fais partit de l'Ordre...?

Si la jeune professeur avait fait une gaffe, c'était la fin... Elle pouvait toujours inventé quelque chose, comme une groupe de rock ou des club... Elle attendit sa réponse en lee regardant... Ce suspens était insoutenable.

Lorenzo n'en pouvait plus. Bien qu'une fille dans le genre "déprimée" n'était pas des plus attirantes, il avait envie de l'embrasser. Il était dans sa nature Italienne d'avoir ce genre d'envie envers une fille. Mais généralement pour une fille si peu heureuse. Mais pour Milena, c'était différente. Il était prèt à faire le paris que s'il la draguerait un peu, elle se sentirait d'autant mieux. Il continua cependant à l'écouter, malgrès l'envie qui semblait de plus en plus présente. Il continua de s'approcha. Milena reculait légèrement. Malgrès la voix peu audible de la jeune professeur, il entendit particulièrement "sentiments".

- Tes sentiments ... ? Quels sentiments ?

Il comptait sur elle pour qu'elle ne mente pas, ou qu'elle ne la câche pas derrière une excuse bidon. Lorenzo, après avoir fait partir son hiboux, entendit la question de Milena... Elle en faisait partie. Celà n'avait plus aucun doute. Comment se faisait-il qu'il ne l'avait jamais vu au sein de l'Ordre ? Etait-ce le fait qu'il était beaucoup prit par l'école et que ses moments de détente ne coïncidaient pas avec ceux de Milena ? Peu importe...

- En effet, Milena. Je suis de l'Ordre et gardin du secret. Tout comme toi je présume ?

Cette question avait nécessitée beaucoup de force morale à Lorenzo. Il ne pouvait plus se tenir. Il s'approcha et lui caressa ses cheveux en la regardant droit dans les yeux. Il ne comptait pas l'embrasser. C'était à elle de le faire après tout. Chacun sa part. Il était à la fois doux et dragueur dans ses gestes. Il tourna autour de Milena, qui devait se sentir perdue entre la douceur et la méthode Italienne du bel homme. En tournant autour de Milena, il caressa très légèrement les fesses de Milena histoire de la faire frissoner. Il resta derrière elle, très proche, voir colée à elle. Il lui caressa le bras gauche tout doucement et déposa un baisé sur son épaule.

- Détend toi ma belle...

Il savait qu'à l'ordinaire, Milena n'était pas timide. Elle était ouverte et ne partirait pas en courant. Elle agirait. Il comptait sur elle. De toute manière, elle était prisonnière du charme de Lorenzo... Sa phrase qui paraissait si "déjà vu", n'avait, dans son ton, rien de tout celà. En effet, elle avait le même effet que ses caresses sur le bras de Milena.

Elle apréhendais la réponse de Lorenzo. Mais apparement, Milena avait vu juste. Lorenzo faisait bel et bien partit de l'Ordre. Elle était rassuré et délivré de cette pression qu'elle même s'était infligé en posant cette question. L'homme retournait déjà la question à la jeune professeur, et s'approchait d'elle petit à petit. Elle ne jugea pas utile de répondre, sans doute parce que cela était évident.

Plus il s'approchait, moins elle reculait, sans doute parce qu'il gagnait de l'espace, mais aussi parce qu'elle n'avait pas envie de fuir, mais au contraire, de retser avec lui. Que pouvait il bien arrivé de toutes façons...?

Tout peut arrivé. Lorenzo arriva près de la jeune femme. C'est lorsqu'il arriva devant elle que Milena se rendit compte à quel point il était grand... et séduisant. Elle le savait mais ses derniers temps, elle tentait simplement de l'ignorer. Pas facile en l'instan présent. Le jeuen homme tournait autour d'elle pour arrivé dans son dos. Il effleura au passage les fesses de la jeune femme, et Milena sut tout de suite, en un frisson, ce qui allait se passer. Lorenzo essayait de la séduire, et même de la tenter. Oui, de la tenter. Il savait sans doute que Milena n'atait pas insensible à son charme. La tenter était sans doute le meilleure moyen d'éveiller son envie. Le contact de son corp au sien l'afaiblissait peu à peu. Elle tentait de rester concentré et avait abaisser ses paupières. Elle restait tout de même droite. Ne pas céder, el se devait de ne pas céder. Un doux baiser fut déposé sur son épaule. Sa respriration devint forte et tremblantotante. Lorenzo était collé à elle. Il avait doucement carresser son bras et continuait en lui chuchotant d'un ton doucereux:

- Détend toi ma belle..

Et le comble, c'est que peu à peu, elle se détendit. L'emprise de Lorenzo sur elle ne faisait plus aucun doute. Mais pourtant... Il fallait qu'elle se détache de lui. Qu'elle ne céde sans fuir, qu'elle lui fasse face. Elle se retourna et se retrouvait aussi proche qu'elle ne l'était avant. La différenc était qu'elle était face à lui. Elle baissa les yeux un instant, n'osa pas le regarder, sans doute de peur de tomber dans son piège. Puis finalement elle releva ses paupières et le regarda intensément, lui montrant qu'elle pouvait elle aussi l'affronter. Ses lèvres était si proches de celles du jeune homme. Oh qu'elle était tentée... Prisonnière de son charme, alors que ses lèvres effleuraient celles du jeune homme, ses mots se perdirent dans un souffle... Un air de provocation s'était glissé dans sa voix.

-Tu crois pouvoir gagner à ce jeu... Mais jusqu'où es tu prêt à aller pour l'emporter?

Lorenzo continuait son jeu avec Milena. Son but ? La faire réagir, lui changer les idées, la séduire, passer du bon temps... Celle-ci, au depart semblait mal à l'aise, mais peu à peu, semblait tout de même quelque peu détendue. Lorenzo, se trouvait donc derrière elle. Il déposa un baisé dans son cou après lui avoir mit les cheveux délicatement derrière son épaule. Sa peau était aussi blanche que douce. Pas une imperfection. Agréable à embrasser... A quand ses lèvres ? Elles devaient être d'autant plus appréciables.

Milena se retourna façe à Lorenzo. Elle semblait prète à se prendre au jeu. Enfin ! Il était temps... Il avait réussit. Elle s'approchait dangeureusement de lui. Ses lèvres étaient de plus en plus proche des siennes... Milena déposa un léger baisé... Lorenzo eut un léger sourire satisfait, qui s'intensifia lorsque Milena aborda des paroles provocantes. C'était a elle de jouer, il allait lui rendre la balle. Jouaient-ils au tennis ? C'est ce qu'il allait voir...

- Tu n'as qu'à juger par toi même...

Il lui fit un clin d'oeil et n'hésita pas à poser ses lèvres sur celles de Milena, mais ne s'arreta pas à un simple baisé. Il était certes doux, mais tout de même languoureux. Sa main droite se déposa sur la nuque de Milena et caressa ses doux cheveux aussi fin que des fils d'or... Sa main gauche quant à elle, efleura tout d'abord la joue de la dulcinée puis lui caressa le dos... Ils se déplacèrent et arrivèrent contre le mur de la voilière, Milena étant contre ce mur. Lorenzo la regarda droit dans les yeux avec un air joueur, provocateur.

- Montre moi ce que tu as dans le ventre...

Ses baisers étaient aussi brûlants qu'agréables... Milena dans cette situation ne sentait plus le froid. Elle ne sentait plus que Lorenzo, l'embrassant langoureusement. A ce stade, Lorenzo devait déjà savoir qu'il avait gagné à ce jeu là. Il avait marqué quelques points, et Milena ne pouvait que les lui accorder… Il faut croire que le bel Italien n'est pas bon qu'en quidditch. Et Milena le savait bien. Les rumeurs sur lui, elle les entendait de partout à Poudlard, lors de sa jeunesse. Seulement, elle ne les avait jamais jugés par elle même. Et en ce moment même, elle passait un moment qu'elle n'aurait jamais oser imaginer avec lui.

Milena est orgueilleuse... Elle ne s'avoue jamais vaincue. Mais elle était bien obligée de reconnaître en l'instant présent, que Lorenzo la piégeait sans trop de mal. Si une occasion comme celle ci se présente à vous, avec l'homme le plus séduisant qui soit, vous n'allez pas chipoter avec vos principes. Ce serait non seulement idiot, mais une énorme bêtise! Aussi Milena se laissait faire, profitait. Lorenzo lui montrait ses atouts, jusqu'où était-il capable d'aller. Le jeune professeur alla la plaquer contre le mur. Et là, c'était certain, le piège se refermait. Mais est ce si gênant lorsque vous tomber dans ce genre de piège. Non, pas vraiment… On aurait plutôt tendance à s’y précipiter.

Et lorsque le jeune homme la provoqua de nouveau, c’est ce que la jeune femme fit… Rien que ses mots, joueurs et provocants, lui donnait envie de jouer à son tour…

- Montre-moi ce que tu as dans le ventre...

Elle sourit, amusée. Voilà qui était intéressant… Est-ce que la rivalité qui lier les deux personnages refaisait surface ? La rivalité se liait donc a un désir fou que Milena ressentait en ce moment, sans doute comme Lorenzo le ressentait aussi. Lorenzo avait renvoyer la balle dans son camp, c’était à elle de jouer. Et la jeune femme n’allait évidemment pas se faire prier. Elle prit fermement le col de la chemise du jeune homme et le rapprocha d’elle. Elle posa ses mains délicatement sur son visage et l’embrassa à son tour. Tout comme Lorenzo, un baiser langoureux qui restait doux. Puis elle prit plus de plaisir, et ses baisers qui s’enchainaient les uns après les autres se faisaient de plus en plus intenses. Elle délivra ses lèvres et posa ses mains sur son torse. La jeune femme déboutonna lentement sa chemise et laissa paraître le torse du jeune professeur. Elle passa ses mains sous la chemise, dans son dos. Tout en prenant contact du buste du jeune homme, elle le rapprochait d’elle et l’embrassa de nouveau, cette fois plus doucement avec une once d’hésitation, comme pour taquiner Lorenzo.

- Et si toi, tu me montrais… ?

Ces baisés procuraient aux deux personnes un certain plaisir. Pour sa part, Lorenzo n'avait pas embrassé de la sorte une fille depuis Sylia. Tout les baisés qui séparaient Sylia de Milena n'avaient été que des formalitées, des simples baisés sans sentiment ni autre. Non pas qu'il eprouvait quelque chose de fort pour Milena en ce moment même, mais elle était différente tout autant que cette situation qu'ils étaient en train de vivre. Il était bien là. La froideure de la soirée disparaissait laissant place à une certaine chaleure venant de leurs corps et leurs baisés...

Ils étaient comme connectés, si bien qu'il avait comme des flash lorsqu'il l'embrassait ? Celà provenait-il du fait qu'ils étaient sorciers ? Etait-ce seulement lui ? Elle aussi ? Il n'en savait rien, mais il s'en moquait complètement. C'était agréable. Les flashs changaient par mesures de 5 secondes... Tout d'abord, ils se voyaient dehors dns le parc, marcher et rigoler ensemble. Ensuite, il constata une Milena plus jeune, regarder Lorenzo embrasser Sylia dans ce mec parc. Elle semblait triste... Puis... Il se voyait lui, marcher main dans la main d'une manière déterminée avec Sylia qui lui parlait. Mais il ne semblait pas du tout captivé par cette conversation féminine et avait le regard posé sur Milena assise seule en étude...
Tout ces flashs n'avaient pas empéché Lorenzo de continuer de l'embrasser.

C'était à Milena de jouer, et elle semblait douée dans son domaine. Dommage qu'elle ne l'avait pas exploité plus souvent. Elle avait fini par déboutoner et enlever la chemise de Lorenzo pour laisser son torse nu... Les mains posées sur son torse, Milena était plus douce que jamais, mais paradoxalement aussi sensuelle... Elle lui demandait ce qu'il avait, à son tour dans le ventre. Elle allait être servie. Il enleva le haut de la jolie, la laissant avec son soutien gorge. Il l'embrassait toujours, continuant dans le cou, puis baissait. Il finit par s'accroupir et embrassa le ventre de Milena, ainsi que son nombril.

Il déboutona le bouton du jean de Milena et baissa ce dernier, laissant Milena en sous vêtements. Il déposait son bas ventre de baisés. Il se releva au niveau de Milena et l'embrassa de nouveau. Il enleva tout en même temps son pantalon. Ils étaient habillés en moldus ce soir là... Il prit Milena dans ses bras, qui mit ses jambes autours de son corps. Ils étaient toujours contre le mur. Il la regarda dans les yeux et lui caressa les cheveux. Il se remit à l'embrasser, corps en sous vetements l'un contre l'autre...

- A ton tour...

Ca oui, elle était servie. Lorenzo se montrait doux dans ses gestes. C'était bien plus qu'agréable... Il déposait des baisers brulant dans son cou avant de descendre jusqu'a son bas ventre. Il avait déboutonné le bouton de son jean et l'avait baissé, remontant ensuite retrouvé Milena. Il l'embrassait langoureusement et enleva son pantalon. Milena avait l'impression de ne faire plus qu'un avec lui. Il l'avait prit dans ses bras. Il était bientôt nus tout deux, pourtant Milena n'avait pas froid, bien au contraire. Elle avait l'impression que son corps était en ébullition. Mais était-ce une impression. Les deux professeurs étaient à présent nez à nez, et Milena ne put s'empêcher de dessiner un sourire joueur. A son tour, elle entra en jeux.

Il était certain qu'a cette période, Lorenzo avait gagné. Milena était complètement sous le charme du bel Italien. Cela ne lui déplaisait pas mais elle se sentait tout de même frustré de s'être laissé emporter aussi loin... Comme on l'a précisé tout à l'heure, dans se piège si agréable... Mais vrai. La jeune femme enleva son soutien-gorge. Elle était bientôt totalement nue dans la volière. Le jour au loin commençait à se lever. La jeune femme recommença a embrasser langoureusement le professeur de vol. Ses gestes furent plus doux, mais plus sensuels. Elle s'amusait à mordiller la lèvre inférieure du jeune homme. Ce geste, aussi simple soit il, semblait être une invitation. Bientôt le jeune homme se retrouva nu à son tour. Il avait encore un peu de temps avant le réveil des pensionnaires. Milena se retrouva de nouveau contre le mur. Elle caressait le torse de Lorenzo tout en l'embrassant. Était-il prêt?

Elle, l'était. Plus que jamais. Mais il yavait quelque chose qui la retenait un peu. Et Sulia? Qu'était elle devenu? Lui, qui, dans ses souvenirs l'aimait tant... Elle enviait Sylia à l'époque... Mais maintenant, elle se demandait ce que la jeune femme était devenue...

La situation entre les deux protagonistes était de plus en plus chaude. Ils étaient là, seuls, dans la voilière, a s'embrasser et se désirer intensement. Quel agréable sentiment que ressentait Lorenzo à ce moment là... A la mi-nu, tout deux ne voyaient aucuns inconvénients pour la suite. Du moins, ils le ressentaient. Une petite brise de vent vint alors les caresser, ce qui les firent frémir tout deux. La peau de Milena était vraiment douçe, encore plus qu'aucune peau avec laquelle il avait été en contact.

Milena avait enlevé ce qui lui restait de haut. Elle ne portait plus grand chose. Il sentait alors la douce poitrine de sa conjointe contre son torse. Agréable sensation. Il se retrouva nu à son tour. Totalement nu. Leurs corps s'emmelait presque. Lorenzo enleva ce qui restait comme sous vêtement à Milena. Ils étaient à présent seuls face à leur corps. Lorenzo mit les cheveux de Milena derriere sa nuque et l'embrassa longement et sensuellement dans le cou.

Il l'a regardait à présent droit dans les yeux, tel un signe de départ. Seulement, Lorenzo savait que Milena se posait une question, Sylia... Lorenzo l'allait pas lui mentir. Il n'en avait aucune raison de toute façon. Il lui caressa la joue lui déposa un baiser, comme pour la rassurée. De peur que celà ne suffise pas, il préféra rajouter quelques mots...

- Elle et moi, c'est finit depuis après la septième année. Tu n'as pas à t'inquieter...

Comme si rien ne les avaient décollé, il recommenca à l'embrasser. Les mots n'existaient plus à ce moment précis. Leurs corps s'entremélèrent aussi sensuellement. Le temps passait entre eux qui laissaient aller leurs désirs dans le plaisir et la douceur. Le jour était à présent levé, les élèves allaient faire de même. Ils avaient fini de toute manière...

_

Un signe de départ... C'était exactement ça... Lorenzo regardait Milena si intensément... Lui même avait deviné ses doutes... C'était sans doute la preuve qu'il lisait en elle comm dans un livre. Milena n'aimait pas trop ça d'ordinaire... Ses sentiments, ses sensations à découvert... Pourtant cette nuit là, elle eut un sentiment d'apaisement lorsque Lorenzo comprit de lui même... Cela pouvait parfois lui faire le plus grand bien...

Sylia... Il était tant amoureux d'elle... Qu'était elle devenue...? Un séparation tout ce qu'il y a de plus banale, sans doute. Même si une séparation n'est jamais vraiment banale. Pourtant Milena l'aimait, cela ne faisait aucun doute. Mais en était il de même pour Lo'? C'est vrai, toutes les femmes sont à ses pieds, alors pourquoi ne serait elle pas une simple aventure d'un soir? Non, Lorenzo ne pourrait pas pousser son jeu de séducteur si loin avec elle... Du moins c'était ce quelle espérait. Elle se détacha un peu de Lorenzo pour planter son regard dans le sien.

- Comment savoir... Tu l'aimais tant... J'ai toujours pensé qu'il était impossible pour toi d'aimer une autre femme qu'elle.

Elle n'allait quand même pas lui dire: "Hey toi là, tu me prend pas pour une histoire sans intéret hein? " Non, Milena n'avait même pas l'idée de lui dire ça... Son ton s'était fait plus grave soudainement, mais elle restait proche de Lorenzo.

- Est ce le cas...?

Lorenzo ne savait pas comment quitter cette étiquette qui le colait depuis ses études. Sa relation avec Sylia était tellement intense et parfaite que personne n'aurait parié sur leur séparation. Personne... Ils étaient le couple le plus populaire et le mieux apprécié de leur temps. Ils étaient tout le temps ensemble. Le bel Italien ténébreux si sûre de lui, et la belle parfaite mysterieuse hautaine. Et pourtant, peu de monde les détestaient. Ils ne s'en plaignaient pas pour autant. C'était une sorte de satisfaction pour eux, ainsi que de fiertée.

Ainsi, Lorenzo comprenait parfaitement bien que Milena avait de terribles doutes sur les sentiments de Lorenzo, sur le fait qu'il n'était soit disant plus amoureux de Sylia. Il disait juste. Lorenzo n'était plus amoureux. Mais on ne pouvait pas lui demander d'oublier son premier amour. Ceci lui était impossible. Il y aurrait toujours une place dans son coeur. Pas l'intense amour qu'il rescentait à l'époque. Du respect et un sentiment incertain, oui.

- Je peux te permettre que je ne l'aime plus. C'est vrai, on était bien ensemble. J'étais bien avec elle... Je l'ai aimé. Et elle aurra toujours une place dans mon coeur, Milena. C'est normal. Mais c'est plus de l'amour, et elle et moi, c'est définitivement fini. Tu dois oublier cette époque. Elle est finie !

Lorenzo essayait de la rassurer, tout autant que lui même. C'était dur tout de même de rassurer la belle du fait qu'elle avait vécue dans l'ombre de Sylia en étant secrètement amoureuse de Lorenzo.

- Ca l'était, avant. Je ne voyais personne d'autre qu'elle. Aujourd'hui les choses ont changé

» Ami ou ennemi? [ PV Lorenzo ]
» Après une nuit difficile
» Une nuit pas si ordinaire [Gabriel]
» Nuit torride à l'hôtel ?
» Sortie de Nuit [ Privé ]