Pas de limites!

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Torben Badenov était mélancolique ce soir. Il pensait a beaucoup de choses... Trop de choses.... Il marchait dans la nuit, des visages et des paroles tournoyant dans son esprit. Son père qui l'envoyait ici... Sa femme pleurant de douleur... Ses camarades mourant autour de lui... Un cri d'enfant par dela les flammes... Dieux! La guerre était chose terrible! Torben maudit tous ces souvenirs. La guerre était la seule chose qu'il savait faire. Il prenait même du plaisir a la faire. L'odeur et le goût du sang... le contact de la lame froide contre les chairs de l'ennemi... le moment intime de la mort... Il savait comment oublier ses souvenirs. Il n'en était pas a sa première fois. Après tout, personne ne serait là pour lui faire la morale. Il poussa la porte d'un bar sordide et entra.

Une atmosphère lourde règnait dans l'endroit. Fumé de tabac et d'autres substances, odeur forte d'alcools forts. Des grognements d'hommes déja raides. Torben aimait déja cet endroit. Il se dirigea vers le bar et s'assit sur un tabouret devant. Il détailla les bouteilles. Pas de vodka. Quels barabres. Tant pis, il était en manque, il se satisferait de ce qu'il y avait.

- Barman, Whisky Pur feu ici!
demanda t'il a la volée

Il attendit sa consommation. L'homme posa un verre remplit d'un liquide ambrée. Deux secondes plus tard, le verre était vide.

- Barman, laissez la bouteille, sa vous évitera des déplacements ultérieurs, tiens ben ramenez m'en une autre, celle-ci se sent seule, demanda t'il en posant une pièce d'or sur le comptoir.

Andréa prenait gout à ces sorties nocturnes. Certes, elle y faisait des rencontres pas toujours très....... bonnes. Quoi que, cela dépendait de quel coté l'on se placait.
Mais ce soir encore, le besoin d'oublier se faisait sentir...
Elle se dirigea donc à nouveau vers ce bar,qui lui avait apporté tant de réconfort, à sa manière, la dernière fois....

Tout comme la dernière fois également, Andréa avait tout fait pour se vieillir d'avantage, même si au fond, elle savait que le barman s'en fichait royalement....

Elle marcha donc en direction de La tête de sanglier. Bar infâme, mais appaisant a sa manière.
Elle s'alluma une cigarette, chose qu'elle n'avait pas fait depuis plusieurs mois maintenant. Mais bon avec une bonne boisson cela allait toujours bien.

Elle poussa la porte et pénétra a l'intérieur. Des hommes ivres morts étaient déja présent.
A la voir ici, elle ne paraissait pas à sa place. Il n'y avait pas de femmes uniquement de vieux alcoolique...
Uniquement? non.... Andréa remarqua un jeune homme seul au bar, deux bouteille devant lui.
Elle commanda un whisky pur feu, comme la dernière foi et s'approcha du jeune homme.

Vous avez drôlement soif à ce que je vois.... Mais ce n'est pas vraiment agréable de boir seul...
En tout cas moi ca me lasse. C'est tellement mieux d'avoir un peu de compagnie...

Un sourire en coin se desina sur les lèvres d'Andréa. Allait il la repousser, ou alors allait il engager la conversation? Elle écrasa sa cigarette attendant la réaction du jeune homme.

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Torben regarda le barman après avoir vidé ses premiers verres. Une vraie honte. L'homme était sale et servait les gens comme ça. Cela lui donnait presque envie d'arreter de boire. Presque! Il regarda d'ailleurs son verre. Sale évidemment, quand on voit les mains du type en face de lui. Il le porta néanmoins à ses lèvres et descendit son contenu d'un trait. Les yeux de Torben se fermèrent et il eut un frisson le long de l'échine. Pas si mauvais cette cochonnerie. Il se resservit un verre et vit que la première bouteille était presque vide.

Il entendit quelqu'un pousser la porte, mais le temps qu'il mit à se retourner, la personne n'y était déja plus. En revanche, une jeune et jolie femme se tenait à côté de lui. Elle se pencha vers lui et parla mais Torben mit quelques secondes à tout comprendre. Dieux, cette boisson tape vite et fort! Il regarda à nouveau la jeune femme qui venait de finir son verre en le regardant. Il lui en resservit un.

- Torben Badenov, enchanté de vous rencontrer
dit il en inclinan légèrement la tête.

- Non effectivement, boire seul n'est pas mon fort, mais ces ivrognes me répugne. vous vous joignez a moi?

Ce jeune homme était plutôt charmant, elle devait le reconnaitre. Lorsqu'il remarqua que le verre de la jeune fille était vide, il le lui remplit à nouveau.
Andréa lui fit un sourire de remerciemment.
Le jeune homme se présenta. Andréa le trouvait plutôt sympathique au premier abord..... peut être se trompait elle? Elle allait bien vite le découvrir.

Enchantée Torben. Je m'appelle Andréa Dark.

Se joindre a lui..... Evidemment qu'elle allait le faire. Elle y comptait bien, lorsqu'elle l'avait abordé....

Bien sûr ce sera avec plaisir. Je dois avouer que la compagnie de ces immondes sacs a vin ne plait guère à moi non plus...

Andréa regarda les quelques hommes qui se trouvaint là, ivres morts. Et malodorants. Une expression de dégoût de dessina sur son visage.
Elle prit une longue gorgée de son breuvage... L'alcool lui donnait chaud. Elle enleva donc sa cape, se retrouvant simplement en robe.

Puis je savoir ce qui vous ammène dans ce....... cet endroit.

Elle allait dire ce bar. Mais lorsqu'elle voyait ces ivrognes, cela faisait plutôt penser à un bordel, les filles en moins.

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Torben tenta de regarder plus attentivement la jeune femme, et conclut qu'elle avait l'air fort sympathique. Elle était très séduisante dans sa robe, et semblait bien éduquée. Et elle aime l'alcool. Souriant, il leur ressevit encore un verre. Torben le porta encore une fois à ses lèvres et se rendit compte qu'il avait désormais l'impression d'avoir du plomb en fusion dans l'estomac, mais bizarrement il aimait cette sensation. Il l'avait déja connue pour la première fois une dizaines d'années plus tôt. Oh non! les souvenirs reviennent encore! Le jeune estonien remplit donc son verre et le but encore d'un train, chassant ces souvenirs au plus profond de lui.

A la remarque d'Andréa, il jeta un coup d'oeil aux soudards dérrière lui. Quelle pitié. S'il aimait l'alcool, il n'avait jamais été réduit a cet état pitoyable. De véritables déchets. Torben détourna le regard, sentant monter des pulsations meurtrières réfrénées remonter à la surface.

- Et bien, je viens aussi pour... pour... et bien, c'est une bonne question! j'en ai besoin, c'est tout, je pense. Et vous?

C'est vrai après tout, une jeune femme de la qualité d'Anréa n'avait encore moins à faire ici que lui, noble estonien! Qu'est ce qu'une telle personne faisait-elle dans un tel lieu?

Torben leur resservit un verre. Cela faisait le troisième d'Andréa. Elle aimait cette sensation de bien être que lui procurait l'alcool qui la réchauffait de l'intérieur....

Malgré qu'elle soit jeune, et de plus une fille, elle tenait particulièrement bien l'alcool. Mais le Whisky pur feu était vraiment un breuvage corsé. Encore quelques verres et ses idées ne seraient plus très claires...

Elle voyait que Torben la detaillait et elle en fut flattée. Il avait du savoir vivre, était très poli et de plus charmant... Andréa ne regretta donc pas d'être sortie ce soir.

Ce que je fais ici.... J'ai seulement besoin d'oublier certaines choses qui me tourmante depuis plusieurs jours.
Et je savais qu'ici je ne croiserais personne que je connais...

Malgré elle, un sourire se dessina sur le visage d'Andréa, un sourire quelque peu triste. Elle n'allait pas entrer dans les détails, car même si Torben avait tout l'air d'être quelqu'un de bien, elle ne le connaissait pas.

Votre prénom.... C'est de quelle origine?

Elle n'avait jamais entendu ce prénom, et elle en conclut donc que Torben n'était pas anglais.

Invité

La bienséance et les bonnes manières auraient sans doute étaient entachées de ce que faisait Torben. Il avait encore servit une boisson très forte à une femme. Chez lui, faire boire les autres était très mal vu, sauf entre compagnons d'armes. Torben sourit en pensant a son vieux précepteur, un vieil allemand un peu fou. Fou certes, mais terriblement doué pour faire des guerriers et des nobles. Sans lui, Torben serait probablement mort. Le jeune estonien eut un peu honte de lui. Faire boire une femme était non seulement mal vu, mais cela était aussi inconvenant, surtout en sachant ce que lui devenait au bout d'une ou deux bouteilles. Néanmoins, cela ne l'empêcha pas de le faire, l'esprit sans doute déja embrumé par ses nombreux verres.

Alors elle aussi avait besoin d'oublier quelque chose. C'était la seule explication logique après tout. Elle avait raison. C'était l'endroit idéal pour oublier. Personne, aucune connaissance. Aucune limite. Ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient tout le monde s'en ficherait. C'était peut être justement pour se lâcher que Torben était venu ici. Torben vit clairement que ce qu'essayait d'oublier Andréa la rendait triste. Il n'insisterait pas, ou alors un peu plus tard peut être.

- Mon prénom est estonien. Je suis né là-bas. J'y avait des responsabilités, j'avais des projets, mais mon père a jugé bon de m'envoyer ici. C'est peut être mieux après tout. Vous venez souvent boire ici? vous avez l'air de quelqu'un habitué a la boisson, sans vouloir vous offenser Madame.

Andréa continuait de boire au fur et mesure que son verre se remplissait.
Les effets de l'alcool commençaient à se faire sentir peu à peu.
Mais elle pouvaient encore se permettre quelques verres avant que cela ne se remarque.

Estonien.... Moi je suis née ici et j'ai vécu en France pendant quelques années. Mais j'ai dû revenir ici, je n'avais pas vraiment le choix.

A la dernière remarque du jeune homme, Andréa ne put s'empêcher de sourire... Madame avait il dit? Elle n'avait pas l'habitude qu'on l'appel ainsi étant donné son âge... réel.

Allons Torben. Nous partageons notre soirée autour d'une bouteille. Appelez moi au moins par mon prénom. lui dit elle avec un sourire charmeur malgré elle.

Vous ne m'offensez pas du tout. Il est vrai que ces derniers temps je viens de plus en plus en souvent. Je commence a avoir de l'endurance niveau alcool!!!
Et vous? C'est la première fois que je vous vois ici? Dans le cas contraire je m'en serais souvenue...

Alors qu'elle buvait une autre longue gorgée elle voulut s'allumer une autre cigarette.

Ca ne vous dérrange pas j'espère? Si c'est le cas dites le moi.

Enfin étant donné l'odeur qui rêgnait ici, une cigarette de plus ne se sentirait pas vraiment... Mais elle pouvait comprendre.

Invité

Torben commençait à ressentir les effets de l'alcool dans tous ses membres. La deuxième bouteille venait d'être vidée, et il fit signe au barman d'en rajouter quelques autres. Il se sentait bercé par les effets du Whisky, par la présence d'Andréa et l'ambiance chaleureuse du bar. Il se sentait de nouveau bien.

- La france? je connais un peu... ils avaient des problèmes avec des trolls il y a trois ans. Mes gens et moi avons aider à résoudre ce problème.
dit il d'une voix sans timbre.

- Eh bien d'accord dans ce cas. Et pourquoi une jeune fille telle que vous viens ici souvent, dans un tel lieu? Je viens ici pour la première fois, bien que je dois avouer que j'ai du trajet dérrière moi en parlant d'alcool.

Torben était quelque peu charmé par ce sourire, et par cette jeune femme. Il rêvait où elle venait de lui faire un compliment? Torben mit sa sur le compte de l'alcool et regarda Andréa s'allumer une cigarette. Cela lui fit penser qu'il en avait lui aussi. Il en sortit une et l'alluma. Il inspira profondément la fumée.

- Non non, cela ne me déranges pas du tout. Parlez moi un peu de vous...

Alors que leurs verres se vidaient, ainsi que les bouteilles, Torben commanda a nouveau. Andréa savait que sous l'effet de l'alcool elle pouvait comettre des choses regretables.... Mais il était trop tard, elle avait déja trop bu pour faire machine arrière.

Vous parler de moi?! Il n'y a pas grand chose a dire. J'ai perdu mes parents ils y a plusieures années maintenant. Je n'ai pas de famille et tout ce qu'il me reste c'est un héritage conséquent.

Elle parlait et oubliait complétement où elle se trouvait et avec qui.

Je viens ici pour oublier mes problèmes suite à un choix que j'ai fais. Je ne suis pas sûre d'avoir fait le bon. C'est une rencontre qui a tout chamboulé...

Gabriel....... Que faisait elle? Qu'allait elle faire.... Pouvait elle encore faire marche arrière? Elle savait que non. L'alcool prenait le pas sur la raison et quand elle se reveillerait demain....

Et vous? Qu'est ce qui vous amméne ici? Et qui sont ces personnes que vous nommé "vos gens"?

Allait elle trop loin dans ces questions? Elle espérait que non. Ce jeune homme l'intriguais.
Elle termina un autre verre. Elle ne savait plus a combien elle en était.
Elle se rapprocha dangereusement de Torben, un autre sourire naquit sur ses lèvres. Elle ne se contrôlait plus. L'alcool drirgeait ses actes à présent...

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Torben réfléchit a ce que disait Andréa. Elle était orpheline. Lui avait encore ses parents, mais le jeune homme avait des projets tout particuliers pour son père... Lui aussi avait de l'argent. Les badenov faisaient partit des plus riches nobles du pays. Enrichis par de biens diverses manières. Le pillage pendant les dernières guerres avait renfloué les caisses, mais la base de leur fortune reposait sur le travail de leurs serfs. En échange les Badenov entretenait une force guérrière pour les protéger. Malgrès l'alcool qui lui embrumait l'esprit, il se souvint que le système féodal avait été depuis longtemps aboli en Grande-Bretagne.

Ainsi c'était un problème sentimental qui poussait la jeune fille à se plonger dans la boisson. Il se souvint que ce fut son cas il y a longtemps, lorsqu'il pouvait encore aimer. Il avait vu et fait trop de choses depuis pour que cela puisse lui arriver un jour.

Torben commençait sérieusement à se sentir partir. Son esprit commencer déja a divaguer. Bon signe. Ses souvenirs sont profondément enfouis. Il remarqua aussi qu'Andréa semblait bien partie. Il ne pouvait pas nier qu'elle le fascinait. Elle semblait jeune, mais très forte, bien que blessée par un mal...

- Mes gens sont les serfs qui vivent sur les terres de ma famille. Ils nous fournissent une part de leur travail contre notre protection contre nos voisins. C'est un système très ancien.

Torben la vit se rapprocher a quelques centimètres de lui. Il éprouvait désormais du désir pour Andréa. A jeûn il n'aurait sans doute rien tenté, mais là il était guidé plus par l'alcool que par la pensée. Il se rapprocha a son tour et l'embrassa fougueusement, en posant ses mains sur la taille d'Andréa

Il avait donc des personnes a son service, travaillant pour lui et sa famille... Sa famille devait donc être très puissante dans son pays car lorsque ce système était encore en vigueur en Grande Bretagne, s'étaient les seigneurs qui avaient des terres et des serfs.... Andréa avait l'esprit embrumé par l'alcool elle vida un autre verre qui en moins de quelques minutes fit son effet.

Au moment où Torben se jeta sur elle pour l'embrasser avec fougue, Andréa ne put bouger.... Son corps ne répondait plus. Elle avait trop bu. Beaucoup trop bu. C'est l'alcool qui lui dictait ses actes à présent...
Dans quoi s'engageait elle? Elle ne réalisait même plus ce qu'elle faisait.

Lorsqu'elle sentit les mains de Torben sur ses hanches cela provoqua une sensation étrange chez la jeune fille. Elle eut un frisson malgré elle.
Ce qu'elle ressentait n'avait rien a voir avec les moments d'intimité avec Gabriel... Mais ce fut un frisson de plaisir tout de même.

Elle passa une de ses mains dans la nuque du jeune homme afin d'approfondir leur baiser et de son autre main attira le jeune homme.

Allait elle se souvenir de cette soirée...

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Torben continua d'embrasser cette jeune fille avec passion. Il ne savait plus où il était, ne savait plus ce qu'il faisait, mais au final, sa lui plaisait plutôt bien. Il se leva doucement, et décolla ses lèvres de celles d'Andréa. Cette nuit il se lachera. Cette nuit il ne pensera à rien. Il se pencha sur le comptoir, làcha de quoi payer et repris quelques instants ses esprits. Il se redressa, prit la dernière bouteille, enleva le bouchon avec ses dents et la termina en buvant au goulot. Si les nobles le verraient ainsi, tel un animal dans un lieu de débauche...

Il avait l'esprit complétement dévasté. Il prit Andréa par la main et l'emmena à sa suite. Il eut du mal a monter les escaliers, il lui semblait que la terre bougeait sous ses pieds et que les marches cherchaient a éviter ces pieds. Plusieurs fois il s'arreta dans sur les paliers pour embrasser Andréa qui semblait être a peu près dans son état. "Tant mieux" pensa Torben, qui ne voulait pas penser au réveil, s'il se réveillait....

Ils traversèrent plusieurs couloirs toujours en s'arrêtant de temps en temps pour laisser libre cours a leurs envies. Torben s'arrêta finalement devant la chambre numéro 15. Il n'aurait su dire pourquoi. Il lacha Andréa et regarda la porte. D'un coup, il l'ouvrit ou plutôt l'enfonça avec l'épaule. Il se retourna en souriant, grommelant comme quoi il n'avait pas de clé. Il la prit dans ses bras et referma la porte. La nuit s'annonçait pleine de débauche pour les deux jeunes gens.

Alors qu'ils s'embrassaient, Torben la lâcha quelques instants afin de payer l'addition sans oublier de finir la bouteille. Andréa réfléchissait, ou plutôt ~~(l'ami de Mickey)~~, essayait de réfléchir. Une partie d'elle même se disait qu'il fallait qu'elle parte tout de suite avant de comettre une erreur. Mais l'autre, noyée dans l'alcool l'en empechait...

Elle se laissa donc entainer par Torben, qui l'emmena vers l'étage... Il semblait dans le même état qu'elle... Ils avaient tous deux beaucoup de mal a gravir les marches, qui ne semblaient pas très coopératives...
Ils s'arretaient de temps en temps pour continuer leur baiser...

Lorsqu'ils arrivèrent devant la porte, sans savoir par quel miracles ils avaient réussit, Torben enfonça la porte a coup d'épaule et Andréa ne put s'empecher de sourire...
Il la prit dans ses bras et referma la porte. Andréa passa les siens autour de son cou et l'embrassa de manière sensuelle en se collant a lui... Elle l'attira vers le lit qui se trouvait dans la pièce.

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Torben sentit les lèvres d'Andréa à nouveau contre les siennes. Il répondit à ses baisers avec fougue. Elle l'attira vers le lit, mais dans leur précipitation heurtèrent la table de nuit. Torben l'embrassa dans le cou et mit ses mains sur le corps d'Andréa. Ils restèrent quelques instants contre la table de nuit, puis Torben l'emmena devant le lit. Ils s'embrassèrent pendant de longs instants, puis le jeune homme retira les attaches de la robe d'Andréa. La robe tomba au sol, révèlant le corps dénudé de la jeune femme.

Elle et Torben tombèrent sur le lit. Ils se caressèrent furieusement et leur respiration s'accélèrait. Une vague de désir submergea Torben qui voyait désormais le corps d'Andréa tel qu'il était. Elle était très belle, sa peau était très douce et leur corps se frottaient l'un contre l'autre. Il retira cependant sa tête de l'enchevêtrement de leur corps. Il venait de prendre cosncience, en plein milieu de cette débauche éthylique, qu'il était peu être en train de faire quelque chose de mal... Le Mal. Il ne vivait que pour lui, alors, qu'est ce que cela changerait? Il revint embrasser la jeune femme avec passion, puis ses baisers glissèrent le long de son coup... puis sur la poitrine, toujours plus bas...

Dans leur précipitation, ils n'avaient pas remarqué la table de nuit qui se trouvait là et la heurtèrent... Torben embrassait le cou d'Andréa alors que ses mains parcouraient le corps de la jeune fille.

Lorsqu'ils arivèrent a proximité du lit, il fit glisser doucement la robe d'Andréa qui se retrouva donc nue devant le jeune homme.
Elle ne ressentait aucune gêne tellement elle était imbibée d'alcool. Elle ne contrôlait plus rien, ne se rendait même plus compte de ce qu'elle faisait.

Quand ils tombérent sur le lit, leurs baisers se firent plus sauvages. Andréa caressait le jeune homme. Leur respiration s'accélerait au fur et à mesure que leur désir et leur exitation montaient.

Mais Torben se stopa un moment... Se rendait il compte de ce qui était en train de se passer? Apparament non puisqu'il reprit ses baisers allant des lèvres au cou de la jeune fille, puis descendant vers sa poitrine, et ensuite vers son ventre. La respiration d'Andréa se fit de plus en plus saccadée au fur et à mesure de cette progression.
Andréa ne put retenir quelques gémissements à ce contact. Elle passa sa main dans les cheveux du jeune homme, l'incitant a continuer.

Andréa ne réfléchissait plus, la culpabilitée ayant laissé place aux effets devastateurs de l'alcool, elle se laissa aller sous les caresses de Torben, et ce moment de pure débauche qui allait suivre.

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Torben continuait de plus belle à embrasser le corps d'Andréa. Cela lui procurait des frissons de désir, toujours plus forts. La jeune femme gémissait de plaisir, ce qui accentua encore le rythme et la force des caresses et des baisers de Torben. Leur corps se consumaient de désir. Ils s'embrassèrent de plus belle, si fort que les lèvres de Torben commencèrent à saigner. Le sans s'écoula doucement sur leurs lèvres et leurs langues, qui se mêlaient de plus en plus fort. Il sentit la main d'Andréa aller sur sa nuque et instincitivement il prit cela pour une invitation à continuer, ce qu'il allait faire, de toutes façons il est trop tard pour faire machine arrière.

Le jeune homme se retrouva bientôt nu à son tour, déshabillés par les caresses d'Andréa. Ils se glissèrent rapidement sous les dras, toujours en se caressant. L'alcool, le désir et la chaleur commençait a taper fort sur la tête à Torben. Il commençait vraiment à se consumer, incapable de réfléchir, incapable de résister. Il ne savait plus rien, mais cela l'arrangeait finalement. Il avait envie d'amour cette nuit.

Leurs corps étaient littéralement collés l'un à l'autre. Torben et Andréa étaient entraînés dans une véritable transe de désir et de plaisir, et ce n'était pas prêt de se terminer. Les caresses et les baisers se firent encore plus violents et les corps des deux jeunes gens commençèrent à fusionner dans une violence et une débauche des plus totales

Au fur et à mesure qu'Andréa gemissait, les caresses de Torben se faisaient de plus en plus rapides. Leures échanges en devenaient même violent, ils s'embrassaient a s'en faire saigner. Mais cela ne gêna pas Andréa qui étaient completement ailleur. Elle n'était plus elle même, comme si quelqu'un d'autre avait prit possession de son corps et son esprit.

Mais Andréa restait malgré tout surprise de cett violence qui emmanait de Torben. Il lui avait parut si doux au premier abord qu'elle ne s'imaginait pas qu'il pouvait être ainsi. Mais ce ne déplaisait pas à la jeune fille bien au contraire.

Il se retrouva nus a son tour, revellant ainsi aux yeux de la jeune fille un corps parfait. Mais Andréa remarqua une chose étrange alors que Torben continuait ses caresses de plus en plus exitante... Sur son bras gauche, une marque qu'Andréa reconnu tout de suite. Il était donc mangemort.... Elle ne l'aurait pas imaginé.... Mais tant pis elle s'en fichait.

Ils se glissèrent sous les draps, leurs deux corps ne faisant plus qu'un.
Il n'y avait rien de tendre dans leurs échanges, rien de doux. Tout n'était que violence et sauvagerie venant des deux amants.
Elle se mis sur lui, et mis ses mains dans celles du jeune homme et les plaça au niveau du visage de Torben.....
Elle l'embrassa violemment et mordit ses lèvres puis descendit dans son cou, puis sur son torse s'attardant sur celui ci, alors que ses hanches commencèrent un mouvements de va et viens....

Elle s'abandonnait completement. Ne se rendant pas compte de ce qu'elle faisait!!

Neutre Nombre de messages : 295 Age : 39 Date d'inscription : 19/04/2007

Visiblement, Andréa avait oublié que Gabriel avait du sang vampire. Bien que refoulé et enfermé, il était toujours là.

Assis...ou plutôt allongé sur le toît du bâtiment, le jeune homme perdait son regard dans les étoiles. Comment était-il arrivé là ? Par quel hasard heureux ou malheureux ?

Remontons le temps...

Le bal, le lac, les premiers moments de Gabriel dans sa forme humaine, telle qu'il l'avait étant enfant, telle qu'il voulait la garder toujours, dans la même insoucience qu'avant, à l'époque où il était encore aimé.
Ses souvenirs dans la tête, il marchait, de nuit bien évidemment, afin de ne pas brûler sa peau. Son seul moment de bien être, c'était dans le noir. Etonnant et déroutant, difficile aussi de s'y faire, mais il ne regrettait plus rien, et ce grâve à elle. Elle devait être un ange, il n'y avait pas d'autre explication. Elle l'avait aidé, sauvé, il lui devait beaucoup. Elle lui offrait beaucoup de tendresse pour soigner son coeur blessé, et il le lui rendait du mieux qu'il le pouvait.

Dans cette nuit sans nuages, rien ne semblait pouvoir perturber le bonheur de jeune homme...

Rien, si ce n'est...une voix...

*Mon petit Gabriel...* fit-elle en chantant.

*Ah tiens...ca faisait longtemps...je commençais même à apprécier d'être seul au fond de moi...tu ne m'as pas manqué, désolé de te décevoir...*

*Oh, plus de crainte ? tu me parles sans peur ? Tu es donc décidé à rester toi-même...c'est bien...Mais...je pense que tu as besoin de moi, là, maintenant.*

*Détrompes-toi*

*Ecoute...sens...regarde un peu en toi...tu ne vois rien ? Je te montre...*

Gabriel eut un sourire. Qu'est-ce que cet idiot voulait encore ? Il n'avait pas compris ? C'était l'humain qui avait gagné, que voulait-il encore ?
Soudain, son sourire se figea...

Un pressentiment ? C'était donc ca qu'il voulait lui montrer ?

*Tu es lié à cette fille...tu y es sensible...et tes atouts de vampire te permettent de sentir tout cela...lorsqu'elle est triste, ou...comblée...*

Gabriel serra les dents. Il se trompait, ce n'était pas possible, pas après ce qu'ils avaient vécu tous les deux. Elle avait été tellement soulagé de le retrouvé, lui-même, en humain...Ce n'était pas fondé...

*Vas !...vas voir...*

Il n'allait pas fermer l'oeil, pas avec ces doutes, alors autant mettre cela au clair, tout de suite. Il avait confiance, le vampire avait tort, il en était sûr.

Mais là, posé sur le toit, il souriait.

*Je suis bien bête...d'y avoir cru...*

*Non Gabriel, tu es humain, c'est tout...*

*Depuis quand me remonte-tu le moral toi !*

*Depuis que tu en as besoin...je suis le froid, le suis la glace, je suis la pierre qui entoure ton coeur pour le protéger des autres qui te veulent du mal...*

Il aurait pu se mettre en colère, il aurait pu déjà planifier le meurtre de celui qui osait toucher sa copine... Mais copine il n'y avait plus.
Qu'importe.

Il n'avait envie que d'une chose, une seule. Pas de tuer, ni de se venger, ni de mordre qui que ce soit....
Il avait juste envie de se rouler une bonne cigarette.
Il repensait au tabac que lui et ses amis de l'époque avait chipé une fois, ils s'étaient amusés à le fumer dans les toilettes. Un truc de gosse..et pourtant... C'était tellement grisant tout à coup, de se sentir grand, et important, rien qu'avec ce bout de papier et ses brindilles sèches...

*J'espère qu'il saura t'apporter ce qu'il te manquait avec moi...* pensa Gabriel, l'humain, en s'adressant mentalement à Andréa.

Sur ce, il partit dans la nuit, comme toujours, seul et froid, se promettant que plus jamais il le laisserait qui que ce soit gagner sa confiance ou son amour, plus jamais personne ne le toucherait.

Invité

Torben se lâchait comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Il n'avait jamais été aussi brutal dans un rapport. Ses lèvres saignaient et celles d'Andréa aussi, à force de s'embrasser comme des brutes. Ils continuaient néanmoins, l'alcool effaçant la douleur, la remplaçant par du désir.

Pendant quelques secondes de semi-lucidité, Torben s'étonna de la fureur d'Andréa, qu'il n'aurait jamais pu imaginer auparavant. Elle qui semblait si calme et si douce, se donnait maintenant à lui avec fureur. Lui même était plongé dans cette relation violente, qu'il avait d'ailleurs provoquée. Il devait avouer que cette fougue, cette rage, lui donnait encore plus de désir et de plaisir.

Torben remarqua le regard d'Andréa lorsqu'elle vit sa marque des ténèbres. Cela l'étonna sans aucun doute, mais elle reprit presque instantanément ses caresses et ses baisers. Il avait bien d'autres marques sur le corps. Les stigmates des corrections reçues par la main paternelle ou du vieux précepteur. Quelques cicatrices des conflits auxquels il avait participé.

Andréa le fit basculer et se positionna sur lui, lui prenant les mains en les serrant trèès fort. Elle se coucha sur son torse et lui mordit les lèvres, ce qui fit couler encore un peu plus de sans dans sa bouche. Torben la caressa alors que les hanches d'Andréa entamaient un mouvement de va et vient. Torben ressentit du plaisir. Il se redressa vivement et pris Andréa dans ses bras en l'embrassant férocement alors que leurs corps fusionnaient. Il se retint de lâcher un râle de plaisir et sentait la respiration saccadée d'ANdréa dans son cou.

Alors qu'Andréa avait prit le dessus, Torben se redressa et l'embrassa furieusement.
Pendant un court instant, Andréa avait eut un mauvais préssentiment. Mais vu dans l'état où elle se trouvait, cela était sans doute normal.

Alors qu'elle était collée contre le corps de Torben, elle accentua son mouvement donnant plus de profondeur à l'échange. Andréa se mordait les lèvres, lèvres qui d'ailleur saignaient à cause de toute cette violence.
Ses gemissements se firent de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts.

Elle bascula Torben pour le rallonger, et les firent tous deux glisser sur le coté afin qu'il se retrouve au dessus d'elle. Elle l'encercla de ses jambes afin qu'il prenne totalement posséssion d'elle.

Leur échanges de baisers et de caresses n'en finissaient plus. Tous deux ressentaient une éxitation intense.
Elle passa ses mains dans le dos du jeune homme allant du haut vers le bas, le griffant quelque peu au passage.

Invité

Torben sentit que sa partenaire commençait à retirer beaucoup de plaisir à leur éhcnage. Elle faisait des mouvements plus amples, plus sensuels, elle se mordait les lèvres et gémissait de plus en plus fort.
Lui-même se mordait la langue pour ne pas râler de plaisir.

Soudainement, elle rebascula sur le côté et il se retrouva de nouveau au dessus. Elle l'enserra avec ses jambes. Leur étreinte n'avait jamais été aussi complète. Il était en train de prendre possession de son corps.

Ils se caressaient maintenant plus doucement qu'avant, la violence avait laisser place au plaisir qui les consumait désormais. Ils avaient recommencé à s'embrasser, là aussi moins violemment, mais toujours aussi passionément. Torben sentit les mains d'Andréa dans son dos, le griffant de plaisir. Lui-même sentait qu'allait bientôt arrivé le moment du plaisir total.
Il renforça ses caresses et son mouvement du bassin.

Alors qu'il était au dessus d'elle, leur etreinte se faisait plus tendre. La violence avait fait place à la passion.
Andréa bougeait sensuellement sous Torben tandis que celui ci renforça ses caresse et le mouvement de son bassin.

L'extase totale allait survenir d'un moment à l'autre, aussi bien chez elle que chez Torben, elle le voyait bien.
Toujours les jambes autour du jeune homme, elle leva quelque peu son bassin avant qu'il aille plus profondément en elle.
De ses mains elle attrapa les cousins sous sa tête en fermant les yeux.

Tout le corps de la jeune fille fremissait, et tremblait sous les caresses que lui faisait le jeune homme. Sa respiration était de plus en plus saccadée.

Au bout de quelques minutes elle ne put retenir, un long cri. Elle avait atteint le plaisir à son maximum....
Son corps ruisselait de sueur et elle peinait a reprendre sa respiration.

Invité

i]Torben sentit le corps d'Andréa frémir de plus en plus sous lui, alors qu'elle gémissait de plus en plus fort. Poussé par une montée de désir et de plaisir, il augmenta le rythme des baisers, des caresses, et de son bassin. Au bout de quelques instants d'échanges fougueux, Andréa poussa un long cri, empli de plaisir. Torben ressentait qu'elle venait d'attendre LE plaisir. Tout le corps de la jeune femme tremblait, elle était essouflée et sa poitrine se soulevait de plus en plus rapidement.

Lui-même était très proche et continua. Quelques secondes plus tard, ce fut son tour. Il se mordit la lèvre inférieure pour ne pas pousser de râle de plaisir. Il ne rompit pas le lien qui les unissait, et leurs corps restèrent mélés, collés l'un à l'autre. Ils se regardaient les yeux dans les yeux. Ils avaient du mal à reprendre leur respiration et étaient couverts de sueur.

Torben ne se retira pas encore, et embrassa doucement Andréa, et se remit à la caresser, mais avec douceur et tendresse. Finalement, il bascula sur le côté pour reprendre sa respiration, mais les deux jeuens gens restèrent enlacés, front contre front.[/i]

Torben arriva à la jouissance quelques instants après Andréa. Mais il resta en elle quelques instants encore, faisant durer ainsi l'instant. Il plongeat ses yeux dans ceux de la jeune fille dont la respiration ralentissait doucement. Leurs deux corps étaient en sueur. Leurs ébats les avaient épuisé.

Les caresses et les baisers de Torben étaient maintenant rempli de douceur. Toute la violence dont ils avaient fait preuve quelques instants plus tôt avaiet disaparu. Andréa caressa tendrement le dos du jeune homme.

Il bascula sur le coté, restant collé à Andréa. Celle ci se rapprocha d'avantage de lui, ne réalisant pas vraiment ce qu'elle avait fait.
Puis elle se leva, sans se soucier de sa tenue, alla chercher son paquet de cigarettes et revint se mettre contre Torben. Elle adorait fumer après de tels moments. Elle l'alluma donc et en tendit une au jeune homme, toujours collée a lui...