Les gens parlent... [La directrice Black]

Invité

Les gens parlent, pas en bien des personnes qu'ils ne comprennent pas, mais Socrate Benefit n'avait rien à faire des élèves qui ne comprenait pas ses choix. Être Mangemort tout d'abords, si un élève ne comprenait pas, il se ferait un plaisir de lui expliquer quelle puissance on ressent à être supérieur en tout point.
Être Professeur, comme si ça n'avait pas été suffisant pour vacciner Socrate de Poudlard, il revenait dans cette mystérieuse Ecole de Magie pour y enseigner sa matière de prédilection, la Métamorphose.

Il entra dans son bureau, qui lui servirait de maison jusqu'à la fin de l'année scolaire. Autant se mettre à l'aise, il fit apparaître des mets délicieux, des boissons alcoolisées ou non, et bien d'autres petites choses qui pimentaient la vie ennuyeuse des jours d'innactivité.

Socrate le savait, il allait recevoir la visite de la direction Kyarah Black. Mais elle ne lui faisait absolument pas peur. De plus il savait très bien qu'elle était du bien, et elle devait savor que son camp à lui était celui du Dark Lord.

Kyarah sortit alors de son bureau pour allez faire connaissance avec le nouveau professeur de Metamorphose...
Un nouveau Mangemort dans son école...
Cela l'a désespéra pas... Elle n'avait rien contre eux, même si il y avait un fossé entre les Mangemorts et elle.

Elle marcha alors lentement, mais avec grace, une grace qui était typique de l'ancien directeur, le défunt Dumbledore.
Elle se trouvai enfin dans le couloir ou se situé le bureau du concerné.
Elle savait bien que Socrate allez être désagréable avec elle, mais elle ne voulait qu'il n'y ai aucune tention dans le corps enseignant, il y en avait beaucoup trop en dehors de l'école.

Elle arriva devant la porte en chêne, la jeune directrice mit ses cheveux noirs en arrière, donna trois coups dinstinc et attendit d'être invité à entrer.

Invité

A la porte de la salle il entendit du bruit. Aussitôt il comprit, Kyarah Black, venait lui rendre une petite visite. Il prendit sa baguette, et en quelques mouvements savants, des verres apparurent et ils se remplirent de chacun des liquides alcoolisés ou non de la table.
La directrice pourrait ainsi boire de ce dont elle aurait envie.

"Ëbreza. Mais voyons entrez chère Kyarah."

Il se leva et lui ouvrit la porte. Le regard charmeur, et le sourire d'une paleur étonnante fixait sur le visage. Il l'invita à prendre place dans un des fauteuils et lui proposa de se servir elle même. Elle pourrait ainsi choisir la boisson.

"Que me vaux le plaisir d'une si charmante visite?"

Lança -t-il d'un ton joueur, presque amusé par la situation. En tout cas, c'était bête à dire, mais pour une Auror, elle était très séduisante. Dommage que ce soit une Auror pour le coup.

Kyarah était entré dans le bureau aprés que Socrate l'y est invité.
Elle respira et ouvrit la porte, un léger courent d'air emporta ses cheveux noirs et sa robe légère.
Elle entra et vit alors un jeune homme d'une beauté hors du commun.
Kyarah cacha son attirance spontané envers le nouveau professeur.
Elle lui rendit alors un sourire ravageure ( :xD: ) et un regard qui en disait long sur ce qu'elle pensait et se qu'elle voulait.
Kyarah alla donc s'assoir dans un fauteuil non loin de Socrate.
Elle croisa les jambes, ce qui dévoila l'une d'elle.
Elle plongea alors son regard bleu nuit dans le sien. Puis lui dit d'une voix sensuelle. ( :xD: )

La raison de ma venue? Hmm... Hé bien je suis venu pour faire... Connaissance... Cela vous déplait il?

Son sourire s'élargissai alors. Elle attrapa un verre qui se trouvé à proximité, agita sa baguette au dessus et un liquide semblable à de l'eau remplis alors celui ci.

Invité

Les intentions de la charmante directrice n’étaient pas encore très nettes, c’était d’ailleurs fort dommage, car Socrate voulait éclaircir des choses sur son poste. Mais enfin, un peu de détente ne serait pas du refus. Elle avait vraiment des traits ravissants, bien qu’elle ne soit pas la plus belle, elle n’était pas et de loin la plus laide.

« Faire connaissance… Avec vous rien ne me déplait… »

Phrase en suspend, insinuation ? Mais pas du tout, il se rendait juste compte qu’il faisait terriblement chaud dans cette pièce. En parfait gentleman et avec un sourire digne des plus grand Don Juan, il demanda si Kyarah voulait retirer une épaisseur.

« Souhaitez-vous ôter votre robe de sorcière, votre pull, du moins quelque chose, vous allez attraper froid dehors. »

Il n’attendit pas sa réponse, et ôta la chemise blanche qui cachait son débardeur blanc, plus ou moins moulant, pour ne pas transpirer directement sur la chemise.
Il tendit ensuite le bras pour que Kyarah pose le vêtement, et il lui fit un clin d’œil… aguicheur ? Oui pourquoi pas. Aguicheur est le mot.

« Voulez-vous parler d’un sujet précis ? »

Il se posait la question parce qu’il y avait des sujets fascinants, mais aucun ne le serait plus que celui qu’elle aurait choisi.

Kyarah fixa le beau jeune homme, c'est exact, il faisait vraiment chaud dans son bureau... La raison? Peut etre la présenee d'un beau appolon dans cette pièce. Elle retira alors sa cape blanche, qui lui tenait si chaud et la posa sur le bras tendu de Socrate. Son clin d'oeil qu'elle perçu comme aguicheur lui fit chavirer le coeur.

¤ Hé ho on se calme !¤

Pensa elle, une pensée adréssé directement à son organe qui battait la chamade. Maintenant débarassé de sa cape, Socrate pouvait voir les bras blancs de Kyarah et le haut de sa robe, doté de bretelles fines.
Si il eut été derrière elle, il aurait vu son tatouage dans le dos, deux ailes d'anges qui avait choqué plus d'une personne, des traits noirs sur une peau si blanche. Elle porta son verre aux lèvres et bu une gorgée.

¤ Rien de t'elle qu'une vodka ( :xD: ) pour se détendre ¤

Un sujet précis... Parlez moi donc de vous... La seule chose qui m'interesse à ce jour , c'est vous...

Elle lui lança un regard coquin pour faire comprendre à Socrate à quoi il devait en tenir.

Invité

Le sujet qu'elle choisit était parmi tout celui qu'il détestait le plus aborder. Lui, manque d'objectivité, orgueuil, vanité, et autre modestie rendaient son jugement partial.

"Je suis beau, jeune, intelligent, drôle, parfait en un mot. Non plus sincèrement j'ai énormément de défauts! Je mange trois plaquettes de chocolat par jour."

Il savait qu'il blablatait pour ne rien dire là, mais comment se défaire d'une situation pareille.
Un éclair lui traversa l'esprit, un strip poker magique. Il avait trucqué les cartes de façon à avoir un carré d'as. Comme ça elle ôterait un vêtement et oublierai la conversation.

"Jouons aux cartes. Strip Poker, vous devez exceller en la matière. Je distribue."
Ce qu'il fit, dans ses gestes on ne pouvait pas déceller la tricherie, et donc elle allait perdre. Il pointa son jeu devant elle. Un carré d'as. La supercherie avait marché.
"Bien, je crois que vous devez retirer un vêtement. Les chassures et chaussettes ne sont pas comptaient commes tels. Les sous-vêtements non plus, ce sont des sous-vêtements."

Il sourit, à elle de prendre la perche qu'il lui tendait, c'était le moment où jamais. Il avait envie de la voir se dévêtir, autant que de la dévêtir sur le champ mais il se retiendrait.

Kyarah éclata de rire à l'évocation de son péché mignon vis a vis du chocolat. Elle lui dit tout en continuant à rire.

Oh mais seulement trois tablettes? Je crois que je vous bat sur se point.

Elle affichai un sourire resplandissant, et garda la même attitude lorsqu'il lui anonça qu'ils allaient joués au Strip Poker, Soit... Seule problème...
Elle ne savait vraiment pas y jouer. Mais Kyarah ne s'opposa pas et Socrate se mit alors à jouer. Il lui anonça alors qu'elle devait retirer un vétement, elle n'y voyai aucun inconvégnant. Socrate lui plaisai, pourquoi lui caché ?

¤ En même temps je n'ai vraiment pas grand chose à enlever...¤

Elle se leva alors avec grace... Passa une main sous sa première bretelle et la fit tombé sur son épaule, et fit de même pour l'autre.
Ce qui eu pour résultat que la robe de Kyarah glissa tout le long de son corps, qui lui provoqua un léger frisson. Elle se retrouva donc en souvetements noirs, en face d'un jeune homme vraiment charmant, les idées ne lui manqué pas, mais elle resta calme, respira un bon coup et se rassit.

Invité

Ce fut un corps tout simplement superbe qui s’offrit à ses yeux, il n’en avait pas vu des quantités industrielles, mais les rares corps qu’il avait ne valaient pas un quart de celui là. Il sentait déjà naître en son bas ventre un désir profond, l’envie de toucher le corps si gracieusement offert le démangeait mais il résista.

Il redistribua les cartes veillant à donner des cartes meilleures à la femme en sous vêtement qui prenait face devant lui. Et il perdit, chose étonnante, il retira son tee-shirt, pour se retrouver torse nu. Aucune honte n’avait de place maintenant, la seule chose qu’il désirait c’était Kyarah.

Il redistribua une dernière foi. Comme prévu il fut encore vaincus. Cette fois ce fut le pantalon en toile de jean qui tomba. Il se retrouvra en boxer moulant son sexe devant une femme plus que désirable aussi peu vêtue que lui.

« Comme je l’ai dit précédemment… Je suis tout à vous. »

Il lui laissait prendre la barre et conduire le navire. Elle ferait de lui ce qu’elle voudrait. Et tant pis pour lui si ça n’avait rien de sexuel, il aurait au moins provoquer la directrice jusqu’à son point de non retour.

Kyarah fixa Socrate... Elle sentit une chaleur en elle lorsqu'elle vit que le jeune homme comença à ce dévétir. Dabord le haut... Ce qui dévoila à la directrice un corps qui atteigné la perfection. Puis le bas, c'est ainsi que Kyarah ressentit un désir intense de se lever et de s'approcher de l'homme qui était l'objet de ce désir. " Comme je l’ai dit précédemment… Je suis tout à vous. " .. Cette phrase résoné dans la tête de Kyarah.
Elle réfléchi quelques secondes... Que devait elle faire?

Puis elle arreta net sa réflexion, se leva alors et s'approcha lentement de Socrate, plus elle se trouvé prés plus son désir grandissai... Elle le voulait , maintenant. Une passion soudaine ,pour un imense plaisir avec l'homme le plus beau qu'elle eut rencontré.

Elle posa alors ses mains sur le torse du professeur, elle colla son corps quasiment nu à celui de Socrate ... L'enjamba alors... Et lui dit en un murmure...

Je tiens à vous signaler que je suis tout à vous également...

Invité

La chaleur qui lui avait prise le bas ventre se faisait maintenant plus présente. Au fur et à mesure que la femme qui comblait à présent ses désirs approchait, il sentait naître en lui un désir plus puissant que les précédents.

Quand Kyarah approcha, puis l’enjamba, il crut atteindre le summum du plaisir, sentant le parfum et la chaleur de la directrice collée à la sienne. Il entendit ses paroles mais déjà, il déposait sur les lèvres purpurines de la jeune femme un baiser tendre, et plein de fougue. Il l’embrassait maintenant à pleine bouche et ses mains vinrent se placer sur le coup de Kyarah.

Dieu que sa peau était douce. Son odeur lui faisait atteindre des sommets de plaisir alors qu’il n’en était qu’au stade des baisers. Il sourit en mettant fin au baiser.
« Que faisons nous belle inconnue ? »
Il avait bien une idée mais il préférait l’entendre dire de la bouche parfaite de Kyarah.
Il savait très bien qu’il ne lui serait pas fidèle, du moins pas au début, s’il sentait qu’il relation battait de l’aile il avait tendance à tout faire capoter avant que l’autre ne le fasse. Mais pour l’instant collé contre le corps de l’une des plus belles femmes qui lui fut donné de croiser, il se sentait bien et la relation commençait depuis quelques instants seulement…

"Les gens parlent, que dira-t-on de nous deux si on nous surprend?"

Il reprit les lèvres parfaitement dessinées sur la bouche parfaite de celle à qui bientôt il allait se donner.

Le fait d'etre si proche de cet homme qu'elle en oublia qu'elle se trouvai dans un bureau, qui plus est , n'était pas fermé à clé, et que nimporte quel élève pourrait les surprendrent, mais elle n'en avez que faire.
Elle voulait profité de se moment de pur plaisir avec Socrate.
Elle frisa l'extase rien quand le touchant et en l'embrassant.
Elle en avait connu des hommes, oh oui. Mais elle n'avait jamais ressenti une tel chose pour un inconu. Elle avait térriblement envie qu'il lui fasse l'amour.
Mais était-ce bien? A ce stade la, Kyarah ne fit plus la distinction entre ce qui était bien ou ce qui ne l'était pas. Elle plogea alors son regard dans celui du bel homme, et lui dit à l'oreille, en un murmure remplis de désir.

Oublions les autres, c'est de nous qu'il sagit...J'ai envie de toi...

Sur ses mots, elle l'embrassa dans le cou, et offrit alors à son corps milles caresses.

Invité

Les baisers se faisaient plus longs. Quand les langues jouaient avec les parites du corps étrangers les corps frissonnaient.
Socrate se sentait tellement bien que les meilleures partie de jamebs en l'air étaient purs somnifères par rapport à ces sensations.
Il dégraffa le soutien-gorge de la jeune femme. Exposant ses yeux à la vue la plus parfaite qu'il fut donné de voir. Il utilisa la baguette magique de sa compagne, pour débarrasser le bureau et pour ferme à distance d'un sort immuable la porte.
Sûrement le bois du bureau fut frais car Kyarah frissonna à son contact.

"Désolé"

Pour se faire pardonner il couvrit son corps de baiser. Couvrant l'épiderme blanc de marques roses signes du passage de Socrate. Enfin il remonta vers la tête de la plus parfaite.
Kyarah semblait heureuse, mais elle ne pouvait pas l'être autan que lui. Il embrassa encoree une fois la belle, quand leur langue s'entrechoquèrent, Socrate eut un frisson tout au long de l'échine.
C'était donc ça tomber amoureux?
Il déposa mille baisers, accompagnaient des plus fines carresses, sur la poitrine, le ventre, le dos et les reins de sa compagne.

Au contact du bureau froid, Kyarah frissona.
Mais cela ne changé en rien son état, au contraire, ce frisson eu un éffet stimulant.
Elle sourt à son "désolé", passa sa main dans les cheveux de Socrate, et l'embrassa.
La scène était belle, même si le lieu était un peu insolite, deux corps presque nus, en parfaite symbiose.A chaque contact entre les deux amants, le coeur de Kyarah se remplissait d'une immense chaleur.
L'amour peut être... Qui sais?
Mais c'était un parfait inconnu pour Kyarah, avec une autre personne elle aurait claqué la porte à l'anonce du Strip Poker, mais pas avec lui...
Le désir à ses raisons, que la raison elle même ignore...
Ils s'embrasserent de nouveau, avec passion.
Les mains de Kyarah caréssaient le dos de Socrate, puis se glissèrent dessous l'unique vétement restant du bel homme.
Elle plongea son regard dans le sien.

Nous ne pouvons plus faire marche arrière à présent...

Elle avait sussuré ses mots, la voix tremblante de désir.

Invité

La vue parfaite ne semblait cesser de s'embellir, chaque baiser rendait l'instant plus parfait. Kyarah était une femme sublime, d'un esprit ravissant, et dont le caractère était en parfaite symbiose avec celui de Socrate.
En plus d'être très belle, elle était très douce, sa peau était un voile de soie qui ravissait absolument les sens de Socrate, après y avoir goûté il se demandait comment s'en passer.
Quand il sentit les mains, fraîches, de Kyarah se glissaient sous son boxer, il frissonna d'un plaisir incontesté. Il allait lui donner, du moins il l'espérait, autant de plaisir qu'elle lui en avait donné jusqu'à présent.
Il sourit en entendant la phrase de la femme idéale allongée sur son bureau.

"Qui a dit que je voulais faire marche arrière..."

Il remonta Kyarah pour pouvoir lui aussi s'allonger sur le bureau. Il faisait attention, de ne pas trop s'appuyer sur elle, il ne faudrait pas qu'il brise l'instant magique en lui faisant un quelconque mal.
D'une main experte, il enleva le dernier rempart à la nudité de la jeune femme, et avec une certaine vitesse il retira son propre sous-vêtement.
Ils étaient maintenant nus. Il ne voulait pas brusquer les choses, il continua ainsi à déposer sur les parties hérogènes du corps de tendres baisers.

Les deux derniers vétements qui "séparés" encore les deux amants fut alors enlevés par Socrate.
D'un désir de plus en plus grandissant, Kyarah ne céssait de l'embrassait, sans ce lassé.
Le fait de prendre son temps pour allez plus loin l'éxité davantage.
Le corps de rêve de Socrate était donc réellement à sa porté.
Elle écarta legerement les jambes pour lui faire comprendre qu'il pouvai se reposé sur elle sans crainte de lui faire mal, et passa une de ses jambes au dessus des siennes. Lorsque 'ils étaient totalement collés l'un à l'autre, Kyarah sentit alors que l'extase était proche, alors qu'il n'était pas encore allez au bout...Sa respiration devenait de plus en plus forte...
Elle sentait que Socrate était dans le même état qu'elle. Elle passa alors ses bras autour de lui et se remit à le carésser tout le long de son dos. Elle sentait des frissons à chaque va et viens de ses longs doigts...

Invité

Il sentait venir les vagues de plaisir en lui. Sans se presser il embrassa la belle qui s'offrait à lui. Les mouvements étaient plus saccadés qu'au départ. L'excitation, la découverte du corps de sa compagne, la beauté et l'envie qu'elle lui procuraient étaient autant de facteurs qui lui donnait envie de perséverer avec elle.

Avec une délicatesse extrême il la pénétra, sans pour autant arrêter d'embrasser sa bouche aux lèvres rougies par les baisers.
Elle provoquait à chacune de ses caresses un frisson indescriptible.
Il faisait des mouvements de va-et-viens, lents peut être trop, mais il n'était pas préssé il consummait ici tout le désir qu'il éprouvait pour la beauté si parfaite qui était allongée sous lui.

Il continuait de lui prodiguer des carresses tendres, titillant la peau couleur de la neige. Il l'aimait, il en était sûr, mais il savait aussi que dans son caractère n'était pas inscrit le mot fidèle. Il devrait remédier à ça, sous peine de risquer de perdre la femme la plus parfaite qu'il lui fut donner de voir.

Il sentit une dernière vague de plaisir, c'était donc ça la véritable extase? Ce sentiment de bonheur et cette sentation de flottement. Il se retira du corps de sa trendre, sans pour autant arrêter de l'embrasser.

"Je vous aime Miss Black."

Il avait avoué ses sentiments, c'était une chose somme toute extraordinaire qu'il se dévoile autant c'était un miracle, surtout après si peu de temps. Mais quand les sentiments étaient puissants et sincères il ne fallait pas et il ne voulait pas les cacher.

Kyarah se mordit les levres lorsque Socrate entra délicatement en elle, avec une douceur impréssionante. Elle arriva alors au sommet du plaisir.
Les ébats des deux amants étaient lents et harmonieux, le corps de l'un épousait parfaitement le corps de l'autre, elle suivait le rythme des va et viens imposé par son compagnon.
Toujours en s'embrassant, son amant se retira peu à peu d'elle, se qui lui provoqua un nouveau frisson de bien être.
Lorsque Socrate lui dévoila ses sentiments, le coeur de Kyarah fit à nouveau des siennes. Elle afficha un sourire presque géné et des paumettes empourprée.
Elle plongea encore une fois ses prunelles bleu nuit dans les yeux de celui ci pour qu'il voit la sincèrité des mots qu'elle allait lui chuchoté.

Je ressens le même sentiment...
Je vous aime Socrate...Même si je ne sais pas ou tout cela va nous mener...

Kyarah rougit de plus belle sur les mots qu'elle venait de prononçer.
Elle ne dévoilé jamais ses sentiments, c'était une première.
Elle l'embrassa encore et encore, elle pourait rester des heures ainsi, aux cotés de l'homme qu'elle aimait.
Mais elle devait s'occuper de certaines choses qu'elle ne devait pas négliger, même si à cette seconde elle aurai voulu tout laisser tomber pour lui.

Elle le bascula alors sur lecôté pour qu'elle puisse se trouver au dessus de lui.
Elle lu sa légère surprise dans ses yeux, elle lui sourit à nouveau, l'embrassa et commença lentement à se redresser.
Elle lui lança un regard rempli de douleur, elle ne voulait pas retourner dans son bureau à travailler, elle avait pas la tête à sa.

Invité

Les meilleures choses ont une fin. C'est pour mieux recommencer plus tard. Socrate le savait, et il comptait bien revoir sa directrice d'ici peu.
Surtout quand celle-ci s'ôta de son corps, et qu'elle lui lança un regard qui voulait bien dire qu'elle partait.

"C'est déjà l'heure... J'attendrais avec une impatience démesurée notre prochaine rencontre."

Il l'entoura de ses bras et déposa dans le dos maculé d'un tatouage de tendres baisers, signe de son amour et de sa profonde affection pour elle. Il se leva, Kyarah était toujours assise sur le rebord du bureau.
Il ne pouvait que contempler la beauté éblouissante de la jeune femme. Il s'approcha d'elle, et se blottit contre elle, laissant leurs corps s'épouser à merveille pendant quelques instants.
Finalement il défit l'étreinte, mais embrassa une dernière fois sa bien aimée.

"Je t'aime... toi... et personne d'autre..."

Il savait que cette phrase était étonnante, mais il voulait clarifier la chose. Son comportement envers les femmes n'était pas toujours exemplaire même pendant qu'il était en couple, il lui était déjà arrivé de tromper la femme avec qui il était. Mais pour Kyarah il changerait. Il renfila son boxer, et attrapa les sous-vêtements de la perfection. Commençant par le bas il déposa de tendre baiser sur le corps si tendrement offert. Oui il la rhabillait, puisqu'il était l'heure que finisse leur entretien. De plus après l'avoir déshabillé rien de plus normal que de la rhabiller, puis de cette façon il prolongeait le plaisir.
Il lui renfila ainsi son soutient-gorge. Profitant des derniers instants à deux de cet entretien.

[Désolé pour l'attente]

Quand Socrate lui dit qu'il était déjà impatien de notre prochaine rencontre, cela lui mit du baume au coeur.
Etre dans ses bras la fit devenir la femme la plus heureuse, et lorsqu'il comença à l'embrasser dans le dos, un nouveau frisson lui parcouru l'échine.

Elle pourait rester la des heures blotti ainsi, mais elle devait vraiment partir , malgré se que son coeur et son esprit lui crier de rester avec lui.
Je t'aime toi et personne d'autre... La phrase de son amant lui résoné dans les oreilles, sa voix lui paru comme une douce mélodie...

Elle fut rabillé par l'homme qu'elle aime, elle affichai un sourire qui laissé voir son bonheur intense... Lorsque Socrate eu fini de lui remettre ses sous-vetements, elle décendit du bureau et alla remetre sa robe.
Elle s'approcha de lui, se bloti une derniere fois dans contre son corps et lui offra un tendre baiser. Elle récupéra alors sa cape blanche, ouvrit la porte, se retourna vers son bien-aimé et lui dit avec un léger sourire, la voix tremblante.
Bonne soirée Socrate... Je ne cesserai de penser à toi.... Je t'aime...

Puis elle ferma la porte délicatement, ce qui clos alors cette manifique soirée. Elle ne savait pas ou allez mais elle allai sans doute se mettre dans un lieu ou elle se trouverai totalement seul pour voir et revoir ce doux moment. Elle se mit à marcher lentement, puis s'arreta net, s'adossa à un mur et sourit.

¤Amoureuse.. Je suis amoureuse! D'un bel Inconu !!!¤

Puis elle reparti direction la Salle des Professeur pour etre au calme.

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» Pleine lune... ( aux gens suicidaire, j'vous en prie xD )