Petit coin de Paradis [PV Andréa]

Gabriel retardait l'échéance. Il avait peur et peut etre meme plus qu'elle. Il avait peur de lui meme, peur de ce que ce démon était capable de faire.
Il l'embrassait tendrement, ou du moins le plus tendrement qu'il le pouvait étant donné son état de lutte contre son autre.
Ses baisers rassurèrent malgré tout la jeune fille.

*Meme durant son combat contre lui meme, il reste tendre*

Mais, au bout d'un moment la pression fut trop forte, Andréa sentit les canines du jeune homme se poser sur son cou.
Elle avait peur ca elle ne pouvait pas le nier. Mais elle était aussi avide de découvrir cette nouvelle sensation qui allait s'offrir a elle.

Soudain les crocs de Gabriel entrérent dans sa chaire. Malgré la délicatesse dont avait preuve Gabriel la douleur fut fulgurante et Andréa avait retenu un cri de douleur de justesse. Elle planta ses ongle dans le dos du jeune homme sans le vouloir.

Mais une fois cette douleur atténuée, une drole de sensation envahit la jeune fille. Ce n'était pas vraiment du plaisir, mais plutot du désir. Elle sentait son sang couler dans la bouche de Gabriel. Elle avait l'impression de lui appartenir. De plus il la tenait contre lui d'une maniére étrangement tendre étant donné son etat actuel.
Les mains d'Andréa glissérent le long du dos de gabriel pour le carresser lentement.
Elle ferma les yeux et se laissa aller et glissa au creu de l'oreil de Gabriel un leger:

Je t'aime.

Oui elle l'avait dit mais ne savait pas si elle l'avit dit assez fort pour que Gabriel l'entende étant donné qu'il était quelque peu occupé....

Au moment où Gabriel planta ses crocs dans la chair tendre de la jeune fille il sentit ses ongles dans son dos... Il lui avait fait mal... Il s'en voulu un peu, beaucoup même, mais ce sentiment passa lorsqu'il sentit Andréa se détendre et caresser son dos.
Son côté démoniaque était satisfait, et son côté humain aussi, d'un certain côté.

Mais il devait la lâcher assez tôt, afin de ne pas la mettre en danger. Il la soutenait, et l'allongea sur une banquette rouge qu'il y avait juste derrière eux. Sans ôter ses lèvres de son cou, il ne lui prenait plus de sang. Enfin, il éloigna son visage, et la regarda. Il avait les lèvres bien plus rouges que d'habitude, ses yeux reprennaient quant à eux leur couleur bleue, et ses canines une taille normale.

Il s'en voulait de lui avoir imposé ça.

"Pardonne-moi..." souffla-t-il.

Il posa sa joue contre la poitrine d'Andréa, à demi couché sur la jeune fille.

Gabriel s'en voulait d'avoir cédé à ce démon qui lui rongeait les entrailles à chaque fois qu'il se trouvait en présence de quelqu'un. Mais Andréa passa sa main dans ses cheveux, et il ferma les yeux.

Il resta ainsi quelques minutes, écoutant avec une grande joie les battements du coeur de la jeune fille raisonner dans sa poitrine, sur laquelle reposait la tête du vampire.

Il y avait quelques mots...qu'il avait entendu malgrè ses instincts de tueur...quelques mots qui l'avaient aidé à s'arrêter de boire.

"Moi aussi je t'aime Andréa..."

Il ne pensait pas être capable de redire cela un jour...

Après quelques minutes, il se redressa et alla vers la table, il prit du bout des doigts un petit fruit rouge qu'il revint le poser délicatement sur les lèvres de la jeune fille. Il fit glisser le fruit sur ses lèvres...

"Est-ce que ça va ? Comment tu te sens ?" chuchota-t-il, quelque peu inquiet malgré tout.

Ils étaient la, tous les deux, rien que tous les deux. Lui était posé sur Andréa. Plus rien ne comptait pour la jeune fille. Elle était heureuse malgré ce qu'elle venait de subir.
Elle avait les yeux fermer sentant ses forces revenir petit a petit tout en continuant de caresser les cheveux de Gabriel

Mais gabriel rompit le silence au bout de quelques minutes:"Moi aussi je t'aime Andréa..."

Le coeur d'Andréa s'arreta de battre une fraction de seconde. Il avait entendu ses paroles malgré le fait qu'il n'était plus totalement lui meme.

Une larme coula sur la joue d'Andréa, une larme de joie. Elle ne dit rien , elle en bougea pas car elle ne le pouvait pas encore.

Puis Gabriel se leva et elle fit un effort pour se redresser un peu. Il lui apporta un fruit qu'il posa délicatement sur les levres D'Andréa qui le prit délicatement avec sa bouche des doigts du jeune homme.

Oui je vais bien Gabriel ne t'inquiete pas. Je me sens juste un peu fébrile mais tout va bien. Si c'était a refaire je le referais. Et toi comment te sens tu?

Puis elle prit le visage du garçon entre ses mains et l'embrassa avec désir et tendresse. Il l'aimait lui aussi. Andréa était heureuse.

Andréa l'embrassa tendrement. Elle venait de lui dire que, s'il le fallait, elle serait prête à recommencer...

"Je me sens...inhumain..." fit Gabriel en baissant les yeux. "J'aimerai que les gens m'acceptent mais je ne peux pas calmer cet état de vampire qui me brûle. Crois-moi, c'est vraiment trop fort, trop douloureux à contenir. Cette femme...celle que...que j'ai tué, j'essayais de contenir ce démon qui me dévore intérieurement, mais il n'est devenu que plus méchant... En fait, j'ai beau ne pas avoir besoin de sang humain pour survivre, j'ai l'impression que les conséquances sont les mêmes que vpour un vampire normal, je ne peux m'empêcher de boire du sang. Je n'aurais jamais dû le faire, la première fois..."

Il devait s'y faire, car il était certainement condamné à subir ce dédoublement de personnalité durant tout le reste de sa vie.
Bizarrement, il n'en voulait pas vraiment à ses parents, ni même à ceux qui l'avaient rejeté, il s'en voulait à lui, incapable de se maîtriser. Et pourtant, ce démon qu'il y avait en lui venait du sang de son père, il ne pouvait donc s'en débarasser, ni vraiment lutter.

Il vit les deux points sanglants qu'il avait fait sur le côté du cou d'Andréa et serra les dents.

Puis il s'en approcha et y deposa un baiser, juste à côté.

Andréa voyait bien le déséspoir du jeune homme. Aussi elle essaya de la réconforter comme elle pouvait.

Tu n'es pas inhumain Gabriel sinon tu ne culpabiliserais pas. Tu n'aurais pas tous ces sentiments en toi. Et puis il y aura toujours des gens qui ne t'acepteront pas et ca, rien ne pourra le changer car malgré tout, ce coté fera toujour peur. Mais tu n'es plus seul maintenant. Je sais que la tache va etre longue et difficile. Mais je suis quelqu'un de patient et prendre des risque fait parti de ma philosophie!

Elle sourit a Gabriel toujours pour tenter de le rassurer. Mais elle savait que ca ne serait pas suffisiant et qu'il allait lui falloir du temps pour aider le jeune homme a retrouver confiance en lui.
Elle le vit regarder son cou puis il se mit a l'embrasser a coté de la morsure.

Gabriel. Ne t'inquiete pas pour moi. Je vais trés bien.
Alors tu ne crois pas que l'on devrait profiter de cette piéce et sa tranqullité?

Un petit sourir s'afficha sur le visage d'Andréa.

Tu as envi de faire quoi? Je te laisse choisir.

Elle meme avait bien une idée mais elle ne dirait rien.

Ces dernières questions firent rougir le jeune homme, qui bien que très peu timide lorsqu'il s'agissait de séduire ses proies, le devenait nettement plus lorsque ses sentiments devenaient sérieux.

Il regarda ailleurs, passant une main derrière sa nuque...

"Hum...je ne sais pas..."

Réponse cpmplètement stupide, je vous l'accorde. Mais ne sachant que dire, il aurait sans doute mieux fait de se taire.

Etait-ce le feu de cheminée qui devanait trop important ou la température de la pièce avait brusquement augmenté ?

Lui qui avait tant de répartie, tant d'assurance, charmant avec grande facilité les personnes, hommes ou femmes, qu'il avait prit pour proie, lui, devenait d'un seul coup tout gêné.

Préférant se taire plutôt que de dire quelque chose de déplacé, il tendis une main hésitante vers le col de la chemise d'Andréa et défit le premier bouton.
La respiration faible, il avança son visage, et posa ses lèvres sur sa peau douce, là où il y avait encore le tissu de sa chemise quelques secondes avant.

Andréa vit bien que ces denriéres questions embarrassérent Gabriel notamment grace a son rougissement et puis ensuite par le fait qu'il passe sa main derriére sa nuque: signe typique de la gene.
Tout cela fit sourir Andréa qui a ce moment se rappela leur premiére rencontre. Elle avait eu affaire a un autre Gabriel, plus sur de lui, qui ne doutait pas, qui savait ce qu'il voulait.

Aujourd'hui, a ce moment la, c'était l'autre face de Gabriel qu'elle découvrait, tendre, gentil et doux a la fois. Oui c'était ce Gabriel la qu'elle aimait.

Elle le regardait; il était mal a l'aise, limite perdue.
Soudain Andréa vit la main de Gabriel se diriger vers le col de sa chemise, puis il lui enleva le bouton.
A ce contact, Andréa sentit une vague de chaleur en elle qui n'avait rien a voir avec la cheminée allumée.
Elle le regardait. Ou plutot elle regardait ses yeux. Ellle se sentait bien.
Mais elle vit Gabriel qui se rapprocha d'elle et elle le sentit poser délicatement ses levres sur la peau qu'il venait de découvrir.

Andréa ne disait plus rien. Elle passa la main dans ses cheveux savourant le contact de ces levres sur sa peau.

Puis elle releva la tete du jeune homme et l'embrassa tout en passant la main sous la chemise de celui ci. Ses mains exploraient le torse de Gabriel pendant que sa bouche lui mordillait les levres...

Le démon de Gabriel changeait son sang en lave lorsqu'il apparaissait, mais là, il lui semblait que tout son être brûlait...d'une passion grandissante. Les lèvres toujours au contact du corps de son adorée, il glissa ses mains sur la chemise et défit un autre bouton, puis un encore... Il continua, mais sans la brusquer, sans se montrer trop impatient, afin qu'elle puisse le stopper si elle jugeait qu'il allait trop loin.
Mais elle le laissa faire, et l'y encouragea même, en caressant son torse, passant ses mains sous sa chemise noire. Ses mains, leurs caresses...voilà qui donnait à Gabriel le sentiment que les flammes l'envahissaient de plus belle.

Le jeune vampire enlaça Andréa, en passant sous les pans de sa chemise désormais béante, et la redressa tout en continuant de couvrir de baiser sa poitrine, son cou, ses épaules... Il fit glisser le tissu et le remplaçait par ses baisers et ses caresses.

Ses mains parcouraient le dos désormais nu de la jeune fille, et lorsqu'elles se trouvèrent en contact avec son soutient-gorge, elles le dégrafèrent doucement. Remontant vers les épaules d'Andréa, et d'un geste qui pourrait presque sembler involontaire, il fit glisser son soutient gorge devant elle, et passa avec douceur ses doigts sur sa poitrine.

Puis ses doigts furent remplacés par ses lèvres, qui allaient et venaient, comme savourant chaque petite partie de la peau douce d'Andréa.

Andréa, qui ne voulait pas géner Gabriel le laissa faire a son rythme, selon ses envies. Elle le sentit, petit a petit prendre confiance en lui.
Les mains de Gbriel se mirent a défaire un bouton, puis un autre, et encore un autre jusqu'a ce que la chemise d'Andréa soit completement ouverte offrant ainsi a la vue du jeune homme sa poitrine.

Il se mit a l'embrasser, sa poitrine, son cou, ses épaules... Andréa était au comble du désir. Elle se mit elle aussi a défaire la chemise du jeune homme, lentement. Elle voulait savourer cet instant. Sa chemise était également ouverte et Andréa en profitant pour admirer le corp magnifique de son amant. Elle senti Gabriel l'enlacer tendrement, il lui caressait le dos. A ce contact Andréa eut un frisson de plaisir.

Mais les choses s'accélérent quelque peut quand elle remarqua que Gabriel lui dégraffait son soutient gorge. Quand il le fit tomber devant elle, les oues d'Andréa devinrent légérement rouge. Mais elle ne s'arreta pas pour autant. Il l'embrassa, a cet endroit qui venait d'etre mis a nu. Cette sensation était tellement agréable...

Huuumm....

Andréa ne put retenir un soupir de plaisir a ce contact. Mais Andréa voulait elle aussi donner du plaisir a Gabriel. Elle le débartassa donc entiérement de sa chemise, puis l'allongea doucement.
Elle se mit assise sur lui, a qualifourchon.

Elle embrassa tout d'abord sa bouche puis descendit trés doucement vers son cou, ses mains carressant le torse nu de Gabriel. Mais ses mains furent vit remplacées par sa bouche. Elle nembrassa d'abord le torse lui mordillant lérégement les seins. Puis sa bouche descendit le long du ventre du jeune homme jusqu'a atteindre la ceinture...

Le soupir d'Andréa conforta Gabriel dans ses actes, d'autant plus qu'elle lui ôta à son tour sa chemise découvrant son torse. Elle l'allongea, et il se laissa faire, comme entraîné dans une valse étourdissante, dans lequelle il était bon parfois de se laisser guider.

Lorsqu'elle se mit sur lui, Gabriel se sentit tellement brûlant de désir qu'il eut même peur qu'elle s'en apperçoive. Elle l'embrassa, embrassa son torse, descendant, encore plus bas. Au fur et à mesure que ses baisers parcouraient le torse du jeune homme, sa respiration s'accellérait. Il se mordit la lèvre en fermant les yeux, ivre de cette tendresse qu'il ne connaissait pas.

Mais cette avalanche de sentiments n'allait-il pas risquer de le réveiller à nouveau ? Ce démon noir et assoiffé de sang qui dormait dans le coeur de Gabriel n'allait-il pas être intéressé par tout cela ?

A cette pensée, Gabriel eut, durant une ou deux secondes, le réflexe d'analyser son propre coeur, pour essayer de percevoir les envies qui le dominaient...Mais il n'y avait d'envie que celle d'enlacer, d'embrasser et de caresser encore et encore le corps d'Andréa.

Les baisers de celle-ci arrivèrent au niveau de la ceinture du jeune homme, qui, la respiration saccadée et le corps brûlant, s'était abondonné à elle et à ses caresses.

Gabriel commencait a vraiment se détendre, Andréa le remarqua trés vite.
Elle qui ne voulait pas aller trop vite pour lui, compri maintenant que tou se passerai bien. Lorsqu'elle se mit au dessus de lui, qu'elle commenca a l'embrasser elle avait senti la respiration du jeune homme s'accélérée ce qui l'encouragea a continuer.

Au moment ou elle avait atteint la ceinture de Gabriel la respiration de ce dernier ce fit saccadée. Il était brulant de désir. Tout comme elle.
Elle continua donc ses baisers a ce niveau tout en carressant le corps de Gabriel.

Puis elle remonta doucement, continuant d'embrasser inlassablement ce corps dont elle avait tant envie.
Elle remonta jusqu'a la bouche l'embrassant avec envie tandis que ses mains s'attardaient a la ceinture de son amant le carressant tendrement.

Elle avait tellement envie de lui. Mais en meme temps elle avait peur que cette situation ne reveil l'autre face de Gabriel. Puis elle regarda le jeune homme qui se mordait la levre et elle comprit que cette fois ci il resterait lui meme.

Sa main entreprit donc de défaire la ceinture, puis de déboutonner les pantalon de Gabriel. Tout en l'embrassant elle glissa une main a l'interieur... Puis le regarda tendrement.

Lorsque Andréa s'allongea sur lui de nouveau pour l'embrasser, Gabriel sentit sa poitrine nue contre son torse. Il caressa son dos avec amour et passion.

Il sentit la main de la jeune fille toujours à sa ceinture, elle l'avait défaite et...avait passé sa main dans son pantalon. Les caresses de Gabriel redoublèrent d'intensité. Il descendit le long du dos d'Andréa, et glissa lui aussi ses doigts sous le haut de son pantalon...

Puis il se redressa doucement, gardant ses lèvres au contact de la jeune fille, et passa ses mains sur le ventre d'Andréa. Il défis son jean, puis passa ses mains en desous, glissa sur la peau nue de la jeune fille, afin de lui enlever le jean et ses sous vêtements.

Il rallongea sur lui Andréa, désormais nue, en explorant de ses mains et de ses lèvres tous les endroits qu'il pouvait atteindre.

Andréa qui, au premier abord avait eu peur de brusquer Gabriel dans ces gestes fut tout de suite rassurée. Au moment ou elle passa sa main dans le pantalon de son amant, celui ci lui répondit avec des caresses plus pressante ce qui eu pour effet d'encourager la jeune fille qui intensifia ses gestes.

Elle était heureuse. Elle se sentait tellement bien dans ses bras. Cela faisait des années qu'elle n'avait pas ressenti toutes ces émotions. Certaines meme était nouvelles pour elle. Jamais elle n'avait aimé comme a ce moment précis, dans les bras de l'homme qu'elle aimait. Les seules personnes qu'elle avait aimé auparavant étaient bien évidemment ses parents. Depuis leur disparition il y avait un grand vide en elle. Vide que Gabriel avait réussi a combler.

Il glissa lui aussi ses main sous le pantalon de la jeune fille. Elle frissonna de plaisir. Il se redressa, tout en faisant bien attention de garder ses levres contre celles d'Andréa. Puis doucement il lui enleva ses derniers vetements. Elle était nue devant lui. Nue. Malgré sa confiance naturelle qu'elle avait en elle, elle ne put s'empécher de rougir. Il la rallongea sur lui, elle regarda Gabriel puis s'empara de sa bouche. Elle s'arreta un instant et murmura contre ses levre:

J'ai envi de toi Gabriel. Je t'aime

Elle se releva et invita Gabriel a faire de meme. Une fois tous deux debout, elle fit glisser le pantalon du jeune homme. Ils étaient maintenant nus tous les deux, l'un en face de l'autre. Elle se recula legerement pour pouvoir admirer cet homme, l'homme dont elle venait de tomber amoureuse.

Les mots de la jeune fille firent sourire Gabriel, qui pensait la même chose à son sujet.

Elle le fit se lever, et lui enleva les vêtements qu'il lui restait.Ils étaient nues tout les deux, s'admirant et se désirant.

Andréa le regardait, le regard brillant. Gabriel eut un nouveau sourire. Il n'avait jamais vraiment pris soin de son corps, mais il avait un beau torse, musclé mais pas trop large, voire même plutôt fin, mais bien dessiné.

La jeune fille qui se tenait devant lui était magnifique. Gabriel resta ainsi quelques secondes, en se disant qu'il était l'homme le plus chanceux de la terre.

Puis il s'avança vers elle, la saisis délicatement à la taille et alla l'allonger sur la canapé rouge. Il se mit sur elle, lui écartant les jambes, puis il la pénétra doucement, peu à peu, ne voulant ni lui faire mal, ni la brusquer.
Il l'embrassait, baladant ses mains sur tout le corps d'Andréa, s'attardant sur ses seins, puis sur ses cuisses.

Andréa et Gabriel s'admiraient mutuellement. La gene qu'avait éprouvé la jeune fille avait disparu. Le regard qui était posé sur elle l'exitait d'avantage. Elle admirait Gabriel de haut en bas. Il était parfait en tout point. Oui vraiment parfait.

Elle était brulante, brulante de désir. Il se repprocha d'elle la prit par la taille et l'allongea délicatement sur le canapé. Elle se laissa faire, a ce moment la elle ne réponait plus de rien. Elle était sienne. Et, elle aimait cette sensation d'appartenir entiérement a quelqu'un qu'elle aimait.

Il se mit sur elle, délicatement lui écarta les jambes et tout aussi délicatement la pénétra. A ce contact Andréa ferma les yeux, se mordit la levre de plaisir. Elle passa ses jambes autour de lui, en l'encerclant.
Il l'embrassait, la caressait passant ses mains sur ses seins, sur ses cuisses... Andréa l'encouragea a continuer par des mouvements de ses hanches qui se faisaient de plus en plus pressant.

Elle passa sa main dans les cheveux de Gabriel, dans son dos, sur ses fesses. Elle voulait toucher chaque recoint du corps du jeune homme.
Leur baisers se faisaient plus profond, plus intenses.

Andréa l'avait entouré de ses jambes...comme il aimait cela ! Submergé par ses caresses, se sentant comme brûlant de fièvre, effectuant de lents mouvements de va-et-vient, sentant son désir s'étendre de plus en plus, comme s'il prenait par de chaque recoin de son corps, jusqu'au bout de ses doigts parcourant le corps d'Andréa.

Il l'embrassait, puis ses baisers descendaient le long de son cou, qu'il mordit...mais pas du tout de la même façon que la première fois. Il n'y planta pas les dents, qui étaient d'ailleurs normales, mais les fit glisser sur la peau de la jeune fille.

Il laissa échapper un gémissement de plaisir. Les doigts d'Andréa qui caressaient ses cheveux le faisaient frissonner.

La sensation qu'il ressentait alors était indescriptible, juste à vivre. Il espérait qu'Andréa ressente autant de plaisir que lui, et faisait tout pour que cela soit le cas. Il intensifia des mouvements de bassin et ses caresses.

Leurs deux corps ne faisaient plus qu'un. Cette situation mettait Andréa dans tous ces états. Tant de sentiments différents affluaient en elle en meme temps. Elle le désirait, elle l'aimait, elle avait également peur pour lui. Elle ferait tout pour ne pas le perdre. Elle ne le supporterait pas.

Elle sentait Gabriel contre son corps. Tout comme elle il était brulant. Ses mains parcouraient le corps de la jeune fille dans ses moindre recoin n'oubliant rien.

Les levres de Gabriel descendirent le long du cou d'Andréa ce qui ne la gêna pas. Elle n'eut aucun mouvement de recul, ni meme une seule seconde d'hésitation. Elle savait bien que cette fois ci, ce n'était pas pour la mordre comme il l'avait fait. Elle sentit Gabriel qui la mordait, avec douceur, tendresse. A ce contact Andréa soupira de plaisir...

Tous ces baisers, toutes ces carresses rendaient Andréa folle de désir. Elle ne controlait plus rien. Lorsqu'il acceléra ses mouvements de bassin Andréa prit possession de la bouche de Gabriel, elle lui mordait les levres.

Elle se redressa doucement, tout en gardanr le contact avec la bouche de Gabriel. Elle se mit assise face a lui. Elle le regarda dans les yeux et commenca a son tour ses mouvement de va et vient sur le jeune homme.

Andréa l'embrassait en lui mordant les lèvres, ce qui rendait Gabriel encore plus fou de plaisir.

Elle était désormais assise contre lui et ses mouvements mettaient le jeune homme dans tous ses états, ne pouvant retenir d'avantage ses soupirs et ses gémissements.

Son désir atteignait les sommets, et son plaisir son paroxisme. Serrant Andréa contre lui, plus rien n'avait d'importance. Son démon ne se réveillerait pas, il le savait, car il était étouffé par tout ce bien être, tant d'émotions...

Gabriel passa une main dans les cheveux d'Andréa et l'embrassa encore et encore, comme s'il ne parvenait pas à satsifaire tout son désir. Ses gestes se faisent plus rapides, ses caresses, ses baisers...tout.

Un mouvement fut plus lent mais aussi plus profond et passionné que les autres, durant lequel Gabriel eut un gémissement plus marqué.

Leurs ébats devenaient de plus en plus intense. Lorsqu'Andréa changeat de position, elle vit que Gabriel était dans tous ces états. Elle continua donc ses va et vient, elle meme au bord du plaisir supreme.

Elle l'entendait gémir, ce qui l'éxita davantage. Elle sentit Gabriel attraper ses cheveux. Il l'embrassait avec passion, elle lui rendait ses baiser de la meme façon.

Elle le sentit accelérer ses gestes, ses baisers signe que le moment allait arriver. Un mouvement se fit, plus lent, mais aussi plus profond que les autres ce qui fit lacher a Gabriel un gémissement plus marqué. Elle meme a ce moment la, sentit qu'elle avait atteint le plaisir supreme. Elle se colla a lui, le serra trés fort et laissa échapper un petit cri de satisfaction.

Elle resta ainsi contre lui, posant sa tete dans le cou du jeune homme tout en y déposant de multiples baisers.

La respiration de Gabriel était encore rapide. Son corps en tremblait presque. Andréa l'embrassait dans le cou, et Gabriel la gardait serrée contre son coeur.

Il resta dans la même position quelques minutes, savourant encore l'instant, le contact le la peau nue d'Andréa, de ses seins, ses jambes...et ses lèvres.

Il redressa la jeune fille pour mettre son visage devant ses yeux, la regarda intensemment et l'embrassa. Sans rompre le contact de ses lèvres sur les siennes, il l'allongea doucement, passa ses mains dans son dos, jusqu'à sa taille.

Lorsqu'il fut de nouveau sur elle, il se retira délicatement, tout en continuant de couvrir son corps de baiser. Puis il posa sa tête contre son ventre. Il la sentait respirer, il sentait même son coeur battre, il l'entendait.

Sa tete posée dans le cou de Gabriel, son corps collé au sien, Andréa sentait la respiration de son amant. Elle était rapide, a la limite du tremblement. Ils restérent ainsi quelques minutes savourant encore le contact de leur corps.

Puis elle sentit Gabriel la redresser. Il l'a fixa d'une telle intensité qu'Andréa en fut troublée. Il l'embrassa ensuite.... Qu'elle aimait ce contact, celui des ses levres contre les siennes. Oui elle aimait ca et elle espérait bien que ces moments se renouvelleraient.

Gabriel l'allongea doucement passant les mains dans le dos d'Andréa. Il se retira doucement et contina ses baiser sur tout le corps de la jeune fille qui frissonna a ce contact. Elle avait la respiration saccadée, son coeur battait la chamade. Son coeur battait et cela, pour Gabriel. Il posa sa tete sur le ventre de la jeune fille. Elle passa ses mains dans les cheveux de Gabriel. Elle le carressa tendrement...

Puis au bout de plusieures minute elle rompit le silence:

Gabriel. Promet moi que tu ne me laissera pas....

Non elle ne pouvait pas imaginer qu'il la quitte car a présent, elle ne voyait plus sa vie sans lui.

Gabriel. Promet moi que tu ne me laissera pas....

A ces mots Gabriel se redressa et regarda Andréa dans les yeux.

"Pourquoi voudras-tu que je te quitte ? Je t'aime bien trop pour pouvoir te laisser ! Tu es la seule à croire en moi, tu ne m'as pas repoussé alors que j'ai faillit te mordre..."

Gabriel embrassa Andréa.

"Je serais toujours là." fit-il en lui donnant un baiser entre chacun de ses mots.

Passant sa main sur la peau douce d'Andréa, il partit de son visage et descendit jusqu'à son ventre, sur lequel sa main resta quelques instant, posée à plat.

Puis il se releva et remit ses sous vêtements et son pantalon noir, mais resta torse nu. Il regarda la jeune fille, toujours sur le canapé, nue...

Il eut un sourire.

"Je suis vraiment chanceux de t'avoir rencontré..." dit-il.

Puis il se tourna vers la table en disant :

"Viens, je te sers quelque chose à boire ? Il y a ...euh...bah un peu de tout..." fit-il en voyant les bouteilles ressemblées sur une petites tables ronde, juste à côté de la grande table.

"Je serais toujours là."

Cette phrase fit fondre le coeur d'Andréa. Elle l'aimait tellement. Il carressa doucement son visage puis descendit jusqu'a son ventre ou sa main reposa quelques instants.
Elle le regarda dans les yeux.

A partir de maintenant nous ne seront plus jamais seuls.

Il se releva, commenca a se rhabiller. La jeune fille se tourna sur le coté pour mieux l'observer. Elle était encore nue. Il ne remit que son pantalon laissant sa chemise a terre. Il la regarda lui disant qu'il avait beaucoup de chance de l'avoir rencontré. Elle lui fit un petit sourire.

Lorsqu'il l'invita a boire quelque chose. Elle regarda ce qui leur était offert et vit le nombre impressionant de bouteilles.

Ca c'est sur que nous avons le choix. Je prendrai comme toi.

Elle enfila ses sous vetement et passa par dessus la chemise de Gabriel qu'elle laissa ouverte. Elle s'approcha de lui et l'embrassa tendrement.

Je pourrais reste dans cette pieces, avec toi, jusqu'a la fin de ma vie. Je viens de passer un moment magnifique..