Après une nuit difficile

Andréa transplana donc coe prévu au haudron baveur, où elle vivait lorsqu'elle n'était pas à Poudlard.
Elle fit un sourire amical au patron qu'elle connaissait bien.
Elle s'instlla au bar et attendit Torben. Elle esprérait vraiment qu'il allait a rejoindre, et qu'il n'ait pas changé d'avis au dernier moment.

Elle avait besoin de sa présence. Andréa se sentait, à présent, vide de l'intérieur. Il lui manquait quelque chose, quelqu'un. Gabriel avait changé la vie de la jeune fille. Elle avait retrouvé confiance en elle, elel avait retrouvé une joie de vivre perdue depuis longtemps.

Mais il venait de tout lui reprenre sans même laisser le temps à Andréa de se faire pardonner. Soit. Elle allait tout faire pour l'oublier.....

Lorsque Torben arriva, Andréa avait déja un verre à la main. Elle lui fit un sourire soulagée. Elle avait eut peur qu'il ne vienne pas.

Invité

Aprè quelques courts instants, Torben transplana à la suite d'Andréa. il se retrouva devant le chaudron baveur, à Londres. Il regarda l'enseigne. Les lettres d'or s'effaçaient peu à peu sur le fronton. Il avait l'air quelque peu décrépi, mais Torben savait que ce n'était qu'un aspect extérieur. Il possa la porte du pub et entra.

La jeune femme était déjà là. Un verre à la main. Devant le bar. Elle tourna la tête vers lui au même moment qu'il entra dans la pièce. Avec un sourire quelque peu timide, il se dirigea vers elle. Il salua Tom, le barman, et s'assit à côté d'Andréa. Il croisa les bras sur le bar et commanda du Kvas, une boisson typique des pays baltes. A son grand bonheur, Tom en avait encore un peu. Torben regarda le verre. Illeporta à ses lèvres et le but d'un trait. Ce serait son seul remontant de la journée.Il s'était promi de ne pas replonger aujourd'hui. Il tourna la tête vers Andréa, qui continuait de le regarder. Elle avait l'air perdue. Le jeune estonien avait compris. Cette nuit il l'avait détruit, mais la raison por laquelle elle voulait le voir lui restait obscure, bien qu'il ne pouvait s'y soustraire.

Torben s'assit à coté d'Andréa et prit un verre à son tour. Elle avait remarqu son sourire timide lorsqu'il s'était approché. Cela fit sourire Andréa, elle qui pensait ne plus jamais y parvenir.

Il la regarda longement, mais ne dit rien. Il devait se demander pourquoi elle tenait tant à rester avec lui. Mais elle même ne le savait pas.
Elle prit la main de Torben dans la sienne, tout en la caressant doucement.

Je suis contente que tu sois là.

Les mots étaient sorti de sa bouche sans qu'elle ne le veuille, c'est pourquoi elle se mit a rougir lorsqu'elle se rendit compte de ses paroles.
Elle décida donc de changer très vite de sujet, mais ne lâcha pas sa main pour autant.

Tu.... ne "travail" pas aujourd'hui?

La nuit était tombée. Et il n't avait plus grand monde dans le bar. Andréa était fatiguée mais ne voulait pas encore aller se coucher. Elle termina son verre puis en commanda un autre.

Invité

Le Kvas avait peut être été superflu. Il commençait déja lui faire regretter de l'avoir commander. Et puis sans sel, sa perd de sa saveur. Il sentit un contact froid contre sa main. Andréa venait de lui prendre la main et la caressait doucement. Torben, peu habitué à ce contact, ne dit rien. Il pensait à sa réaction si une femme de son pays l'aurait approché comme ça.

"Contente que tu sois là"? Mais ils ne se connaissaient que depuis une courte journée! Bon d'accord, une longue nuit aussi, mais comment pouvait-elle dire ça, et semer le doute dans son esprit? Il ne devait pas se détourner de sa mission!

- Non, j'attends toujours. Mais je pense que si la chaîne de commandement tarde à me donner mes instructions je ne tarderais pas à agir, seul.

Déja la nuit? il avait donc encore comater toute la journée à Pré-Au-Lard? il maudit intérieurement son penchant pour la boisson et regarda autour de lui, gêné par cette proximité avec la jeune femme.

Andréa voayi que sans les effets de l'alcool, Torben était géné. Elle pouvait le comprendre. HCe matin encore elle pleurait disant qu'elle avait commi une erreur, le soir même il la retrouvait la main cassée dans une ruelle, et maintenant, ils se retrouvent a nouveau à tous les deux.

Elle retira doucement sa main, puis ee regarda....
Elle fixait son regard avec beaucop d'intensité. Il parlait de son "travail". Dans les yeux de Torben passa une lueur qu'Andréa ne lui connaissait pas, un lueur dangereuse.

Pour autant, Andréa ne crainait pas plus Torben. Alors qu'Andréa vidait son troisième verre, elle s'adressa a Torben. Elle ne sentait même pas les effets de l'alcool, ou très peu. Elle s'y habituit a la longue.....

Pourquoi avoir choisi cette voix Torben. J'aimerai comprendre qui tu es car tu me semble si.......... gentil.
En tout cas avec moi tu l'es.

Ele se doutait que Torben n'avais pas envi de parler de sa vie et elle en pourrait lui en vouloir. Mais il l'intriguait tellement. Il avait l'air si différent en réalité...

Invité

[i]Torben se sentait étrange avec Andréa. il lui faisait confiance. Sa nature violente reculit avec elle dans les parages. Il en venait même à bien se comporter avec elle. Quand il parla de ses activités elle lui lacha la main et le regarda. Elle semblait un peu troublée, mais il ne vit aucune peur dans son regard.

Torben remarquait que la jeune fille commençait à vider verre sur verre et il commençait à s'en inquiéter. Parce qu'il savait bien ce que deux gens complétement ronds étaient capables de faire. Il en avait eu un nouvel aperçu la veille.Il avait peur aussi pour elle, car son endurance montrait qu'elle était une vétéran, et cela l'inquiétait, ce n'était pas bon à 17 ans. De plus, cela montrait qu'elle souffrait mentalement. Boire dans ces conditions n'est pas vraiment recommandé. Il fit un signe de tête au barman pour dire qu'il fallait les laisser un moment.

- Cette voie? Eh bien c'est la seule façon pour moi d'arriver à mes fins. On m'a tout pris et on m'a envoyé ici. J'avais tout: une femme, des terres, un chateau, des vassaux, des serfs et de l'argent. On m'a tout pris et je compte bien redonner la monnaie de sa pièce au sinistre individu qui m'a infligé tout ça. J'ai toujours emprunté cette voie, seulement elle ne prend tout son sens que maintenant.
dit il, l'air neutre.

Andréa vit le regard de Torben sur ses verres, et faire un signe au barman. Il voulait l'empécher de boire, mais ne pouvait pas vraiment y faire grand chose. Elle payait le prix fort pour une chambre à l'année dans cette endroit, le patron ne lui refusait donc jamais rien.

Mais elle ne dit rien à Torben préférant l'écouter lui parle de sa vie.
Torben avait donc été marié........... Mais son ton n'avait rien de mélancoique ou triste, il était neutre.

Tu as raison Torben. Cette personne qui t'a fait tant de mal mérite de souffrir... Les personnes qui nous font du mal le mérite.

Elle repensa soudain à ce qu'elle avait fait. Elle avait fait du mal a Gabriel et elle méritait de souffrir. Et elle souffrait.

Il y a un coté jouissif à faire du mal. Plus jamais je ne laisserai quelqu'un me poignarder dans le dos sans réagir...

Elle repensa à ce qu'elle avait ressenti en jettant le sortilège doloris à syl: de la satisfaction. Maintenant elle ne se laisserait plus aller au sentimental. La seule personen qui comptait c'était elle même. Elle se laisserait aller selon ses envie à artir de maintenant.
Elle se rapprocha un peu plus de Torben..... souriant et se mordant a lèvre.
pourquoi faisait elle cela? Elle en avait envi tout simplement et l'alcool n'avait rien à voir avec tout cela.

Invité

Oui sans aucun doute, son père et les autres traîtres méritaient de souffrir, mais Torben ne voulait pas que son combat psse pour juste. Il en l'était pas. il avait fait bien pire au cours de sa vie que déposséder et comploter. Il se souvenait de toutes les horreurs qu'il avait commise. Andréa avait raison. Faire le mal étit très grisant. Ilse souvenait de l'excitation qu'il avit ressentie lorsqu'il avait éxécuté les prisonniers après le siège de Bastagne,un vomté voisin. il se souvint de la mise à mort des traîtres qui avaient comploté contre le Roi. Du pillage du campament Troll. De l'incendie du petit village frontalier, des combats qu'il avait vécu.

Torben n'était pas fier de tout ce qu'il avait fait, mais il devait reconnaître aussi qu'il n'éprouvait pas de remords. Il avait fait ce qu'il fallait. Ce qu'il fallait pour monter toujours plus haut en estime et avoir toujours plus de pouvoir.Cette course folle l'avait amené au seuil de la folie, et rapide fut sa chute.

Torben sentit Andréa se rapprocher et se coller à lui. Il espérait qu'elle n'avait pas encore agi sous les effets de l'alcool. Trop dur à gérer. il ne fit rien. Lentement, sa main alla sur la cuisse dela jeune femme. Il repensait un peu à Madeline, son ancienne compagne, disparue depuis si longtemps, et se dit qu'il serait peut être venu l'heure de l'oublier. il voulait s'immerger dans le mal, et ne devait pas resté prisonnier de ses souvenirs.

Torben réfléchissait et lorsqu'il remarque qu'Andréa s'était raprrochée de lui, il eut un moment d'hésitation.

Puis lentement, sa main vint se poser sur sa cuisse...
A ce contact Andréa ne put retenir un frisson d'exitation. Elle se rapprocha d'avantage de lui, glissant sa main sur son torse, puis ses lèvres vinrent se poser sur celles de Torben.

Elle l'embrassa passionément, mais sans violence. Elle n'était pas ivre, elle était tout à fait consciente de ce qu'elle faisait.
Elle glissa sa main sous la chemise du jeune homme tout en s'insérant entre ses jambes tout en se frottant a lui.

L'éxitation commencait à monter en elle. Ses mains étant sous la chemise de Torben elle le caressait tendrement.

Soudain elle s'arrêta. Elle ne pouvait pas recommencer avant d'avoir tou fait pour se faire paronner auprès de Gabriel. Elle ne devait pas..
Elle se décolla donc de Torben doucement, puis le regarda. Elle passa tendrement une main sur sa joue.

Je ne peux pas torben, je suis désolée, vraiment.

Elle reste cependant près de lui. Ele l'aréciait il avait été correct avec elle.

Invité

Torben sentit la main d'Andréa aller sur son torse alors qu'elle l'embrassait. il jouait à un jeu dangereux il en était conscient. Il devrait bientôt arrêter. Il ne savait pas dire pourquoi, mais il avait de nouveau son envie d'action, de carnage et de sang qui revenait. Il soupira. Sa nature était décidément inconstante. Elle l'embrassa et passa sa main sou sa chemise, se collant et se frottant contre lui. Il en avait envie il en était conscient, mais il ne devait pas.

Elle s'arreta cependant. Il était temps, il était sur le point de faire une chose qu'il savait qu'il aurait regretter. Elle continuait de le regarder. Il sentait une irrépréssible envie de faire un massacre. Les caresses d'Andréa avait fait remonter trop de souvenirs.Et avait fait remonter le souvenir de sa femme; il ne pouvait pas lutter. Il savit qu'il allait devoir se calmer. Le mieux serait de trouver des moldus. Sa tombait bien, il y en avait plein dehors. Torben avait toujours soupsonné que les guerres et les massacres l'avaient traumatisé, il en était même sûr. mais aujourd'hui, il se sentait près a accepter qu'il avait besoin de recommencer. Il se leva, salua Andréa comme l'exigeait la tradition. Ses pensées étaient emplies de visions de massacres passés. un sourire carnassier apparut sur son visage alors qu'il sortait du bar. Aujourd'hui, il n'essaierait plus de se fuit lui-même.

Andréa vit que l'expression de Torben avait changée. Etait-ce sa faute? Etait-ce parce qu'elle avait mit fin à leur échange?
Elle n'eut pas le temps de le lui demander. Il la salua puis s'en alla sans un regard. Andréa ne savait pas quoi faire.

Elle s'en voulait. Elle ne faisait plus rien de bien depuis quelques jours. Que lui arrivait-il?
Sa vie basculait petit à petit, elle s'enfoncait dans un gouffre où elle ne pourrait compter sur personne.
Elle se retrouvait seule à présent. Seule, par sa faute.

Oui elle était la seule responsable de ce qui lui arrivait. Elle avait trouvé le bonheur et elle avait tout gaché.
Elle recommanda une bouteille et partit dans sa chambre. Où elle passerait la nuit à boire.

Sylvina avait passé une bonne partie de l'après midi à dormir. Il s'était passé tellement de choses ces deux derniers jours. Gabriel, Andréa, Torben. Et son examen de transplanage qu'elle avait bizarrement réussi. Après tout ce qui s'était passé la veille, la jeune serpentarde n'aurait pas espéré mieux.

Elle s'était réveillée, puis s'était douchée, et enfin habillé avec la ferme intention de repartir à Poudlard. Quoiqu'elle serait bien restée un peu plus. Mais son autorisation expirait ce soir à minuit.

Elle descendit vers le bar, avec l'envie de se manger un petit quelque chose avant de partir. Elle se dirigeait vers les escalier, quand une silouhette qu'elle connaissait apparu au sommet des escaliers. Sylvina la regardait avancer dans sa direction. Andréa était dans un état pitoyable et une bouteille à la main.

Sylvina s'avança vers elle, comblant l'espace qui les séparait. Elle leva sa main droite et administra une violent claque à Andréa. Dans un souffle de colère Sylvina lui cracha ses paroles tel un venin.

C'est tout ce que tu mérites.

Alors qu'elle allait partir dans sa chambre, Andréa sentit une gifle sur son visage.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle vit Sylvina lui disant qu'elle n'avait que ce qu'elle méritait.

Andréa eut simlement un sourire. Elle n'avait pas peur de Sylvina. Elle n'avait plus peur de personne.
Andréa regarda la jeune fille deavnt elle, but une gorgée de sa bouteille, un sourire aux lèvres.

Qu'est ce que tu me veux? Je suis occupée là...

Elle n'avait pas envi de parler car elle se doutait que Syl était au courant de ce qu'elle avait fait, étant donné sa réaction.
Le regard d'Andréa n'exprimait rien d'autre que de l'indiférence.

Sylvina lui arracha la bouteille des mains. Cette bouteille qu'elle jeta contre le mur. Elle vola en mille morceaux, répandant son liquide un epu partout.

Le regard de Sylvina exprimait toute la colère qu'elle pouvait avoir contre Andréa. Elle se retint de lui administrer une nouvelle gifle. Non elle la plaqua contre le mur. Mais elle gardait une bonne distance entre elle.

Que t'arrive-t-il ???
Pourquoi es-tu comme ça?

Sylvina regardait le visage dénué d'expression de son (ex) amie. Sylvina n'avait aucune idée de se qu'il aurait pu lui arriver. Tout ça, tout ce qu'elle avait appris et vu. Que se passait-il dans la tête d'Andréa?

Qui est-il?
Avec qui as-tu décidé de foutre en l'air tout ce que tu as entrepris pour le récupérer? Ton erreur est bien pire que la mienne. Tu ne pourras certainement plus le récupérer. En as-tu concsience?

Syl cassa la bouteille d'Andréa... ~~( tu as signé ton arret de mort^^)~~
Andréa fut tellement surprise qu'elle ne réagit pas tout de suite. C'est pourquoi lorsque Syl la plaqua contre le mur elle ne put réagir.

Syl était en colère contre elle, Andréa le vit bien. Elle ne comprenait pas ce qui l'avait poussé à réagir comme ca.
Andréa ne le savait pas non plus. Elle ne savait plus rien.

Andréa eut un rire mauvais. D'un geste très vif malgré son état, elle attrapa Syl au niveau à la gorge, tout en la serrant.

Tu n'aurais pas du faire ça Syl. Dit elle en désignant la bouteille.

Elle bouscula Sylvina tout en la faisant tomber.

Meme si ca ne te regarde pas, cela s'est passé avec un mangemort. C'est tout ce que tu as besoin de savoir sur lui.
Je n'ai aucune excuse pour ce que j'ai fait et je en peux même pas l'expliquer... Et même si j'avais une explication ca ne serait pas à toi que je la donnerais!!!

Andréa avait les yeux rouges du trop plein d'alcool, ainsi que du manque de sommeil accumulé... Tout cela la rendait nerveuse et agressive.

Andréa lui avait serré la gorge avec sa main. Sylvina étouffait légérement, mais elle ne le montrait pas. La force de Andréa était telle que la jeune serpentarde tomba par terre.

Sylvina était toujours à terre se massant le cou. Elle regardait Andréa, on pouvait voir qu'elle était agitée. La bouteille que Sylvina venait de casser ne devait pas être la première.

Un mangemort ... Un besoin d'émotions fortes hein? Et maintenant tu noies ton chagrin dans l'alcool.

Elle rigola, pas par moqueries. Non c'était un rire froid, dénué d'expression, presque forcé. Elle secoua la tête. Sylvina se releva. Sa colère était telle que la violence ne résoudra rien. Elle regardait Andréa avec dégoût.

Tu es si pitoyables. Et tu penses que c'est la meilleur des solutions? Noies ton chagrin au lieu de trouver une solution à ton problème, c'est le mieux pour toi. En fait Il ne te mérite certainement pas.

Une voix froide. Sylvina espérait faire réagir son amie. Comment se mettre dans un état pareil. Si pitoyable, alors qu'auparavant elle aurait tout fait pour le récupéré. Sylvina ne savait pas tout, mais ceci lui suffisait.

Les provocations de Syl firent sourire Andréa, qui se redirigea vers le bar. Tom les regardait mais ne dirait rien, il connaissait trop bien son hôte à l'année.
Elle lui fit signe de lui redonenr une bouteille et malgré son aire réprobateur le fit. Puis ele regarda à nouveau son amie.

Je ne savais pas que Torben était un mangemort....

Son nom lui avait échappé sans qu'elle ne s'en rende compte. Heureusement, il n'y avait personne dans le bar pour entendre cette conversation.
Elle regarda Syl tout en portant la bouteille à ses lèvres.

Je l'ai perdu Syl. Il ne me pardonnera jamais et je le sais très bien. Quoi que je fasse, c'est perdu d'avance. Tout est de ma faute, je ne peux m'en prendre qu'a moi.

Andréa avait réussi a prendre un ton bien plus détaché qu'elle ne l'aurait souhaité. Elle ne voulait pas que son amie voit le déséspoir dans lequel elle venait de se plonger, même si la bouteille, qu'elle porta à nouveau à ses lèvres, en disait long.

Quant à mes soucis d'alcool ils durent depuis longtemps. Je m'était calmé quand j'ai rencontré Gabriel.......

Rien que l'évocation de son nom dans son esprit la brisa entièrement.
La haine qu'elle avait envers elle s'accroissait de minutes en minuts depuis qu'elle avait revu Gabriel...
Plus pour elle même, des mots sortirent de sa bouche sans qu'elle ne le remarque.

Je ferais mieux de mourir......

Puis le reste de sa phrase fut à nouveau noyé par l'alcool qui commencait à avoir son effet.

Sylvina pâlit. Ce mangemort, c'était lui, Torben. Elle ne put qu'avoir une seule réaction, s'assoir. La nuit dernière, la jeune serpentarde l'avait passé avec le mangemort. Et Andréa avait couché avec lui. Sylvina avait le regard perdu dans le vide (~~OMG Andréa lui avait transmit ses morpions via Torben ^^~~)

L'alcool, la solution des personnes qui étaient trop faible pour affronter leur problème. Andréa tentait de se justifier. Le chagrin, l'habitude la poussait à bore. C'était tellement plus facile que d'affronter les problèmes de face. SOn regard redevint dur et forid. Mélange de colère, de haine.

Elle laissa s'échapper cette phrase. Elle pensait que la mort serait une meilleur solution. Combien de personnes se laissaient penser que la mort serait une douce délivrance, un moyen d'échapper aux problèmes. Sylvina regarda une nouvelle fois Andréa.

Mourir, boire ... Quelles bien belles solutions à tes problèmes. Hé bien choisis les solutions de faciliter. Noies ta peine, ta haine, ta colère dans la boisson. Oui, tu es la plus malheureuse des deux. Quel doux sentiment la culpabilité.

Elle se déplaça vers Andréa. Lui arracha, une nouvelle fois la bouteille des mains deson amie. La jeune serpentarde se décida à lui parler de sa rencontre avec Gabriel.

Il t'aime ... encore. Même s'il me l'a pas dit, ça se voit. Il est aussi borné que toi. Voilà l'un de vos points communs, qui démontre que vous êtes fait l'un pour l'autre.

A l'évocation de Torben, Andréa vit Sylvina palir... puis, se mettre assise!
Andréa ne put s'empêcher de sourire...

Ne me dis pas que tu connais toi aussi le charmant Torben... Ce fut une soirée de débauche intense je dois l'avouer. Sexe et alcool sont nos points communs à lui et moi...

Syl avait eut une aventure avec Torben cela était évident!! ~~(elle fait que de se gratter ^^)~~. Elle ne pensait pas Sylvina capable de se taper n'importe qui.
Mais l'évocation de Gabriel lui faisait mal, très mal. Elle n'a pas choisi la facilité. Mais ses soucis de boisson dataient de la mort de ses parents. A l'époque elle n'avait pas trouvé d'autres solutions, elle était bien trop jeune.
Sylvina avait encore arraché la bouteille des mains d'Andréa qui craqua.
Elle bouscula une nouvelle fois Syl et se mit a hurler.

Peut importe qu'il m'aime encore ou pas: C'EST FINI!!!! Il ne me pardonenra jamais ce que j'ai fait, jamais. J'ai essayé d'en parler avec lui il a fait comme si il ne me connaissait pas sans même me laisser l'occasion de me faire pardonner. Il ma parlé comme à une étrangère Syl.
Alors arrête de croire que tu sais tout mieux que moi. Tu n'est pas lui, tu n'est pas moi. On était fait l'un pour l'autre mais j'ai tout gaché point final!

Andréa ne pleurait pas, mais dans son regard on pôuvait lire de la rage mélé à une grande tristesse.

Le sourire d'Andréa. Sylvina ne put se retenir, une nouvelle claque fusa. Non pas que la jeune serpentarde était attaché au mangemort. Mais elle n'avait pas supporté le ton employé par Andréa.

Son amie, qui d'ailleurs la poussa encore une fois. La colère. Sylvina en avait assez de parler à un mur. Elle lui redonna sa bouteille avec violence. Elle lui murmura d'un ton féroce.

Noies ton chagrin dans l'alcool. Meurs dans ta colère, ta peine, ta tristesse. Fais tout ce que tu veux, tu n'as visiblement pas besoin d'aide.

Sylvina lâcha sa bouteille. Regarda une nouvelle fois Andréa. Et se retourna, elle sortit du bar. Côté moldu. Personne. Un bruit. Sylvina n'était plus dans la rue, elle venait de transplaner.

Andréa reçu une nouvelle gifle. Elle n'en voulait pas à Sylvina qu'elle considérait malgré tout comme sa seule amie. Mais Andréa n'était plus tout à fait elle même ces temps...

Quand elle a reçu cette gifle, Andréa n'a pas réagi, n'a pas riposté.
Aux paroles de Sylvina, elle s'est contenté de la regardé.
Elle reprit sa bouteille et regarda son amie partir.

Elle se reposa au bar, tandis que Tom la regardait d'un air désaprobatuer. Andréa lui fit une moue d'excuse et monta dans sa chambre, la bouteille à la main...

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