discution par un après-midi bien frais (pr Prisca)

Il faisait vraiment froid se jour là et des flocons de neige commençaient à tomber quand Vénus arriva aux Trois Balais. Elle était congelée et fut contente de sentir un peu de chaleur dans l'auberge.
Elle n'était pas là par hasard, non, elle devait retrouver Prisca, elles s'étaient données rendez-vous pour pouvoir se voir un peu et discuter tranquillement.
Elle observa toute la salle à la recherche de son amie mais ne la vit pas.

*Bah elle doit avoir un peu de retard, en plus je n'ai rien à dire, je ne suis pas non plus en avance ! *

Elle décida donc de prendre une table et de l'attendre.
Elle s'assit et regarda par la fenêtre tomber les petits flocons de neige. Tout d'un coup elle sentit quelqu'un s'approcher et tourna la tête...

Prisca s'était rendu à la bibliothèque pour avancer dans son devoir de potions. Décidement elle détestait vraiment cette matière !
Elle ne vit pas les heures passer plongée dans une montagne de vieux livres sentant le renfermé. Mais lorsqu'elle entendit au loin la grosse horlaoge de Poudlard sonnait quatre heures, elle se rapella soudainement son rendez-vous avec Vénus.

*Oh non, elle doit déjà être arrivée !!! J'aime pas trop arriver en retard !*

Arriver en retard avait toujours était très mal vu par ses parents, ils était de la vieille école et très strictent, Prisca garda donc cette habitude.

Elle se dépecha donc de ranger tous ces livres et se précipita dans son dortoir pour s'équiper d'une cape bien épaisse et fourrée de peau de bête. En effet, il faisait un froid de canard dehors et elle ne voulait pas être malade. Elle s'empara aussi de son porte monnaie, et s'aperçut qu'il n'y avait plus un sou dedans. L'adoption de son chaton Munca lui avait couté ses dernières réserves d'argent.

C'est un peu énnervée qu'elle sortit de Poudlard. Ennervée d'être en retard et de ne aps avoir de quoi payer une boisson chaude au Trois balais.

*Mais je ne regrète pas ma décision, Munca est vraiment.... très spécial comme chat.*

Il n'y avait que très peu de monde à Pré-au-lard par ce temps et Prisca put donc avancer sans rencontrer d'obstacles, aussi arriva-t-elle rapidement au lieu de rendez-vous.

Elle pénétra dans la taverne. Un courant d'air chaud lui arriva de face. C'était très agréable après cette balade gelée.

Elle resta là quelques instants à chercher du regard son amie, puis elle la trouva déjà assise à une table, regardant au dehors. Ils ya avait énormement de gens et les Trois Balais résonner d'éclats de rire et de voix.

*Ils sont tous venus ici, pes étonnant qu'il n'y est personne dehors.* pensa Prisca.

Puis elle se faufilla parmis les nombreuses tables qui encombraient le pub et alla à la rencontre de Vénus.

Vénus tourna la tête et lui souria. Prisca pris une chaise à une talbe voisine car il n'y en avait plus et s'assit.

Elle retira sa cape pleine de neige et la posa sur sa chaise. Une fois cela fait elle commença à bavarder tranquillement avec son amie.

Salut, ça va? Il fait un froid de canard dehors, j'avais presque des stalactiques qui me pendaient au nez.

Les deux jeunes filles rirent un instant.

Prisca se mit à l'aise et posa son menton dans ses mains. Elle regarda queslques instants le feu de cheminée qui brulait dans un coin de la pièce.

Vénus ne c'était pas inquiétée du retard de son amie, après tout elle était très souvent en retard et il lui arrivait rarement d'arriver la première à un rendez-vous.
Elle avait attendu que Prisca arrive pour boire quelque chose, elle avait peu d'économies et espérait que son amie serai plus riche qu'elle, sinon, elle devraient se partager la boisson.

Moi ca va et toi ? Au fait, j'espère que tu as un peu d'argent sur toi parce que je suis un peu fochée en ce moment et je ne peut payer qu'une boisson.

*Mais pourquoi j'ai dit ça ? Je suis tout le temps fochée, 365 jours par ans ! Ah, vivement que j'ai un salaire, je pourrais faire ce que je veux et plus vivre avec le stricte minimum ! *

Vénus n'a jamais été très riche, et pour cause, elle n'a pas eu de parents pour lui acheter ce qu'elle voulait, pour céder à tous ses caprices.
D'ailleurs elle se demandait pourquoi les enfants dont les parents avaient les moyens de leur acheter tout ce qu'ils voulaient, plus communement appelé les gosses de riches faisaient sans cesse des caprices alors qu'ils avaient déjà tout ce don un enfant a besion !

Prisca commençait à se réchauffer, elle sentit ses joues reprendre leur couleur rosée habituelle.

Elle aperçut aussi au loin un sorcier à l'allure étrange qui buvait seule une boisson surement alcoolisée au comptoir, puis quelques instants après une bagarre éclata avec cet homme et un autre sorcier à l'allure bedonante. Quelques sorts apparurent, mais très vite stopés par l'imposant barman. Il les flanqua dehors et d'un coup de baguette repara les dégats causé par ce légé soucis.

Prisca avit regardé toute la scène et n'avait écouté que d'une oreille son amie.

Elle remarqua alors le regard insistant de Vénus et comprit qu'ele devait répondre.

Elle fouilla dans sa mémoire et se souvînt de la question.
Puis elle rougit, elle rougit beaucoup, et faillit se confondre avec ses cheveux.

Elle lui répondit d'une voix génée.

Euh... c'est que je n'ai plus d'argent, mais alors vraiment plus ! J'ai dépenser mes dernières économies dans l'achat de mon animal de compagnie. C'est un petit chat qui s'appelle Munca. Mais donc du coup je ne pourrai pas consommer une boisson. Mais c'est pas grave, ne t'en fais pas pour moi !

Prisca sourit en regardant Vénus.

Vénus avait bien compris en voyant son amie rougir qu'elle ne l'avait pas vraiment écoutée mais elle ne s'en plaint pas.
Elle avait également regardé la bagarre qui avait éclatée dans un coin de la salle mais n'en fut pas inquiétée connaissant le barman, en plus ça arrive souvent quand il y a du monde dans l'auberge et que les gens ont un petit coup dans le nez.

Mais t'inquiète pas, on va se la partager cette boisson ! Je ne vais pas te laisser là, la gorge sèche pendant que je suis en tain de me boire une bonne boisson chaude !
Sinon il est comment ton chat ? Et ça fait longtemps que tu l'as ?

Vénus attendait la réponse de Prisca quand quelqu'un vint leur demander ce qu'elles voulaient boire.

Un chocolat bien chaud, mais il nous faudrait deux tasses !

Vénus regarda de nouveau Prisca en attendant que le serveur revienne.

Vénus lui proposa de partager la boisson, mais Prisca voulut refuser par politesse. Elle ne le fit cependant pas devant le visagage intransigeant de son amie.

elle lui répondit déjà plus à l'aise.

Euh... et bien c'est très gentil merci.

Puis Vénus commanda un chocolat chaud à un serveur.

Elle voulut ensuite en savoir plus sur Munca.

Prisca lui raconta avec un entouthiasme non caché. Elle avait vraiment envie de lui raconter cette aventure vraiment très spéciale qui c'était déroulée à Pré-au-lard.

Et bien il doit avoir 4 mois et il est roux avec des petites taches sur le museau. Il est a-do-ra-ble ! Mais il faut que je te raconte. J'ai été comme attirée par ce chaton à la boutique il y a 1 semaine à peu près, et je l'ai acheté tout de suite. Mais ensuite en le regardant droit dans les yeux, c'était trop... bizare. Il y a eut plein de petites étincelles puis un grand flash blanc aveuglant. J'étais totallement effrayée tu t'imagine bien, et ensuite j'ai entendu des voix, j'ai crus devenir totallement folle. C'était des voix qui m'appelais. Puis j'ai compris ensuite que c'était Munca qui me parlait par la pensée et moi aussi je peux lui parlait. Mais n'en parle à personne s'il te plaîs. Mais quand même c'est trop cool tu te rends compte !!!!

Prisca avait commencé son récit à mi-voix et avait terminé sa dernière phrase presque en criant.

Elle savait qu'elle pouvait avoir confiance en Vénus et que celle-ci ne se moquerait pas d'elle et la prendrait au serieux.

Prisca se sentait vraiment bien avec elle, elles devenaient de plus en plus intimes toutes les deux.

Vénus fut surprise par le récit de son amie, un chat qui parle par télépatie c'est pas commun !
Elle allait lui répondre quand le chocolat arriva. Elles se le partagèrent comme convenu et Vénus en but une gorgée avant de parler. Le liquide bien chaud lui fit un bien fou, elle se sentait revigorée !
Elle pu enfin lui parler.

Mais c'est peut être un animagus ton chat ! Ou alors un magicien très puissant réincarné dans un chat !

Vénus était entousiaste sans vraiment savoir pourquoi et sortait des choses impossibles ! Mais elle se sentait vraiment bien avec Prisca et un lien était tracé entre elles, comme si elles étaient plus qu'amies...
Non, Vénus n'était pas lesbiennes ! Mais comment le prouver, après tout elle n'était sortie avec aucun garçon !

*Mais je ne suis pas attirée par les filles !
En même temps je suis bien avec elle...
...Mais non c'est juste une bonne amie !
Au secours ma tête va exploser!! *

Vénus était en train de se torturer l'esprit quand Prisca la regarda intensément ce qui la destabilisa encore plus.
Puis, tout d'un coup, elle se décida à vérifier, juste pour être sure de ce qu'elle ressentait.

Elle lui déposa un baiser sur les lèvres,il fut bref mais Vénus ne c'était jamais sentit aussi bien de toute sa vie, une onde de chaleur montait en elle et elle se sentait comme plus forte. Comme se tous les malheurs qu'elle avait pu connaître c'étaient évanouis, comme si elle les avaient oubliés.

C'est alors qu'elle comprit...
Elle n'amait pas forcément les filles mais elle aimait cette fille, Prisca qui se tenait devant elle.
Quand elles se séparèrent, ce fut comme un déchirement pour Vénus. Mais à côté de ça, elle se sentait gènée, craignant la réaction de son amie.

Elle commanca alors à se lever pour partir...

Prisca savait que Vénus la prenait au serieux et Vénus s'interessait à son récit car elle lui posa une question.

Prisca n'y avait pas pensée à vrai dire et elle se promit d'avoir une petite discussion avec son chat.

Euh... je ne sais pas, mais peut-être, c'est possible.

Entre temps, le chocolat chaud était arrivé, elle se le partagèrent et Prisca en but une très longue gorgée. Elle n'avait pas voulut l'avouer à Vénus, mais elle mourrait de soif.

Elle appréciait ce moment et ses yeux se baladèrent dans la salle, puis revînrent à Vénus. Sa tasse dans les mains pour ce rechauffer elle regardait son amie.

Vénus parut tourmentée, comme si elle se livrait un combat interieur.

Prisca commença à lui demander si tout allait bien, mais elle n'eut pas le temps de finir sa question car Vénus s'avança subitement vers elle et l'embrassa.

Prisca surprise se laissa faire. C'était très agréable comme baiser, peut-être un peu court mais surprenant.

A vrai dire Prisca n'avait jamais pensé voir Vénus de cette façon, elle la prenait pour une amie. Mais ce que fut Vénus l'a ravit, elle sentit monter en elle de l'amour pour cette fille qu'elle considérait quelques secondes au par avant comme une copine.

Puis Vénus se cessa de l'embrasser. Prisca encore sous le choc et la surprise n'agit toujours pas et regarda Vénus beatement.

Elle remarque ensuite que Vénus était génée, peut être craignait-elle la réaction de Prisca. Vénus se leva et s'appreta à partir en toute vitesse.

Mais c'est alors que Prisca se "reveilla" et l'attrapa par le poignet.
Vénus se retourna et Prisca se leva.

Puis Prisca comme une réponse favorable au premier baiser, l'embrassa à son tour.

Ce fut un baiser beaucoup plus long et Prisca resentit vraiment l'amour sépanouire en elle. Elle aurait voulut que rien ne les séparent et qu'elles restent ainsi pour l'éternité. Une vague de plaisir monta en elle et elle sentit que ce fut reciproque.

Puis le monde exterieur les rappela de force. Les bruits du pub se refirent entendre à ses oreilles, elle leur lèvres se séparèrent. Prisca ré-ouvrit les yeux et regarda tendrement Vénus.

Elle s'appercut ensuite que pas mal de clients les regardaient, mais elle s'en fichait, rien ne pourrait casser cette scène si parfaite.

Elle reconduisit Vénus à sa chaise par un geste de bras et se rassit elle même.

Un long silence s'installa, mais ce n'était pas un silence pesant, bien au contraire.

Vénus allait partir quand Prisca l'avait attrapée par le poignet et l'avait embrassée de nouveau. Elle avait sentit la même chose que la première fois, avec en plus un apaisement.

Elles c'étaient ensuite rassis et étaient restées là, à ce regarder droit dans les yeux. Vénus ne c'était jamais sentie aussi bien de toute sa vie !
Rien n'aurai pu la rendre malheureuse à ce moment présent car seule Prisca comptait pour elle.

Vénus savait qu'il fallait qu'elle dise quelque chose mais elle n'avait pas la moindre idée. Elle était troublée, comme si tout ce qu'elle avait fait jusque là ne comptait plus et que seul ce qui allait arriver devait être prit en compte. Comme si tout ce en quoi elle avait cru s'éffondrait.
Vénus n'avait jamais eu de petit ami mais se disait que c'était parce qu'elle vivait dans la rue et qu'elle était miséreuse et pour elle, si elle tombait amoureuse, ce serai forcément d'un garçon !

Vénus ne croyait pas non plus au grand amour et pourtant, à ce moment là, elle aurai jurée qu'elle l'avait trouvé et que chacun avait une âme soeur; ce qui la faisait toujours beaucoup rire auparavant !

Hum... et bien heu...désolé, je ne sais pas trop quoi dire... et heu... c'est la première fois que ça m'arrive...

Vénus n'avait jamais bégayée autant, elle se sentait complètement idiote devant son amie. Elle ne savait pas ce qu'elle devait faire. Plein de sentiments se mélangeaient en elle, elle était heureuse mais aussi avait peur de ce nouveau bonheur.
Elle se demandait aussi ce que Prisca pensait de tout ça mais n'osa pas le lui demander.

Prisca et Vénus s'étaient rassit. Prisca était heureuse, joyeuse, elle n'était plus seule et elle était amoureuse.

Toutes ces émotions se bousculèrent dans sa tête. Ce moment était parfait, même le froid dehors qui la dérangeait au par avant était parfait maintenant.

Ce silence ne dérangeait pas Prisca. Elle aimait lorsque chacune se regarde dans les yeux et se sait aimée. Elle aimait ces moments de tranquilité ou plus rien ne compte.

Puis après au moins 5 minute de silence, Vénus prit la parole. Elle s'excusa en bagayant.

*Elle n'a rien à se faire pardonner !* pensa Prisca.

Mais Vénus avait l'air très troublée et boulversée.

Son visage génée fit sourire Prisca. Son manque d'assurance l'attendrissait.

C'était la première fois que Vénus aimait quelqu'un, aussi Prisca comprit ses sentiments et décida de ne pas la bousculer.

Prisca répondit à Vénus d'un ton rassurant et assuré à la fois et lui prit la main. Elle était comme un couple maintenant, en tout cas c'est ce qu'espèrait Prisca.

Tu n'as pas à t'excuser, et tu n'as pas à t'expliquer si tu ne le veux pas. Mais si tu ressent la même chose que moi, nous sommes faites pour rester ensemble !

Prisca voulez rassuré Vénus et la rendre heureuse.

Vénus était encore troublée de ce qui venait de se passer. Elle n'aurait jamais pensée qu'une chose pareille allait lui arriver, surtout avec une fille qui plus est son amie !

Depuis toujours Vénus avait souhaiter sortir avec quelqu'un pour être aimée mais c'était fait une raison et c'était finalement dit qu'elle ne connaitrait pas l'amour et avait vraiment fini par le croire. Voilà pourquoi tout ce qui venait de lui arriver l'avait bouleversée. Tout ce qu'elle c'était efforcée de croire c'était écroulé, alors il lui fallait un peu de temps pour s'en remettre.

En tout cas Vénus était sure d'une chose, elle aimait Prisca et rien ne pourait lui faire changer d'avis !

Vénus regarda encore une fois Prisca, elle n'avait pas besoin de lui dire ce qu'elle ressentait, ça se voyait dans son regard, elle voulait vraiment rester avec Prisca et celle ci le comprit très vite.

Vénus lui redéposa un baiser doux et très agréable sur les lèvres. Elle était au septième ciel et n'avait vraiment pas envie de redescendre. Tous ses probèmes étaient secondaires et elle se sentait vraiment plus forte, comme si tout ce qui l'avait tracassé depuis toujours n'était plus rien.

La neige dehors tombait par rafale, on ne voyait presque plus rien à travers. Elles allaient être coincée ici surement un bon moment.

¤ Mais si c'est avec elle, le temps passera beaucoup plus vite. ¤ pensa Prisca.

Vénus semblait toujours aussi génée mais son visage se detendit. Prisca sourit et bu encore un longue gorgée de son chocolat qui était un peu froid désormais.

Le regard des clients s'était detourné d'elles à présent, bien que, dans un coin du pub, quelques vieilles sorcières les regardait en chuchotant.

¤ C'est à cause de ces mentalités que j'en suis réduite à vivre loin de ma famille ! ¤

Son visage parut s'assombrir un court instant, mais lorsqu'elle croisa le regard de Vénus ces pensées négatives s'évanouirent.

Cela devait bien faire une demi-heure qu'elle étaient au trois Balais mais la salle était toujours bondée de clients. En effet ils étaient tous obligés de rester ici pour ne pas avoir à lutter contre la tempête de neige.

Prisca serrait toujours la main de Vénus dans la sienne et Vénus lui redeposa un baiser tendrement sur les lèvres. Ce baiser réchauffa le coeur de Prisca qui commençait à avoir froid. Puis dans un sourire elle bu la fin de sa boisson chaude.

Prisca voulut en savoir plus sur le passé de Vénus, car, c'est vrai, cette dernière était restée très vague sur ses origines. Prisca pensa que c'était le bon moment pour en parler, aussi la questionna-t-elle.

Dis moi Vénus, maitenant nous sommes très proche. Tu peux me confier les secrets de ton passé comme je l'ai fais avec toi. Crois rien ne pourra me choquer.

Prisca regardait Vénus droit dans les yeux et espèrait vraiment qu'elle lui reponde franchement car la sincérité était pour elle la base d'un couple. Elle ne supportait pas les mensonges, elle en avait déjà trop souffert au par avant.

Vénus ne lui avait en effet jamais parlée de ses origines car c'était assez dur pour elle de se confier. Elle avait redoutée se moment mais maintenant qu'elles étaient ensemble, Vénus se sentait déjà plus apte à en parler.

Elle fini d'abors sa boisson qui était à présent froide et inspira un grand coup avant de commencer son réçit. Il fallait qu'elle soit bien prête pour en souffrir le moins possible.

Bon et bien voilà, je n'ai jamais connue mes parents et, depuis toujours je vis dans la rue, dans l'allée des Embrumes.

Vénus sentit son coeur se serrer en disant cela. Elle se ressaisit et continua tout de même.

Au début, pendant mes toutes premières années, j'étais dans une famille qui m'avait recueilli, ils étaient pauvres mais gentils avec moi. En plus ls avaient des enfants. Mais voilà, un jour ils furent vraiment trop pauvres et durent se séparer de leurs enfants les plus vieux pour pouvoir élever les autres.
Biensur, n'étant pas leur fille, j'ai du partir la première. Je ne sais pas ce qui est advenu pour les autres.

Vénus avait toujours voulu retourner dans cette famille, pour voir ce qu'ils étaient devenu, mais elle n'a jamais réussi à les retrouver.

Après ça, j'ai du vivre dans la rue, j'ai du survivre plutôt car ça ne s'appel pas vivre quand on meurt de faim et de froid à huit ans !
J'ai du voler des gens et j'ai aussi été...

Le dernier mot était resté coincé dans sa gorge, elle n'avait pas réussi à le dire, ce mot qui la hantait, qui faisait mal. Ce mot était de la souffrance et elle allait fondre en larme si elle le disait.
Elle n'en avait jamais vraiment parlée clairement mais c'était évident, visible sur sa peau.

...maltraitée.

Vénus avait les larmes aux yeux mais ne perdait pas la face, elle ne voulait pas paraître faible. Non, elle n'était pas faible !

Et puis, un beau jours, Dumbledore m'a trouvée, agonisante dans la rue et m'a amenée à Poudlard que je n'ai pas quittée depuis. Je lui doit la vie et même plus encore !

Vénus se sentait mieux d'avoir tout dit, pour une fois elle n'avait pas besoin de mentir ni de paraître bien aux yeux de ses amis qui eux avaient eu une vie normale.

Elle regardait toujours Prisca dans les yeux, elle n'avait pas bougée et avait écoutée attentivement son réçit. Vénus attendait sa réaction...

Prisca avait écouté attentivement l'histoire de Vénus. Elle n'avait pas eut une vie facile ! Mais Prisca le considéra avec encore plus de respect et de fièreté qu'avant. En effet, elle avait survécue et c'était déjà une chose incroyable, Prisca était fière, oui fière d'être sa petite copine et sa confidente.

Vénus se retenait de pleurer surtout lorsqu'elle parla du faite qu'elle avait été maltraitée et Prisca le remarqua; Elle lui chuchota d'une voix douce et réconfortante avec un légé sourire.

Ta vie a été surement un enfer, mais maintenat c'est finit et je suis la. Je suis heureuse et flattée que tu te sois confiée. Tu es comme tu es et tu ne dois pas avoir honte, laisse ta carapace de coté, tu n'en a plus besoin avec moi. Tu peux pleurer devant moi, et tu n'auras rien de faible crois moi !

A ces mots, Prisca serra Vénus dans ses bras et elle sentit quelques larmes couler sur son bras, des larmes silencieuses et dignes.

Puis elle s'éloignèrent l'une de l'autre et se regardèrent un insant.

Enfin Prisca osa poser une question qui lui trottait dans la tête.

Mais pourquoi n'as tu pas quitté l'allée des Embrumes et surtout comment as-tu fais pour ne pas sombrer dans le mal et allé à Gryffondor ? Tu n'étais qu'entourée du mal dans cette allée.

Prisca ne voulait pas brusquer la Gryffondor, mais elle s'interresait à son passé même si il n'était pas tout rose et surement douloureux.

Vénus ne savait pas vraiment quoi répondre, pourquoi elle n'avait pas sombrer dans le Mal ? Par chance peut être, elle se cachait et elle est née quand même au bon moment, Voldemort n'était plus actif lors de ses premières années de vie. L'allée était plutôt calme pendant cette période.

Je n'ai pas quittée l'Allée des Embrumes parce que je n'en avait pas la force et que je n'avais nul part où aller. Là bas, j'avais un espace où je me réfugiait pour dormir et j'arrivait à trouver le minimum de nourriture. Il est beaucoup plus facile de voler là bas que sur le chemin de Traverse. En plus, comme je ne mangeais pas énormément, je ne pouvais pas me déplacer facilement et j'étais vite épuisée.

Vénus ne savait pas pourquoi elle n'était pas devenu mauvaise et encore moins pourquoi elle était allée à Gryffondor. Elle essayait de ne pas trop y penser et n'avait pas demandée le pourquoi du comment a choixpeau, de peur qu'il ne change d'évis.

Et bien je n'ai pas sombrée dans le Mal parce que mon but au début était juste de survivre et de voler pour cela. Je me tenais à l'écart des gens et j'essayait de ne pas me retrouver seule avec des types louches. Je penses surtout avoir eu beaucoup de chance voilà tout.
Quand à mon admission à Gryffondor et bien je ne sais pas, le choixpeau t'en dira plus que moi sur son choix.

Vénus commençait à en avoir marre de parler du passé, elle n'aimait pas cela. Elle avait apprit à vivre au jour le jour et maintenant qu'elle pouvait enfin faire des projets, elle en voulait pas revenir en arrière.

Bon assez parlé du passé ! Si nous parlions plutôt du futur...

Oui, le futur, Vénus avait envie de se projeter, elle voulait faire des plans avec Prisca, avoir des objectifs. Bien qu'elle aime le côté improvisé de la vie au jour le jour, elle n'était pas contre les projets.
Mais les seuls projets qui l'interressait étaient ceux qu'elle pouvaient faire avec Prisca.

Prisca sentit le malaise de Vénus et décida d'arrêter ces questions.
Vénus voulait parler du futur. Prisca n'avait pas l'habitude de se projeter dans l'avenir, mais elle ne vivait pas non plus au jour le jour. Disons simplement qu'elle vivait sans se poser de questions, et que la pluspart des journées se resemblaient pour elle.
Prisca n'avait donc pas planifier le futur avec Vénus, d'ailleur, elle avait était un peu prise au depourvu dans cette histoire, mais elle ne regrettait rien.

Elle répondit a sa petite amie.

Que veux tu faire ? Qu'as-tu planifié pour nous ? En tous cas, moi je prevoit de toujours rester avec toi, et de passer mes examen de fin d'année et d'avoir O à mes BUSES.

Prisca ne se lassait pas de répéter sans cesse qu'elle voulait rester avec Vénus, c'était peut être un peu usant à la longue, mais elle s'en fichait, cela lui faisait du bien.

Elle n'avait plus rien à boire, et étaient sans le sous, cela commençait bien ! Mais elles n'avait pas besoins d'argent pour être heureuses elles se suffisaient l'une à l'autre.

Vénus se rendit compte qu'elle avait posée cette question surtout pour changer de sujet car elle n'avait rien planifiée de tout, elle ne voulait pas aller trop vite en besogne.

Eh bien rien pour le moment ! Je préfère ne pas trop faire de plan non plus car si ils ne se réalisent pas, je vais être déçu. Je pense qu'il vaut mieux vivre ses rêves que rêver sa vie.

Vénus disait cela sans grande conviction car elle avait passée toute son enfance à la rêver sa vie, ne sachant que faire d'autre. Elle se força de sourire et regarda Prisca dans les yeux encore une fois.
Elle voulait imprimer son visage dans sa mémoire afin de ne jamais l'oublier. Il ne lui fallut d'ailleurs pas beaucoup de temps pour y parvenir, elle savait qu'elle ne l'oublierai jamais même si elle le voulait.

Vénus regarda et vit qu'il neigeait toujours beaucoup, ce qu'elle regretta car elle ne pouvait pas être seule avec Prisca. De plus, elle avait encore soif mais plus aucun argent pour payer la boisson. Mais la seule présence de sa petite amie suffisait à combler toutes ses peines.

Vénus sembla morose lorsqu'elle évoqua le futur. Sa vie avait était remplit de danger et elle ne voulait plus prévoir des choses qui n'arriveraient peut-être pas.

Prisca comprenait son point de vu, mais elle était beaucoup plus optimiste que son amie. Elle voyait la vie beaucoup plus colorée et joyeuse, bien que des fois elle n'avait pas le moral, mais cela arrivait à tout le monde.

Elle ne voulut pas insister et lui répondit.

D'accord, nous verons ça plus tard si tu veux. Qu'est-ce qui te fairais plaisir maintenant ?

Prisca voulait vraiment que Vénus soit heureuse, et elle espérait toujours pouvoir la combler.

Elle suivit ensuite le regard de Vénus par la fenêtre. Il neigait encore ennormement. Elle était coincée ici, mais à deux le temps passe plus vite.

Vénus était en effet un peu morose, elle avait été déçu tellement de fois dans la vie qu'elle e voulait pas tenter le Diable. Ce qui lui était arrivé lui suffisait amplement.

Et bien, pour être franche, je voudrais sortir d'ici, j'en ai un peu marre de rester ici avec tout ce bruit et ces gens qui puent l'alcool et le tabac. Même si il y a de a neige et du vent, je voudrais bien y aller.

Vénus avait soudain une folle envie de s'étendre dans la neige froide et blanche, comme le font les enfants pour s'amuser. De plus, elle voulait être tranquille avec Prisca, ici il y avait vraiment trop de monde et elle s'entendaient à peine.

Vénus posa l'argent qu'elle devait pour le chocolat chaud sur la table et se leva sans prévenir. Elle mit son manteau et prit Prisca par la main, l'entrainant dehors avec elle.

Au moment où elle franchit la porte, Vénus sentit le frid lui mordre le visage et les mains. Levent lui giffla le visage et la neige s'installa vite dans ses cheveux en bataille. Mais elle s'en moquait, elle était comme une gamine qui sait qu'elle va être malade et qu'il n'est pas prudent de sortir par un temps pareil mais qui le fait quand même.

Elle se retourna et regarda la réaction de Prisca...