La MORT dans l'âme (assistez au premier mort) (pv hedwige)

Invité

Calypso courut le plus loin possible. Elle avait laissé Vénus près du saule cogneur et était partie en courant. Elle se doutait bien qu'une fois encore, Vénus allait lui poser des quetions, lui demander de s'expliquer, mais maintenant qu'elles s'étaient parlé, avouées leur secrets intimes, Calypso n'avait plus peur des représailles de son amie, au contraire, lui parler franchement lui faisait du bien.

Les yeux aveuglés de larme, Calypso n'avait pas vu jusqu'où elle avait couru. Elle se sentait un peu moins triste et mélancolique car pleurer soulageait les peines les plus lourdes, elle le savait, c'était plutôt connu. Un froid intense lui glaça soudainement les os, au point qu'elle s'arrêta nette et frissona brutalement. Elle ouvrit de grands yeux écarquillés pour discerner l'endroit où elle se trouvait et se tamponna les joues avec un mouchoirs de tissus blancs.

*Oh non...*

Elle était dans la forêt interdite. Entre les branches serrées, elle aperçut la lune, blanche, haute et... pleine. Les arbres lui perurent tout particulièrement effrayants, avec leurs grandes branches droites et à peine feuillues qui se tendaient soit vers cette lune blanchâtre, soit vers elle, telle que des doigts crochus et ô combien malfaisant.

*Oh non non non...*

La panique s'empara d'elle. Elle aurait bien aimé pouvoir pleurer, histoire de décompresser, ou apitoyer les bêtes sauvages, mais elle n'en avait plus, et elle dut rester avec un noeud terrible dans l'estomac et un autre dans la gorge.

Calypso regarda derrière elle. Elle s'était enfoncé particulièrement loin et ne pouvait pas reculer. Elle poussa un petit cri suraigu et étranglé quand elle entendit un bruissement sur les feuilles mortes derrière elle. Quelqu'un, quelque chose, approchait...

Comme chaque nuit de pleine lune.. le ciel se teintait de sang... et la chose s'emparait d'une autre.. au point que tout se confonde.. et qu'il ne reste plus qu'une bête féroce et sanguinaire.. dans le corps d'une humaine.

Quand le destin choisit une jeune fille, douce à qui la vie est une chose merveileuse et sacré, pour y mélanger un être des ténèbres qui n'aime rien d'autre que la mort, le désespoir, la souffrance et le néant... quand deux opposés s'affronte, et quand l'un d'entre eux prend le dessus sur l'autre durant une nuit...

Une nuit courte, mais pourtant éternelle et interminablement longue... et quand les souvenirs s'efface pour laiser devant elle ses victimes qui trépasse...

Evangeline avait prit place dans le corps d'Hedwige, et cette nuit là sera celle qui détruira une vie... pour en détruire une autre.

La jeune vampire avait ses sens comme acerés, si bien que repérer sa proie lui fut facile avec son odorat. La doucue odeur de chair fraiche et tiède lui parvint délicieusement au narines, lui mettant l'eau à la bouche.

Evangeline se fondit dans un buisson, elle aimait faire peur à ses victime,s voir la panique dans leur yeux, puis la supplication, et enfin, l'etincelle s'éteindre dans leur rgard..

Jusque là, elle n'eut pas de chance. Elle n'avait pas réussit à tuer un seul de ces petits élèves arrogants, car ils faisaient tout pour prolonger la course poursuite et la nuit se terminait trop rapidemnt à son goût...

Aussi, cette fois, elle ne fera pas de quartier... elle émit un bruissement.

L'effet voulu fut obtenu. La jeune fille, qui, déjà, n'était pas rassurée, éit un cri de terreur.

Un grondement sourd s'éleva à sa droite, mais un autre résonna à sa gauche...

Et ce fut devant Calypso que surgit le danger.

Bondissant comme un diable hors de sa boite, elle se jeta sur la jeune fille,et toute deux tombèrent à la renverse.

Invité

Calypso n'était déjà pas rassurée mais quand elle sentit quelque chose de glacé, mais qui en même temps brûlait d'une faim sourde que rien ne pouvait calmer, elle sentit son sang battre la mesure dans ses tempes jusque dans le bout de ses doigts.

Une effroyable bête bondit sur elle.

Elle était tout simplement hideuse, il n'y avait pas d'autres mots. Ses cheveux blancs _une couleur pure pour un démon malveillant_ et ses pupilles rétrécient en une simple petite shère rouge teinté d'éclat de rubis sanglant ne laissaient pas le moindre doute.

Calypso avait devant elle une des créatures les plus sombres de la nuit. Un vampire.

Ou plutôt... Une vampire, car grâce à ses beaux cheveux ondulés et soyeux, cette bouche fine et même à la forme des pomettes, Calypso reconnut Hedwige, la griffondor qu'elle avait apperçue dans la Grande Salle.

Mais aux regard assoifé de sang qu'elle lui adressa, elle comprit vite qu'elle avait à faire à bien pire que la discrete et gentille jeune fille qu'elle avait croisé dans les couloirs.

Le temps s'immobilisa. Calypso en dessous, Vampirella au dessus, et ces deux canines pointues qui semblaient ne pas trop savoir où se planter en premier.

Au moment où elle semblèrent avoir choisi un endroit de choix, l'artère gauche qui reliait le cerveau au coeur, le monstre se résigna et se posta sur ses genoux. Il cherchait autre chose.

Evangeline était, qui plus est, très en colère.
Depuis qu'elle avait vu Potter avec sa sainte Lidora, ensemble, au bal, le sentiment négatif d'Hedwige avait déferlé en elle, déchainant sa haine et sa rage.

Et ce soir là, elle allait se rabattre sur la jeune fille...
Elle lui jeta un regard malveillant, elle allait la torturer, la faire souffrir...
Elle approcha ses canines de son cou, mais finit par se retirer, elle fera ça en dernier.

- Tu va regretter de t'être aventurée cette nuit là, humaine...

Elle dégaina sa dague et, pour s'assurer que la fille ne puisse s'echapper, planta la lame glacé dans la main de Calypso. Le tranchant du poignard traversa la chair jusqu'à même atteindre la terre en dessous, clouant sa main.

Elle empoigna son autre main et y planta ses crocs avec férocité, secouant la tête avec frénesie pour y arracher un morceau de chair..

Invité

Calypso n'était plus rien. Elle n'était plus qu'une proie qui tente désespéremment de survivre. Pourtant elle sentait la mort arriver, et cette mort avait l'odeur du sang, l'odeur de l'haleine putride de la créature qui était maintenant à genoux au dessus d'elle.

Tout alla très vite. Calypso ne voyait rien, mais elle entendit nettement un bruit de métal, le craquement de sa robe puis le chuintement de la dague qui déchirait sa peau.

Puis elle sentit. Elle sentit la terreur lui montait aux yeux, elle sentit le sang chaud qui coulait le long de son corps, qui mouillait sa robe. Elle sentit cette même robe lui coller à la peau. Elle sentit la main du monstre pressait sa poitrine pour qu'elle ne puisse se débattre.

Et ce n'est qu'après qu'elle eut mal.

La douleur n'était pas mordante, elle était sourde. Calypso aurait voulu vomir mais elle ne sentit que le gout âcre du sang. Elle tourna la tête pour le cracher, mais un caillot particulièrement dur se coinça dans sa gorge. Elle se força à le recracher mais s'arracha un peu plus la trachée.
Pour ne pas s'étouffer, elle déglutit .

A ce moment là, elle souffrit vraiment. Les endorphines n'agissaient plus.

Elle poussa un petit cri qui se transforma en un gargouillement sanglant. Elle gémissait, elle suffocait.

Enfin, elle put ouvrir les yeux et vit.

Elle sut alors qu'elle mourrait.

Evangeline mordit profondement le poignet de Calypso, receuillant le sang qui s'écoulait de la blessure avec une avidité presque bestiale.

Elle retira avec froideur et cruauté la dague plantée dans la main de la jeune serdaigle, sans aucun ménagement, cependant avec une lenteur mesurée pour que la jeune fille sente sa chair s'entailler au passage de la lame retirée.

Et elle utilisa son arme pour déchirer la barrière de tissu recouvrant la chair de la jeune fille, elle sentait la domination, elle sentait sa peur, et cela ne faisait que déchaîner sa haine et son appetit.

Elle planta alors la dague dans le ventre de la jeune fille, enfonca jusqu'au manche, et avec une force surhumaine, remonta la lame jusqu'au niveau des épaule, l'éventrant.

- Estime toi heureuse que je ne l'ai aps fait avec mes dents.. susurra-t-elle d'un ton douceureux, avant d'élargir la plaie avec une cruauté sans pareille.

A certains endroits, les os et les organes étaient distinguable.
In différente à la souffrance, au contraire encouragée par cette douleur, elle enfonca ses ongles sans pitié pour atteindre le coeur.

Le sang coulait à flot de la blessure béante, créant une mare de sang en dessous de la victime, qui déjà agonisait.

- On dit que la mort n'est qu'une récompense pour avoir enduré la vie.. susurra-t-elle à son oreille. Tu n'es peut-être pas d'accord sur ce point là, mais aprés m'avoir croisé, ne t'en fais pas, tu le seras....

Elle retira la dague avec brusquerie, lêchant la lame pour y receuillir le sang.

De sa main valide, elle se fraya un chemin jusqu'au coeur palpitant et encore chaud, tout affolé de l'adrénaline montant en lui..

Invité

Calypso ne ressentait plus rien que la douleur. Tout son être n'était plus qu'un corps endolori. Elle n'entendait même pas les mesquineries d'Evangeline. Elle voulait que tout s'arrête, que ce soit dans la mort ou dans la vie.

Evangeline continuait à plonger son couteau et ses dents un peu partout sur son corps, mais Calypso ne s'en rendait plus comte. Elle se sentait de plus en plus fatigué. Au moment où elle ferma les paupières, une image s'afficha à ses yeux.

celui pour qui elle avait toujours souhaitait vivre. même dans la souffrance, elle le voyait, il était à ses cotés.

Un spasme nerveux la secoua. Même si un muscle sur deux ne répondaient plus à ses appels, elle se courba en hurlant de rage.

Il fallait vivre, VIVRE!!! Elle ne voulait pas mourrir! Non!! c'était imporssible, elle avait trop de chose à faire encore!
NON!!Non! Non. Non...

Je veux vivre... Bafouilla t elle d'une voix faible et effacé par le sang.
Vivre...

Evangeline se pencha vers la blessure béante, et y arracha un morceau de chair, alors qu'elle effleura de sa dague un des organes de Calypso.

Elle l'avala sans même prendre le temps de la mastiquer, et glissa sa dague vers les intestins de Calypso.

Elle avait les joues et les lèvres noires barbouillées de son sang, et lui esquissa un sourire cruel, les dents à découvert.

- Vivre... ? Siffla-t-elle. Si tu veux me supplier, supplie moi donc de t'achever..

Elle empoigna un de ses boyaux et trancha le fil blanchâtre le reliant au autres.

Le plus amusant, quand on éviscère quelqu'un, c'était qu'il pouvait encore vivre car ce n'était sans aucue gravité pour leur santé... et sa victime pouvait voir ses propres intestins se déverser hors de son corps.

Elle trancha ainsi les eptits filaments qui les maintenaient encore dans son corps, puis fit d'un air enjoué :

- Torturer, c'est drôle... et puis, c'ets là qu'on peut voir la merveille de l'anatomie humaine....

Elle laissa ses intestins de côtés, elle songea à lui exploser le foie mais avant elle voulait faire prolonger la douleur.

Elle traca sur les bras de la serdaigle, à l'aide de la lame effilée et à l'encre de son sang, le mot : Voldemort.

Evangeline savait lire dans les pensées, et quelle joie de torturer ce eptit coeur avant de le lui arracher hors de sa poitrine...

Voldemort n'est aps là pour te protéger... il se fiche pas mal de toi.. siffla-t-elle. Sais tu qui je suis.. ? Je vais te dire.. un petit secret....

Elle se pencha vers son oreille et murmura :

- Je suis un horcruxe de ton cher bien aimé... donc un bout de son âme...

Elle se redressa légèremnt, sans quitter le sol des genoux, et esquissa un sourire cruel.

- Si je suis une partie de son $âme cela signifie qu'il veut te tuer.. te faire souffrir.. il te déteste.. il ne t'a jamais aimé... comment une petite élève insignifiante peut l'interesser... ?

Elle eut un rictus méprisant à glacer le sang.

- Je me ferais des jartelles avec des tripes....

Invité

Elle ? Un horcruxe ? C'était impossible. Jamais Voldemort, qui était un lord! avec des gouts de luxe comme tous les lords, ne pourrait se permettre de mettre son âme dans quelque chose d'aussi laid et repoussant qu'un vampire.

Une sueur froide parcourut l'échine de Calypso. Elle ne souffrait plus. la douleur avait atteint le point le plus haut et elle ne ressentait plsu rien. Son réseau nerveux était mort.

Animée d'une nouvelle fureur, elle cracha un sang tiède dans l'oeil gauche de son bourreau qui poussa un petit cri de fureur en s'arc boutant vers l'arri_re. Elle la lacha et Calypso Arriva à ramper sur quelques mètres et à se mettre difficilement à genoiux pendant que son adversaire se frottait les yeux en grognant.

Le temps sembla se suspendre.

Calypso regarda ses jambes noires de sang à demi séchée. Elle reprenait avec difficulté sa respiration, malgré son poumon déchiquter qui laissait coulait un flot de sang rouge d'oxygène.

Elle releva la tête.

Un éclair de haine pure vrilla son regard. Le vampire s'approchait en ricanant. Elle lui attrappa la tête par les cheveux et la regarda dans les yeux.

Calypso savait qu'elle allait tout perdre. Et son regard ne vacilla pas.

En une fraction de seconde, elle se mis dans la mèmoire le moindre détails, le moindre traits d'Evangeline.

Ce regard dut surement importuner le vampire qui en un brusque mouvement lui enfonça sa main dans la poitrine.

Elle lui arracha le coeur.

Calypso balança sa tête en arrière en un long hurlant. Quand la main crochue du monstre la lacha, elle s'écroula.

Elle ne vit plus rien. Tout devint noir. Etrangement noir. Trop noir...

La MORT dans l'âme (assistez au premier mort) (pv hedwige) 20060210

Evangeline esquissa un sourire cruel, s'apprêtant à donner le coup de grâce.

Mais Calypso se rébella et cracha du sang à son visage, ce qui effectivement ne plut pas du tout à la vampire, qui eut un cri de fureur et lâchait la jeune fille pour passer sa main sur ses yeux et y effaca le sang.

Sa victime en profitant pour rampe, essayant de s'echapper.
Evangeline la regarda un instant se traîner, cet instinct de survie qui poussait les corps à demi-mort à se relever et à courir... sauf que là elle ne courait plus.

Elle eut un petit rictus cruel et s'approcha d'elle.

- Où crois tu aller, avec tes tripes en charpie... ?

Elle l'atrappa par les chevux, lui redressant la tête, l'obligeant à la regarder dans les yeux.

La dernière chose que vit la jeune serdaigle fut son regard, rouge, animé d'une haine sans limites. Et son visage, ses traits.

Ce dévisagement l'agaca quelque peu, elle plongea alors sa main vers sa poitrine béante et empoigna le muscle palpitant faiblement, encore tiède.

Dans un cri de rage, elle le tira avec brusquerie, le lui arrachant de la poitrine.

Le coeur fut arraché à ses artères, ses nerfs, et s'arrêta aussitôt, le sang qu'il contenait se répandit sur ses mains pâles et ses vêtements, sur le cadavre fraichement descendu.

Evangeline lacha les cheveux de Calypso, qui s'affaissa alors dans un hurlement qui mourut dans sa gorge.

Mais ces petits amusements avaient duré bien plus longtemps qu'il ne lui était permit...

Redressant le regard, le ceur encore chaud dans sa main, elle vit les derniers rayons lunaire se perdre dans le ciel... l'Aurore se levait...

Son regard rouge perdit d'intensité pour reprendre sa couleur ambre, ses ongles et ses canines reprirent une forme normale.

Hedwige s'évailla lentement dans ce corps, et aussitôt, l'odeur moribonde du sang agressa ses narines.

Elle écarquilla les yeux, ele tenait encore quelque chose dans la main... quelque chose qui déversait un liquide rougeâtre.... elle baissa son regard devant elle..

Un hurlement de terreur et de détresse se répercuta dans la forêt entière.

Le coeur tomba au sol dans un bruit mat, alors que celle qui le tenait encore hoquetait, les yeux écarquillés, les mains à demi tendues et couvertes de sang.

Son regard horrifié était posé sur un cadavre, éventré, les intestins fuyants, le coeur arraché, la main percée, les organes et les os à l'air libre.

Un seul mot était distinguable dans son espit : tuer...

Les images se brouillèrent devant elle, tournoyant en tout sens, les larmes inondèrent son visage babrouillé de sang, et le hurlement s'étrangla dans sa gorge.

La vision d'horreur la laissa pantelante, incapable de penser, incapable d'agir, ses mains tremblaient et ses genoux s'entrechoquaient.

Elle tomba à genoux au sol, elle était souillée de sang, elle était souillée du crime, elle avait le sang sur les mains..

Renversant sa tête en arrière, elle hurla toute sa douleur et tout son désespoir, travers un non, qui semblait incroyablement long...

Puis tout devint sombre, tout devint noir. Elle perdit connaissance, s'affaissant à son tour au sol, les larmes encore ruisselantes sur ses joues.

Invité

Où suis-je?
Qu'est ce que cette endroit ?
Pourquoi fait il aussi noir ?
Oh! Je vois une lumière là bas!
Elle brille si fort... C'est si beau...
Est ce que je serais capable d'aller voir ?
Je m'approche et elle s'éloigne.
Mais...mais... je vole !
Où est la terre ? Où est le ciel ?
Je... je crois que je suis...
Morte.
Oh noon!! Je ne veux pas !
Moi, je voulais vivre!! VIVRE!!
J'avais tant de chose, à voir, à faire, à entendre!
Non, je ne veux pas aller sur cette lumière blanche!
Si elle représente la mort, alors je dois faire demi-tour,
Je dois repartir pour vivre.
Je dois avouer que... que j'ai peur de la mort.
J'ai peur de devoir aller bruler en enfer.
J'ai déjà eu un aperçu et cela me suffit.
Tout ça à cause de... d'elle!
C'est elle qui m'a fait souffrir,
C'est elle qui m'a tuée,
Et c'est elle qui payera.

Oui, Hedwige, Calypso te suivra.

La MORT dans l'âme (assistez au premier mort) (pv hedwige) Caly210

Petit dessin de Koëlia Likoëa

Comme dans un rêve, Hedwige entendit ces parole spectrales sans en saisir le sens.
Ses yeux à demi-fermés, elle ne distinguait ni la couleur du sang, ni celle de la mort.
Elle était tout simplement inconsciente, et le réveil ne sera qu'encore plus dur.

Elle aura probablement oublié jusqu'à ce que son cerveau se remettte correctement en marche et à cee moment là le souvenir lui materlera la tête comme autant de coup de poignard planté dans le coeur.

Mais aprés tout, ne l'aura-t-elle pas merité...

Invité

Vénus s'était levée tôt ce matin pour essayer de trouver Calypso, leur dernière rencontre l'avait bouleversé et elle voulait lui parler. Elle avait déjà cherché dans tout le château la veille et c'était mis dans la tête d'aller dans le parc, le dernier endroit où elle l'avait vu.
Elle était allé déjà au lac, au saule congneur, il ne lui restait plus que la forêt interdite. Vénus ne s'y était jamais aventurée de jour.
Elle entra à la lisière de la forêt mais ne vit personne. Le bon sens aurait voulu qu'elle fasse demi-tour et qu'elle retourne au château mais son instin lui disait qu'il fallait qu'elle aille plus au fond de la forêt.
Elle s'enfonça donc plus profond, il commençait à faire un peu plus sombre et Vénus avait un peu peur de faire une mauvaise rencontre. Mais elle ne croisa personne et allait faire demi-tour pour de bon quand elle entendit une petite pleinte assez proche. Elle tendit l'oreille et la réentendit encore et encore. Elle fit quelques pas et écarta quelques branches puis vit un spectacle qui l'horrifia.
Elle vit Calypso allongée par terre les boyaux sortant de son ventre et le sang dégoulinant de sa poitrine, de ses mains et de son bras, sur lequel il y avait écrit Voldemort.
Elle était pétrifié et eu un haut le coeur qui la fit vomir le peu de choses qu'elle avait dans l'estomac. Elle finit par s'approcher d'elle et vit que son coeur lui avait été retiré et qu'elle était bel et bien morte. Le sang avait un peu sèché et elle en déduisit qu'elle était morte pendant la nuit. Elle ne pouvait pas pleurer tellement elle était sous le choc.
Puis elle regarda sur le côté et apperçut que quelqu'un était allongé, en trian de dormir ou évanoui. C'était une jeune fille à qui elle n'avait encore jamais parlée. C'était elle qui émettait les petites pleintes qu'elle avait entendu. Son regard se posait à côté d'elle et elle vit une chose visqueuse sur le sol. Elle fut pétrifié en comprenant qu'il s'agissait du coeur de Calypso. Puis elle réalisa que la jeune fille avait du sang sur les mains.
Elle comprit alors que c'était elle qui avait du lui faire ça mais se demanda comment une personne un temps soi peu humaine pouvait faire une chose pareille !
A moins qu'elle ne soit pas tout à fait humaine...
Vénus prise d'un exès de colère lui donna un grand coup de poing dans la figure qui allait lui laisser un beau cocard !
Puis elle courrut vers le château, ne sachant quoi faire d'autre pour aller prévenir la directrice.

» Voici la Mort...
» Lorsque le peuple demande une mort, le roi obéit.
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