La conscience d'un monde connu (PV Calvin)

[hj: ptdrrr j'ai mis un titre n'imp ne sachant pas quoi mettre ^^]

Un jour ordinaire, dans une vie ordinaire.
Enfin pas si ordinaire, quand on est une sorcière ... Mais bon pour SYlvina tout ceci est gravé dans la normalité. Bon ce qui est moins ordianire chez les sorciers ce sont les demi vélane, comme la jeune serpentarde.

D'ailleurs, la jeune fille venait de rentrer dans la salle commune, après une journée banale, une journée de cour tous plus ennuyeux les uns que les autres. La salle était vide, comme la plupart du temps ... enfin comme elle l'est depuis le début de l'année. Presque personne, à part une nuée de première année, toujours à brailler ...

Sylvina se dirigea vers l'endroit le plus calme. Les fauteuils prés de la cheminée. La jeune fille déposa son sac sur le sol, enfin non elle lâcha le sac, qui s'écrasa sur le sol, dans un bruit sourd. La jeune fille prit alors place dans un fauteuil, fermant les yeux appréciant la chaleur qui venait lécher les rares parcelles de peau nues de la serpentarde. Ben oui l'uniforme de l'école, c'était pas une mini jupe non plus ...

Elle appréciait ces moments de calmes () au sein de la salle commune. Calme qui fut rapidement interrompu par une nuée d'élèves qui rentraient ... surment ceux de l'année de Sylvina qui avait trainé dans les couloirs. La vert et argent ne dédaigna pas ouvrir les yeux. Il n'en valait pas la peine. Personne n'en valait la peine!

(Raaah me nerveuh, voulais te rép hier soir, mais j'avais pas d'inspi ... Enfin je ne te rép pas une semaine en retard en même temps XD]

Quelle agréable sensation. la chaleur du foyer venait chatouiller le peau de la vert et argent. Les yeux toujours fermé, appréciant ... profitant pleinement de cette sensantion. L'esprit de Sylvina voguait dans un monde inconnu. Loin de la salle commune, le brouhaha ne lui parvenait plus. Sur lsce visage d'ange, un sourire naquit au bord des lèvres. Un sourire satisfait.

La juene fille était plongé dans ce silence, qui vous apaise étrangement. Même lorsuqe ce silence futbrisé par le simple bonjour d'un jeune homme. Sylvina ouvrit furtivement les yeux, juste une coup d'oeil pour voir qui lui parlait.

Un jeune homme que Sylvina avait déjà aperçu, dans la grande salle, le jour de sa répartition sûrement. En vérité, la vert et argent ne faisait pas vraiment attention aux personnes qui peuplaient la salle commune des serpentards, et encore moins ceux des autres maisons.

Avant que la serpentarde n'ait put répondre quoique se soit comme un "bonjour" ou "hey comment vas-tu?". Le serpentard s'était plongé dans sa lecture. Les livres ... voilà longtemps que Sylvina n'en avait pas lu, et pourtant elle aimait ça. Elle considérait toujours ces objets comme un trésor.Une partie d'un être. Chaques mots avaient son histoire, l'un des rares moments où elle se laissait à penser être une autre.

Sylvina ramené ses jambes contre sa poitrine, et posa son menton sur ses genoux. Un nouveau coup d'oeil vers le jeune homme aux cheveux noir jais. Un contraste détonant entre ces deux jeunes gens. Le jour et la nuit. La jeune fille ramena une mèche de ses cheveux blond derrière ses oreilles.

Elle se risqua enfin à briser le silence, ben oui il avait tout de même engagé la conversation. Enfin il avait laissé une porte ouverte à toute conversation. Car s'il n'en aurait pas eu envit, il l'aurait ignoré. Comme il aurait dut le faire, s'il aurait voulu être tranquil.

Tu ... Qu'est-ce que tu lis ?

Elle n'avait pas vraiment élevé la voix, juste un léger murmure pour ne pas laissé ce moment empreint de douceur et de calme. S'il ne voulait pas engager la conversation, il pourra faire comme s'il n'avait pas entendu. Quoiqu'ils étaient suffisament proche poru qu'il puisse entendre la question de la serpentarde.

[réponse mardique ...sorry ]

[ T'inquiètes pas, tu ne m'as pas fais attendre longtemps, pis il est très bien ton post ]

L’enchantement débutait son effet merveilleux et Calvin se sentit divaguer dans un tourbillon de lettres, s’enivrer et se passionner d’une histoire irréelle dont il s’imaginait être le héros, ce petit garçon qui retrouve ses parents après plusieurs mois de disparition. C’est pour cela qu’il se complaisait dans les livres, car eux seuls pouvaient lui décrire la joie qu’était des retrouvailles avec ses parents, joie qu’il ne connaîtrait jamais. Il savait qu’il n’était pas bon de vivre à travers de mondes fantastiques, pour oublier la véritable existence, mais la sienne était parfois tellement douloureuse que c’était le seul moyen de l’apaiser.

La chaleur du feu s’ajoutait à cette extrême sensation de bien-être et Calvin dut avouer que résister au Bras tendus de la divine Morphée relevait de l’effort surhumain. Il battit des paupières et étouffa un bâillement. La place qu’il avait choisi décidément un pouvoir soporifique épatant, lui qui se sentait en forme olympique il y’a à peine une dizaine de minutes n’était plus qu’une boule de fatigue. Une voix le fit tirer son regard de son ouvrage, que d’ailleurs, il ne lisait plus et aperçut que la jeune fille blonde platine avait répondu à sa brève salutation en lui demandant le sujet de sa lecture. Calvin ne décela pas dans sa voix un réel intérêt, mais simplement un désir d’engager la conversation. La jeune Serpent l’interrogea donc sur sa lecture, et Calvin lui répondit d’une voix calme :

- Il s’agit d’un petit sorcier qui crois ses parents morts mais qui les retrouve plus tard, c’est très émouvant et vraiment bien écrit, mais le confort de cette pièce et du feu trouble ma concentration et me donne une irrésistible envie de dormir…

La Serpentarde avait un timbre de voix susurrant, neutre et serein qui apaisa mystérieusement Calvin. Il la fixa longuement en attendant sa réponse, son livre ouvert étalé sur ses genous, et referma les yeux contre son gré. Ce n’était pas vraiment d’une exemplaire politesse mais depuis quans s’en souciait t-il ?? Pour éviter de s’endormir aux bras de la jeune fille, il continua la conversation :

- Et toi, que fais tu, seule ici ???

En plus de paraître impoli, il jouait la curiosité. Quand je vous disais que Calvin n’était vraiment pas sociable, c’était en toute lucidité. Souvent il était solitaire, ou alors désagréable, mais, les rares fois ou il témoignait de la sympathie à quelque un, c’était un bien piètre ami. Il tenta un sourire qui fut plutôt un rictus alors il abandonna son prétendu air bienveillant et se contenta d’attendre…

La chaleur du foyer avait ce don d'apaiser, mais aussi de bercer les personnes, jusqu'à les emporter dans un monde peuplé de songes. Là où on se prend pour une autre personne. Beaucoup de serpents qui s'installaient sur ces fauteuils sombraient. Et les deux verts et argents qui étaient là ne dérogeaint pas à la règle.

Mais à chacun sa méthode pour lutter contre la lourdeur des paupières, et les baillements qui tentent dédéspérément de franchir la barrière des lèvres, pour s'évanouir dans l'air. Sylvina, elle avait décidé d'engager la conversation avec un de ses comdisciples. Bien qu'à première (voir même deuxième) vue, lui n'ait pas trop envie de discuter. Bon en fait elle voulait engager la conversation, car ne rien faire, ça va deux minutes.

Citation :

Il s’agit d’un petit sorcier qui crois ses parents morts mais qui les retrouve plus tard, c’est très émouvant et vraiment bien écrit, mais le confort de cette pièce et du feu trouble ma concentration et me donne une irrésistible envie de dormir…

Sylvina poussa un long soupir, elle s'écrasa un peu plus dans son fauteuil et fixa le foyer. Les flammes dansantes, hypntisantes. Une histoire d'orphelin, qui retrouve ses parents. Une histoire qui peuit être émouvante ... Mais tout ceci ne pouvait que rapeller la condition de ceux qui ne retrouverons jamais leurs parents.

Des choses qui n'arrivent que dans les livres... Malheuresement.

Cette phrase n'avait été dite que pour elle même, bien que la serpentarde l'avait prononcé à haute voix. Non pas que l'absence de ses parenst lui pesaient, non elle ne les avait jamais connus. Mais quand même, elle se demandait ce que ça devait être d'avoir un père et une mère ?

Toute sa vie aurait peut être différente. Aurait-elle été plus gentille ou au contraire plus peste qu'elle ne l'était déjà? Personne ne pourra le dire, vu que tout ceci n'aurait été que supposition.

Citation :

Et toi, que fais tu, seule ici ???

Pendant un mini moment la blonde avait oublié le jeune homme ... se contentant de fixer le vide. Elle dirigea son regard bleuté vers lui, et lui souria.

Hey, bien j'avais besoin d'un peu de calme. Bien que la salle commune ne soit pas le meilleur endroit pour avoir un moment de calme ... En réalité que peut faire une âme, seule ? S'assoir devant le feu et attendre...

Oui, elle était seule ... Mais cette constatation, ne lui arracha pas la moindre once de tristesse. Elle avait été seule durant des années. Ce n'est pas parce qu'une de ses amliesl'avait laissé tombé qu'elle allait s'apitoyer sur son sort. Tout ceci était déjà bien loin derrière elle.