Après 2 ans ..

Lorenzo, après deux ans d'absence a Poudlard, correspondant à la fin de ses études, remit pour la première fois les pieds à Poudlard, ou plus exactement dans le hall... Il n'épprouvait aucune sensibilitée façe à ce retour. Certaines personnes aurraient certainement eû la larme façe à ça. Pas lui. Jamais... Il jetta tout de même un bref regard autour de lui.

*Evidemment rien à changé ici. Toujours aussi... rasoir ! *

Voilà la seule chose qui lui vint à l'esprit. Pathétique non ? C'était Lorenzo et ce qu'il avait toujours été. C'est ainsi. Il n'était pas la pour se faire des amis, ou devenir proche avec des élèves. Son but était de gagner de l'argent en exercant sa passion qu'est le vol... Il avait obtenu le poste de nouveau professeur de vol. Cela ne lui faisait ni chaud ni froi. Indifférent, comme toujours... Connaitrait-il un jour le sentiment d'être ? D'exister ? De sentir ? de pleurer ? d'aimer ?? Hum ... Difficile à croire. Personne ne misait sur ce pari stupide. Pas même lui car il ne connait pas même l'existence de ces mots. Où étaient ses valises ? Il avait bien évidemment demandé a ce que l'on façe amener ses babages directement dans sa chambre.
Lorenzo était bien habillé. Costard-cravate, histoire de paraitre quelque peu crédible... Il n'en serai plus de la sorte lorsqu'il exercera sa fonction. En effet, il enfilera, comme tout le monde sa robe de sorcier. Même si cela ne l'enchantait pas trop et préférait de loins s'habiller, certes comme un moldu, mais de manière classe avec des marques de sorciers. Fallait-il préciser que Clavin Klein ou encore guess étaient en fait des marques provenant de sorciers ?... Il s'approcha des grands escaliers de marbre et s'y appuya, comme attendant quelque chose, ou quelqu'un, tout en trouvant cette école légèrement... abandonnée !

Hj : Chui quasi-certaine de la reponse mais.. Tu attends quelqu'un en particulier ?

[ Pas vraiment lol XD ]

[Oki je me suis trompée alors mdr. Dans ce cas j'arrive xD]

Hedwige continuait encore ses études. Et oui, elle y était ben forcée, malgré tout les évenements qui s'étaient deroulés l'année dernière, notamment cette mort tragique... Hum, plutôt ce meurtre tragique. bien malgré elle.
Et dire qu'il fut accompli de ses propres mains... la pleine lune n'était pas une excuse. Elle était censée s'enfermer cette nuit là. Elle n'avait pas su protéger les autres, ni se protéger elle-même.
Rage, impuissace, souffrance, surtout en voyant le regard des autres sur elle, ce regard méprisant, ce regard de défi ou empli de haine, un regard qui fait mal... parce que le plus dur dans tout cela est de se savoir responsable du Mal des autres, alors qu'elle voulait juste aider...

Même la directrice... Et ses paroles... " mon coeur est loin d'être pur, et encore moins le votre... " Non... son cour n'était plus pur depuis longtemps... Depuis qe la haine, le remord, la tristesse le rongeait... Depuis sa tendre enfance, depuis le simple commencement... Cette perte qui trachale lien mère/fille, même si elle ne le sut que bien plus tard... La mort de sa mère maternelle... puis le meurtre de sa famille adoptive, et enfin celui qui l'a recueillit... ces années de peur, de clandestinité, à se cacher de qui, de quoi, pour qui... Pouquoi... Ses sentiments, qui n'aboutissaient à rien, juste à une douleur supplémentaire... ce meurtre, cette entité maléfique, cette malédicton aussi...

Elle aurait du savoir que le simple fait de naître Jedusor en était une.

"Voyez vous, vous avez fait la chose que vous craignez le plus... Devenir comme votre père."

Oui... Ce qu'elle craigait le pls. La peur d'elle-même. La crainte de finalement devenir comme Voldemort... Qu'il n'y ait aucun moyen de fuite.. Qu'elle finisse ratrappée par son sang, son passé, ses origines. La crainte de ne pas valloir mieux que lui... De voir un jour dans les yeux de Harry cette même rancoeur qu'il réservait à Voldemort. Entendre Kyarah, celle qui l'avait prise sous son aile, lui dire ça, c'état comme si le monde des illusions et des rêves s'effondrait. Elle n'avait pas la moindre parcelle de lueur d'espoir auquelle s'accrocher..

Plongée dans ses mornes pensées, sans plus but ni destination aucune, ses pas la meèrent dans le hall d'entrée. Elle accorda une vague attenion à la silhouette de l'homme qui 'y tenait.

Lorenzo n'avait pas idée de l'heure qu'il était ni depuis combien de temps il attendait patiemment dans ce grand hall desert. Cela signifiait certainement que tout le monde était en cour, du moins ce qui restait des élèves depuis la mort de Dumbledore. Cette mort ne lui faisait ni chaud ni froid... Il ne s'en occupait même pas... Il fut surprit de voir une fille, certainement une élève perdue se promener dans le hall. Il regarda sa façon d'être qui était quelque peu étrange... Elle semblait entretenir un grand dialogue avec... elle même ! On pouvait même percevoir des gestes non verbaux comme le froncement des sourcils ou le pincement des lêvres.. Lorenzo semblait tout de même perplexe à l'idée qu'une seule élève ou habitante de cette école soit ici devant lui... Où étaient les autres, s'était-il trompé d'école ? L'architecture et son contenu ne changait pas mais... on ne pouvait pas en dire de même pour les humains qui doivent la composer.

Et toi là. Oui toi ! Peux-tu me dire pourquoi cette école semble morte ?

Dit-il d'un ton neutre à glacer le sang. Maintenant qu'il y pensait, il semblait evident que c'était parce Dumbledore n'était plus là pour protéger ses élèves... Ce n'était pas la jeune directrice qui allait protéger cette école d'autant plus que selon les sources de l'Ordre, elle était loins d'être clean et entretenait une liaison avec le professeur Rogue, meurtrier. Rah celui là, il ne l'aimait pas. Il avait une forte envie de meurtre en pensant à cet homme. La rage l'empoigna et il sera son poing instinctivement en faisant craquer bruyament ses articulations de la main. Il ne fit pas attention à la raisonnance dûe à la grandeur de la salle.

Hedwige avait toujours l'air bizarre, aussierrante que le fantôme qui la poursuivait... Calypso, cette élève de Serdaigle qui s'était fait assassinée. A des moments, seule Hedwige pouvait la voir ou l'entendre... Ce qui était une véritable torture, à la fois por elle et pour le regard des autres.
Elle avait une attitude très changeante, indicernable, elle pouvait se mettre à rire au lieu de se f^pacher et bien d'autres encore. Ses sentiments semblaient varier de manière irrégulière et pas du tout conforme à la situation, et son teint pâle en plus de ses cheveux blancs renforçaient l'illusion d'être ailleurs.

Deconnctée de la réalité, être là sans vraiment l'être, comme si elle hantait les lieux sur lesquels elle avait semé mort et malheur. Elle sentait le regard de l'homme sur elle, mais n'y prêtait pas la moindre attention. Ce nefut que lorsqu'il s'adressa à elle qu'elle releva la tête et posa son regard ambre ur lui.

Elle regarda tout de même autour d'elle, pour vérifier s'iln'y avait personne, mais ils étaient seuls dans le hall... Le hall était vide. Oui, tout était vide, tout était mort, mort avec Dumbledore, mort avec Calypso. Mort avec l'espoir.
A chaque sonnerie, on entendait à peine les raclements de chaises, les élèves restaient goupés dans les couloirs et chuchotaient... un nombre considérable d'élèves n'étaient pas revenu. Déjà pour l'incident de Dumbledore, et surtout en apprennant qu'il y avait parmi les élèves, dans le chateau, des vampires et des loups-garous... Plus aucuns ieux n'étaient sûrs. Ce qui expliquait ce silence, ce vide,cette absence.

- Parce que... Elle l'est réellement... fit-elle d'un air lointain, esquissant un petit pas vers lui sans vraiment le fixer. Les lieux sont... Peu sûrs, ces derniers temps... personne... Ne s'y attarde vraiment...

Oui, personne, et surtout pas là où Hedwige pouvait se trouver.

Lorenzo la trouva de plus en plus étrange. En effet, il ne la trouvait pas très sympathique à son gôut. Mais cela, il s'en moquait éperdurment. Il n'était pas là pour sympathiser. Il s'en foutait mais completement. Il l'a toisa completement du regard. Il l'a regarda de haut en bas et la trouva.. quelque peu.. moche ! Il fit quelques pas en tournant autour d'elle, telle un rapace tourne autour de sa proie. Il fronça les sourcils, de dégout peut -être? De doute manière, même si une fille était belle, il l'a trouverait moche. C'était une habitude chez lui. La seule fille qu'il eu trouvé belle fut sa seule et unique fiancée qui l'eu plaqué pour un autre homme. De quoi former une nouvelle carapace. Depuis il ne faisait que critiquer. Peur de tomber à nouveau amoureux ? Trop vaniteux pour se l'avouer. C'était plutot par fiertée pour lui, du moins c'est ce qu'il laissait paraître. Il laissa sortir un léger soupir d'exaspération avant de dire

Humph... Serai-ce à cause de toi que toute la troupe ait derserté miss ?

Une toûche de sarcasme pimentait sa voix. Il savait très bien que quoi avaient peur les élèves ainsi que les professeurs. Il n'avait pas envie d'être agréable. Il retourna s'appuyer contre la rembarde de l'escalier à la manière d'un gentleman. Il jetta un regard furtif aux sabliers. Pour cette periode de l'année il n'y avait pas beaucoup de point pour chacune des maisons. Il eu un petit sourire moqueur. Il reporta son regard sur la demoiselle.

Et-toi que fais-tu ici ? Tu devrai être en cour ! Pas étonnant que les maisons n'ont pas beaucoup de point si les élèves passent leur temps à sécher.

Il prit un air superieur dû à son grade de professeur. Vraiment prétentieux comme mec. Et ouais. Lorenzo était un Italien et un sorcier PUR SOUCHE.

Hedwige employait toute sesforces à ne pas prêter attention au regard de cet homme. Ce dernier ne se gênait pas à la fixer de haut en bas, peut-être même la jugeait-il, mais de toute manière il ne pouvait avoir la prétention de déjà la connaître... Personne ne la connaissait. C'était d'ailleurs tout juste si elle ne se connaissait pas elle-même.
Et puis, elle avait eut l'occasion d'en croiser, ces types de personnes, elle ne pouvait pas se montrer très surprise.
Il est vrai qu'elle avait une apparence... Particulière, lui étant propre, qu'on ne peut retrouver nulle part ailleurs chez quiconque. Ses cheveux blancs, ses yeux dorés, sa peau pâle, son apparence frêle... Elle n'était pas une oieau pour rien. Mais certains bien evidemment risquaient de ne pas vraiment aimer. De toute manière, elle e pouvait changer.
Si elle aurait pu le faire, elle l'aurait fait. Elle aurait tout effacé, comme un tracé de crayon que l'on fait disparaitre à coup de gomme, de A à Z, effacant à grands coups ses peurs, son passé, effacer même jusqu'à l'origine, jusqu'à la source du Mal.
Elle se srait redessinée tout à fait banale. Peut-être les cheveux ténebreux, les yeux marrons, pas forcement très sédisante, avec une famille véritable sans ennuis. Elle aurait même acceptée avec joie d'être une "sang-de-bourbe" comme disaient les autres sorciers butés avec mépris.

Mais voilà, elle était toujours Hedwige...
Au sarcasme de l'inconnu, il ne su jamais à quel point il fut proche de la verité.
Pourtant, elle ne pouvait se résoudre à l'accepter. Alors, elle fit comme d'habitude, elle fit "comme si" :

- Je ne suis pas aussi effrayante que les mangemorts.

Toujours son air lointain, neutre... Blanc. Blanc comme elle. Du moins, blanc étaitsa couleur, noire était son âme... Ses âmes.
Elle ne savait pas ce que cet homm faisait là, ni qui il était, et encore moins pour qui il pouvait se considérer pour se permettre un air aussi sûr de lui, des remarques aussi franches ou exagerées.

Avant, elle lui aurait posé des questions, elle aurait voulu savoir. Aujourd'hui, elle se fichait de tout. Il s'accouda à l'escalier, jetant un coup d'oeil au sablier, avant de signaler qu'elle n'était pas en cours.

Sécher les cours, oui, cela lui était déjà arrivé qulques fois, les jours de pleine lune où elle pretextait un mal de ventre - qui n'éait pas si inventé que cela, tant ses entrailles étaient nouées par l'angoisse - ou même il y a quelques mois à peine, où la pression de la culpabilité fu trop forte et elle disparut plus ou moins.

- Je n'ai pas cours. Pas maintenant....

Lorenzo avait toujours le même ton prétencieu fixé sur son visage. Il ne changerai d'ailleurs pas d'attitude. Le jeune homme remarquait toujours la facultée à dialoguer interieurement avec elle-même.

Cependant, le dialogue était-il le chemin qui mène à la vérité ? Certes la jeune blonde dialoguait en elle mais cela tournait-il autour de la vérité ? Ou plutôt du mensonge. Toute les filles mentent. Tel était le préjugé du Brun. Une image préconçue mauvaise à entendre.

Christensen se mit furtivement une main dans les cheveux histoire de se recoiffer. Il aimait bien faire ça. Un tic.. Il remit aussitôt ses mains dans ses poches si douilletes fallait-il croire.

Il eu de nouveau un sourire moqueur à la phrase prononcée de l'élève. Il ne pu se retenir de lâcher un rire nerveu, ce qui signifiait tant pour lui. Il l'a regarda de nouveau de haut en bas presque vulgairement. Quelle tenue pour un professeur. Mais cela n'avait rien de pervers à son égard. Il se foutait complètement des formes et des rondeures des femmes. De toutes les femmes sauf une. Alors ce n'était pas une gamine qui allait lui faire de l'effet.

- Mademoiselle est prétecieuse. Voyez-vous ça ! Qui êtes-vous pour vous juger mieux qu'eux ?

Quel sarcasme ! Le petit brun était pitoyable. Quel plaisir de faire des "croches pattes" à la population "inferieure". Rabaisser ceux qui sont déjà bien bas, quelle jouissance. Il préférait presque cette extase à celle qu'il pouvait avoir avec la gente féminine.

Le jeune professeur remarqua que la jeune étudiante avait le regard perdu au loin. Quelque chose l'a préoccupé et les soucis, Christensen connaissait. Ca aussi c'était bien bon de voir les autres rongés par les inquiétudes. Le malheur des uns fait le bonheur des autres, n'est-ce pas ? Il esquissa un léger sourire sadique typique à ce sorcier.

Lorenzo n'en avait pas fini avec elle. S'il avait commencé, autant continuer longtemps jusqu'à épuisement de cette jeune femme. Il fit quelques pas significatifs d'une envie folle de réagir une nouvelle fois aux dires de l'élève présente.

- Hum... Je vois, mais cela ne vous force en rien à errer dans les couloirs. Vous risqueriez de faire de mauvaises rencontres.

Le nouveau professeur ne se visait guère par ce qu'il venait de narrer. De plus, il prit un air tout à fait innoncent inquiet, qui montrait bien qu'il se moquait totalement d'elle. Toujours égal à lui même. A peine arrivé dans l'école qu'il essayait déjà de se faire respecter. Ses cours allaient promettre. Ils ne seraient pas de tout repos pour les élèves. Quant à lui, ce serait une vraie partie de plaisir. Il en bavait d'avance.

- Au fait, "Professeur Christensen", retenez bien mon nom. Vous l'entendrez souvent.

Hedwige comprit bien vite que le problème ne venait pas forcement d'elle, mais surtout de la prétention que pouvait montrer cet homme envers elle... Ou peut-être même envers tout le monde, il semblait habitué à ce genre de comportement. Elle se montrait, pour sa part, guère honnête à lui ni à elle-même mais contrairement à lui, elle n'avait pas le choix.
Certains secets devaient parfois le rester. Même au prix de sacrifices et de mensonges... ce qui n'était sans doute pas fait pour améliorer l'opignon de l'homme sur les femmes. Mais peu importe, Hedwige ne s'était jamais consideré comme étant dans le même panier que les autres. Selon elle toute femme était différente... Même une seule femme pouvait se montrer différente à elle-même, Hedwige en était la preuve vivante avec son âme dechiré entre Bien et Mal.
Mais cela, il l'ignorait, et même peut-être ne voulait pas s'en informer. Il semblait très imbu de lui-même, mais encore une fois elle ne s'en formalisa pas.

Il y a bien longtemps que certaines paroles ne pouvaient plus la toucher, ni la heurter. Il pasa sa main dans ses cheveux, un geste qui lui fit aussitôt penser à un jeune brun ax yeux verts... Son coeur se serra. Oui, à défaut des mots, certains gestes pouvaient la heurter. Elle ne faisait en rien comme tout le monde, mais ne faisait pas vraiment d'efforts pour l'être... Ou peut-être n'y arrivait-elle seulement pas, et avait abandonné cette idée depuis longtemps.

De nouveau, il la fixa comme s'il la paissit au rayon X. Elle commençait déjà à se sentir mal à l'aise devant son regard. Elle avait toujours préferé être transparente. Être l'objet d'une telle attention, même si cele ci n'était que narquoise, la mettait dans embarras.

¤Mademoiselle est prétecieuse. Voyez-vous ça ! Qui êtes-vous pour vous juger mieux qu'eux ?¤

Ses paroles la laissèrent dans la reflexion. Qui était-elle pour se juger soi-même... Se jugeait-elle ? Oui, sans nulle doute, elle se jugeait... Ou plutôt, ellse rabaissai à elle-même. Pas besoin des autres pour le faire, c'était innéchez elle, se placer plus bas qu'elle ne pouvait l'être.
Elle se considérait comme tel, en plus d'être inintéressante et dangereuse à la fois.

Pui, finalement, elle réondit :

- Il y a plusieurs manières de se considérer. Il y a celle où nous croyons être, celle où nous voulons être et celle que nous sommes vraiment. Tout le monde, ou du moins beaucoup ignore encore la troisième possibilité... aveuglés ou séduit par les premières.

Cette phrase était un peu decallée par rapport au sujet, mais elle ne semblait pas s'en formalsier. Elle semblait toujours aussi impassible. Même si cerrains gestes, certains airs trahissaient sa préoccupation interieure.

Mais, loin d'être decouragé, il sembla insister un peu plus, se rapprochant d'elle quelque peu pour juger sa phase sur sa présence ici.
Une mauvase rencontre... C'était plutôt elle, le risque d'être un "mauvaise rencontre". Aussi ne semblait-elleas inquiète. Certe, elle avait déjà croisé un autre vampire, et Evangeline avait d'ailleurs sympathisé avec ce dernier... mais sinon, elle n'avait pas eut de soucis particulier à se faire. Elle était du genre à éviter les problèmes, jueant en avoir déjà bien suffisament pour en rajouter.

Elle ne réagit pas. Pas pour l'instant. Jusqu'à finalement rajouter :

- Mieux vaut errer dans les couloirs que ne rien faire en cours.

De toute manière, il était totalement désinterressé de son sort, cela se voyait. Il appuyait ses dires pour bien le montrer.
Ce fut seulement lorsqu'il se présenta enfin qu'elle daigna lui accorder un quelconque sentiment.

¤Au fait, "Professeur Christensen", retenez bien mon nom. Vous l'entendrez souvent.¤

Pesseur ? En voilà un avec qui les élèves allaient bien s'amser. Au sens ironique du terme, bien entendu. De quoi pouvait-il bien être professeur ? songea-t-elle. Il était sans doute pire que Severus Rogue, car ce dernier au moins ne se considérait pas comme le sommet de la pyramide.

Elle se permit donc de demander, posant pour la première fois une qiuestion :

- Professeur de quoi ?

En son fort interieur, elle aurait voulu rajouter quelque chose de bien epicé avec cette question, du genre : professeur de sarcasmes ? Mais elle évitait bien entendu les ennuis, et puis cela ne lui aurait servità rien. Elle perdit rapidement ctete envie, cette pensée.

Lorenzo cernait en la jeune fille une certaine incohérance dans ses pensées. Elle devait certainement s'y perdre éperdument. Cela était normal provenant de la cervelle d'une femme ou même d'une jeune fille. Surtout une fille blonde comme elle n'était certainement pas très intélligente. Encore un foutu préjugé adopté par le grand Lorenzo ..

Selon le brun mysterieux la seule et unique femme qui était "belle " intelligente et "apte à être respecté par un homme" se prénomait Sylia. Sa véritable et seule ex. Les autres filles qui précédaient Sylia n'étaiet que des aventures d'un soir. Sylia fut la seule en qui il pouvait plonger son regard sans même se moquer d'elle ni toiser. Au contraire, c'était plutôt elle qui arrivait à le faire tenir droit.

Son égérie, sa muse, son inspiration... Sa vie ! Celà n'était-il pas trop exagéré ? Non pas vraiment. Lorenzo, à l'époque nommé Hayden Lorenzo misait tout ses espoirs en Sylia. Lui qui était un véritable monstre avec la population de Poudlard, lui qui terrorisait ses camarades de classe. et parfois même les professeurs malgrès qu'il était bon élève.

Il n'était qu'un chieur. C'était le cas de le dire. La rencontre avec Sylia changea le cour de son existence à jamais. Au départ, leurs dialogues ne furent remplis que de silences et de regards amers, promettant peur et désespoir par leurs histoires passées respectives. Au fil du temps ils apprirent à se connaître non pas omme tout le monde. Leur histoire était bien différente.

Sylia, la belle muse et Lorenzo le sadique de premier classe finissèrent ensemble. Leur couple était non sans repi. Un couple animé ou l'on ne s'ennuyait jamais... Sexe et violence, cris et pleurs, amour et passion... Et oui ... Il en était amoureux de sa princesse. Il s'était fait à l'idée de vivre avec elle dans sa grande villa en Italie. Mais tout deux s'étaient quittés en de très mauvais termes.

Fin de la 7ème année à Poudlard, dernières vacances avant la fin des études, le jeune homme recevait Sylia chez elle. Tout avait si bien commençé.. Jusqu'a que Lorenzo commençe à délirer. Il avait cru a certaines rumeures comme quoi elle l'avait trompé. Sylia, innocente, le quitta dégoutée par ce manque de confiance. Elle partit définitivement et tout deux se croisèrent plus tar, Sylia fiancée bientôt mariée... Ce fut le coup fatal pour Lorenzo.

Ainsi, depuis cette époque, Lorenzo est dégouté par la gente féminine. Il ne l'a considère que comme de la merde et prend plaisir avec qu'en se servant des femmes comme des objets. Lui qui s'était calmé durant son couple, s'est vu empiré son comportement. Et cela ne faisait qu'empirer malheureusement.
Hedwige en était la première à souffrir de ses mains à Poudlard depuis ses études. Elle était à présent sa victime n°1, elle était dans son collimateur.

Lorenzo sentait qu'elle était mal à l'aise. Elle se sentait mal façe à lui. Il en était plus qu'heureux. Difficile de croire qu'un membre de l'Ordre était une aussi grosse peste. Ses coéquipiers ne le supportait guère. Dans ses pensées, Lorenzo ne s'attendait plus à une réponse de son interlocutrice. Il ne sursauta qu'insterieurement, et non exterieurement.

- Très bien les cours de philosophies, c'est pas à vous de les donner. C'est une spécialitée moldue. Vous n'avez qu'à intégrer une école moldue et vous pourriez ainsi exercer votre facultée à parler philosophie, moi cela ne m'interesse pas le moins du monde.

De plus, ce qu'elle venait de dire n'avait pas vraiment de sens. Du moins, pas avec ce qu'il venait de dire. A cette fille, il lui manquait vraiment une case. Fallait qu'elle se soigne et vite. Par ou Sainte Mangouste ? Cas urgent !
Il éclata de rire lorsque la demoiselle dit qu'il était plus intéréssant de trainer dans les couloirs plutôt que d'aller en cour.

- Dans ces cas là, autant quitter dessuite Poudlard et effacer vos années d'études antérieures. Je doute que vous n'ayez appris beaucoup de chose si telle est votre façon de voir !

Oh bah non ! Lorenzo commençait juste à s'amuser ! Il ne fallait pas qu'elle parte la bougre ! Avec qui allait-il passer ses nerfs ?? Quel interet .. Quel pitiée avait-il d'elle. Il se foutait completement des études et du reste. Ce qu'il voulait ?? L'emmerder. C'était un peu .. la relation Potter-Rogue. Ouep sauf que lui, il en ferait de même avec tout les autres élèves.

L'homme remarqua un changement dans le regard de l'élève lorsque celui-ci se présenta. Une fois de plus, son nom faisait effet ! Et ouais... Christensen le grand. Mais quelle prétention !!

- Je suis professeur de Vol ! Evidemment.

Dit-il avec une touche de fièrtée. Il était bon sur un balai et il le savait. Il n'attendait pas pour s'en venter le bougre ! Quant à faire.. Au lieu de s'en venter pour une seule chose, autant le faire pour toi ! L'homme ne faisait pas les choses à moitié.
Histoire de montrer son impatience vis à vis du temps de réaction de la jeune femme, il tapota du pied par terre. Il attendait à se faire éloger avec des Ohhhhh et puis des Ahhhhh.

Hj :

Dj : Hedwige devait avouer que par moment, elle se sentait visée en particulier par l'ironie et les sarcasmes de son futu.. professeur.
Si ses cours étaient ainsi sans cesse, elle risquait de ne pas s'ennuyer... Mais a moins, elle aura certainement d'autres choses en tête que son habituelle rangaine. Elle aura quelque chose d'autre sur laquelle se concentrer, et ce dot sans doute les autres jugeront aussi.

Car visiblement, il devait préparer ce numéro à quiconque il croisera. Au départ, elle ne s'était pas attedue à une telle offensive de sa part, se contentant de répondre à ses questions sans plus. Mais il commençait sérieusement à s'immiser dans sa vie privée, et avait aussi une facheuse tendance à pointer du doigt les défauts d'autrui en en faisant une arme.
Hedwige n'était pas énervée ni agacée, non, il en fallait bien plus, beaucoup plus et puis elle avait apprit à endosser de telles critiques de la part des autres.

Il sebmalun peu piqué de a remarque, soit parce qu'il n'en avait pas très bien compris le sens et voulait le dissimuler, soit simplement pour la rambarrer et lui couper toute retraite derrière ses combines pour e protéger de ses offenses.
Rien de tel que la défence..
Ceci la laissa vulnérable un instant, elle fut tentée dene rien répondre.
Elle était juste plutôt.. ennuyée que ce soit tombé sur elle en particulier. Ell devait certainement être la première élève qu'il croisait, encore elle pouvait considérer qu'il séchauffait seulement donc elle ne se plaignait pas trop.
Voyant qu'elle ne semblait pas se défendre, mis à part ses phrases mystérieuses, il s'en donnait à coeur joie, la méprisant comme il semblat mépriser les femmes-gamines-blondes-et-timides-de-surcroît.

- J'aurais été ravie d'y faire mes pas mais le destin en a décidé autrement.

Oui, c'est vrai quoi, si ele n'était pas sorcière rien de tout cela ne serait arrivé. Voldemort, honteux, l'aurait tuée tout court ou l'aurait abandonné volontairement, point barre et elle aurait coulé des jours paisibles si ce n'est le tracas de n'avoir de éritables parents.

Encore heureux qu'elle ne soit ni à Poufsouffle, ni à Serpentard, même si Gryffondor était l'objet de moquerie de la part de ces derniers.Elle n'était pas vraiment blonde, enfin blond était sans doute la couleur auquel on pouvait lui associer vu sa blancheur nette et précise et certains s'amusaient même à dire que plus c'était clair, plus elles étaient stupides.

Certe, Hedwige ne niait pas se montrer parfois très naïve. Faible dans ses sentiment très sensible, elle est prête à foncer tête baissée por les autres en dépit de ce que les autres leur fait souffrir. Certe, elle n'avait pas eut l'occasio d'étudier véritablement pendant ses quatre premières années ici, en dépit des livres qu'elle avait étudiée pour demeurer dans le rythme.

Bref, sans doute un élement, une victime de choix pour des homes comme lui. Elle ne s'en formalisa pas. Elle avait l'habitude qu'on la prenne pour une idiote trop émotive et doublée d'une entité psychopathe cannibale

Elle ne se montrait pas très tendre avec elle-même non plus. Donc elle avait l'habitude, de ce côté là, puisqu'elle s'était déjà critiquée. Le principe de l'auto-discussion, sans aucun doute. Oui Hedwige était schizophrène, elle ne pouvait et ne voulait le nier. La fatalité, peut-être.

On aurait pu peser qu'au contraire, avec les épreuves qu'elle avait traversée, elle aurait du perdre ce côté tendre pour ne garder que le dur, tel les rochers de bords de mer qui finissent machoires, ents prête à mordre à force de temps et d'érosion.
Mais le procédé fut inversé dans son cas. Ce fut les parties dures qui, petit à petit, sont partie pour ne laisser bientot que les parties molles. Chacun ses faiblesses.

L'amour... Hedwige l'avait connu. Et le connaissait toujours, hélàs. Ses seuls véritables sentiments qui ont ét dédié au pire ennemi de son père... Harry Potter... Rien que cela... Et qui plus est, cet amour n'était en aucun cas rendu. Quoi de plus dur qu'aimer un coeur, qui lui aime ailleurs... ?
Souvent, elle se demandait ce que cette Marie-Louise avait de plus qu'elle.
Et d'autres fois, au contraire, elle se dévalorisait. Fânait tout ce quipouvait être eau en lle, pour ne laisser que les défaut et se fixer d'un oeil critique, se disant qu'Harry avait raison et qu'ele avait été une belle idiote d'avoir un jour pu croire à cet amour...

Aujourd'hui, elle ne pensait pas. Elle subissait. Elle se disait que, finalement, c'était la fatalié. Une Jedusor n'était pas faite pour aimer.
Elle revint à la réalité lorsqu'il parla de ses études précedentes. Gloups.

Déjà, il avait franchit un pas sans le savoir dans l'étendue de ses secrets. Un signal d'alerte sonna mentalement dans sa tête. Elle cherchaaussitôt à l'e repousser, profitant par la même occasion de réctifier ses propos qui avaient sans doute été déforés, trop vaguement dit :

- Je parlais de ceux qui feignantisaient en cours. Mieux vaut être attentif lors des études et traîner plus tard plutôt que l'ivnerse.

Ce fut sa première phrase très terre à terre et si directeme,t prononcée sur un sujet, sans artifices ni déguisements.
Ce qu'elle réalisa très vite et aussitôt elle reprit son air impassible.
S'il comrpenait qu'il était parveu à la déstabiliser, elle ne pourra plus 'en débarasser.
Ses années antérieures, la seule année d'études véritablement passée à Poudlard fut l'année dernière, avec le meurtre de Calypso, la trahion de Harry et sa rencontre avec Voldemort. Autant dire qu'elle fut assez perturbée, sans cotper qu'elle avait u encaisser le regard des autres.
Cette année, elle l'espérait, serait eut-être plus calme.

Mais ce professeur arrivait et venait chambouler tout ses plans. Non, avec lui, rien ne sera calme. Pas uniquement à cause du fait qu'il sit promptement insuppotable, mais surtout à sa manie de, mine de rien, s'approcher des zones rouges, interdites, délicates, sensibles.
Elle pu remarquer par la suite que, dés qu'on semblait s'interesser un minimum sur lui, aussitôt il gonflait ses poumons, ombait le torse et annoncait sa nature avec une fierté non dissimulée. Un peu sidérée, elle ne dit rien aux premiers abords. Avec sn pieds qui tapotait le sol avec impatiece, on croirait même qu'il attendait des éloges de sa part.
Et bah il pouvait toujours courir; ou plutôt voler

Tout ce qui émergea des lèvres scellée d'Hedwige fut un vague :

- Hmmm, hmmm...

Avec un air faussement interessé et passionné. Elle n'avait pas vraiment besoin de cours pour savoir voler. Mais elle le suivait malgré toutavec autant d'acharnement que les autres, bien qu'elle privilégiait les matièresnécessaire pour être aurore.
Aurore... Un rêve lointain et innacessible.

Lorenzo ne cachait pas le moin du monde qu'il visait ouvertement cette jeune femme. Pour quoi faire ?? Autant dire tout haut ce que les autres pensent tout bas ! Certainement que Christensen disait à cette blonde ce que d'autres personnes devaient penser sans oser narrer. Il n'avait pas que de la gueule lui. Au lieu de se taire et de se résigner à ne rien dire, il préférait âgir, peu importe si cela pouvait blesser ou non. C'était éternellement le cadet de ses soucis.

L'élève devait voir clair dans son jeu, c'était sûre. Mais cela le faisait rire plus qu'autre chose. Savoir une élève nuisible qui se laissait faire soit par lassitude, soit par crainte était plus qu'interessant. Lorenzo tousseta légèrement. Il avait envie de rire mais d'une force surprenante. Il se retint, histoire de ne pas montrer directement de quoi il était capable.

Lorenzo fixa de nouveau la jeune femme sans ciller une seule fois, de manière infroissable. En temps normal, cela pouvait faire froid dans le dos. Cependant, la demi femme se livrait toute seule. Par ses faits et expressions il était plus que facil de comprendre qu'elle n'avait pas une vie facile et qu'elle n'en aurrait jamais une. C'était une fille parfaitement nuisible et qui pouvait manifestement se faire facilement manipuler.

Ce n'était que des préjugés établis par Lorenzo. Peut-être n'y était-il pas. Mais cette idée lui semblait pausible et en était satisfait. Il se résigna à aller chercher plus loin. Pourquoi aller chercher plus loins lorsqu'on à ce qu'il faut devant nous ? Donnons l'exemple de cette fille. Pourquoi aller embeter plus loins alors que nous avons la perfecte victime devant nous ?

- Vous êtes trop naïve miss. De toute manière vous aurriez était incapable de suivre un cour dans une école moldue. Je suppose que cela est deja assez dur ici pour vous ! Et vous ne faites aucun effort pour vous améliorer.

Rabaisser... Ca aussi il connaissait ! Mais quelle pouritture. Plus mesquaint que lui était difficile à trouver. Lorenzo était LA perle rare en ces domaines. Mais une perle empoisonnée. S'il vous trouve, il ne vous lâchera plus. On va jusqu'à se demander pourquoi a-t-il été promulgué professeur, lui un véritable monstre au sens figuré. Pour ses talents en vol bien évidemment. Mais un bon professeur se présente également à l'écoute et non un rabaisseur de première. Fallait demander à la directrice. C'est elle qui lui avait offert ce poste ma foie. Elle n'avait plus toute sa tête ou devait être bourrée à ce moment. Curieux de savoir, il irait lui demander.

Lorenzo voyait la jeune femme sensibilisée par ses propos. Une tierse personne serait venue à l'empathie. Lui au contraire, préfère enfoncer les dents dans la plaie. L'élève conserva son regard de celui de l'homme. Hayden leva les deux sourcils furtivement histoire de.. provoquer ! Où voulait-il en venir ? Jusqu'où irai-t-il ? Il ne faisait qu'un échauffement là. Ses limites étaient belles et bien loingtaines, malheureusement pour elle et ses compagnons.

Lorenzo eû une nouvelle idée. Une idée mesquine. Une idée pathétique certes. Mais il aimait de plus en plus embrouiller l'espriit de cette jeune fille. C'était pire qu'un homme au lit. S'il pouvait jouïr ouvertement de ses faits et gestes, il le ferait sans problème !! Lorenzo lança sa tête en arrière effet Sorcéal, marque de shamppoing des Bizar's Sisters avant de dire

- Mais au fait. Mademoiselle gambade seule. Serait-elle dépourvue d'amis ? La gryffondor serait-elle rejetée par les autres élèves de toute maison ? Je vous plaint ma chère. Vous me rappelez vaguement... un certain... Comment s'appel-t-il deja ? Le sorcier soit disant le plus important ?

Lorenzo fit semblant de réfléchir. Evidemment qu'il savait de qui il parlait. Il parlait tout simplement de Potter ! Rah cette foutue notoriété qui tournait autour de cet homme était plus qu'énervante ! Être connu pour une cicatrice. Pathétique... Hallucinant ! Que Dumbledore, Flanel ou encore Voldemort soient connus, il le conçevait facilement. Mais Potter... Celà le debectait profondement non d'un hyppogriffe !!! Il fit une grimaçe tout en prononçant dialectiquement

Ah oui.. POTTER ! Ce grand Potter. L'important Potter. Le célèbre Potter ! Je ne me trompe pas ?

A la citation de ce nom, il ne loupa bien évidemment pas les rougissements de la gryffondor. Il éclata de rire. Il avait tout de suite comprit la situation. La demoiselle était amoureuse de Potter ! Une de plus.. Il avait dejà entenu parler de Ginny Weasley quelques temps auparavant au 12 squard Grimmaud. Mais qu'avaient-elles toutes ? Peut-être bien que Lorenzo devait s'y mettre aussi ! C'était une nouvelle mode. Pathétiquement pathétique !! Mais qu'avait-il de particulier ? RIEN ! C'était un binoclard, brun, grand, frêle, moche .. Il n'avait que sa célébritée.

Lorenzo hocha de la tête négativement à ses pensées mais également par ce que venait de dire son interlocutrice. Il était offusqué d'entendre des mots inventés ! Et bien... La langue manquait aux cours... Les élèves ne savent plus quoi inventer comme mots ...

Haaa ! Je ne connaissais pas le terme "fégniantiser" ! Je devrai le noter. C'est pitoyable. Vous êtes pitoyables ! Apprenez à parler, après vous pourrez peut-être oser me répondre de la sorte et juger ainsi les situations miss.

Hayden utilisait son autorité pour se moquer. Cependant, cette plaisanterie, il l'aimait bien ! Il allait la développer. Fière, il se frotta les mains et esquissa encore une fois un sourire. Ces sourires pouraient s'avérer sexy dans d'autres circonstances. Mais là, ils étaient à glaçer le sang pensait-il.

Je doute que vous n'ayez eu une bonne éducation ! Votre père devait être trop occupé à s'occuper à quelque chose de bien plus interessant que vous, et votre mère devait certainement blaguer avec le voisin !

Bien entenu, il ne connaissait rien à la vie de la gryffondor. Il ne savait pas ou il mettait les pieds. Peut-être pouvait-il les poser sur un caillou, en plein dans le mile. Il n'en savait rien ! Et cela était fort exitant à ses yeux. L'inconnu.. L'approcher ! Ahh .. Quel moment plaisant. Il fut tiré de ses prétencieuses pensées par l'énonciation des "hum hum" de l'élève. Il l'a regarda de travers du style à dire, "vous, dès que je vous ai dans mon corps. Cachez vous !"

Et bien et bien ... Hum hum .. De nouveaux mots à rajouter à votre vocabulaire limité. Quel effort.. Je pense que d'ici quelques années, pour pourrez peut-être entretenir un dictionnaire. Mais je doute qu'avec vos quelques mots insignifiants, nous puissions vous comprendre !

Lorenzo était impitoyable et s'acharnait sur le sort de l'élève gryffondor. A croire qu'il passait tout ses nerfs qu'il possédait en lui depuis la fin de son histoire trois ans auparavant, depuis qu'il avait à ses yeux perdu la vie. C'était ainsi qu'il considérait la vie. Il n'avait donc plus rien à perdre. Autant profiter !

L'acharnement dont faisait preuve le professeur était désormais parfaitement discernable, et la laissait sans voix. Il nesemblait avoir aucune limite, aucune pitié et ne semblai vénerer que son égo. Pendant un instant elle se demanda ien comment pouvait-il exister pareil professeur. Mais aprés tout, Kyarah plongeait dans la débauche la plus totale ces temps-ci. Un crétin de plus ou de moins à Poudlard, qu'importe ?

Mais lorsque cela touchait les élèves, Hedwige trouvait cela fort exageré. Elle se demanda si le comportement de cet homme aurait différé, face à un autre élève. Ou même face à un jeune homme. Sans doute aurait-il été plus clément avec un garçon. Il semblait avoir une haine vicérale des femmes, et elle se demanda interieurement pourquoi. Avait-il eut des débus difficiles, enfants ? Avec sa mère ? Une épouse infidèle, ou autre ?
Ou bien il avait toujours été ainsi, un peu comme Voldemort.

Elle s'efforçait surtout d'ecaisser tout les coups qu'il lui portait verbalement. Elle était trop fière pour fuir, pour tourner les talons. Elle ne pouvait pas se défendre véritablement car il était professeur.
Hm, c'était un cercle vicieux qui se refermait sur elle.
Elle demeurait toujours aussi impassible, et il semblait tout faire pour briser cette notoriété par le pouvoir des mots. Oui, les mots peuvent aire mal, bien plus mal que les gestes...

Habituellement, Hedwige aurai très mal prit toute ces paroles, et aurait sans nulle doute déprimé pour plusieurs mois. Elle se rasurait comme elle pouvait en se disant que cet homme était ainsi, cruel et sarcastique. Forcement, il a fallut que cela tombe sur elle, mais aprés tout, c'était.. La "fatalité".

Elle eut un petit rire à sa reflexion sur son niveau scolaire. Un rire amusé,presque sarcastique à son tour. Coment pouvait-il la juger à ce niveau, il ne l'avait jamas vu à l'oeuvre. C'était à son tour d'être pathétique. Jusqu là, Hedwige parvenait à rester droite et contre-attaqua à son tour :

- Parce que vous êtes suffisament bien placé pour le savoir, je suppose.

Elle ne parlait jamais avec franchise, utilisant diverses combines pour frôler le sujet sans y plonger véritablement.
Ce ne fu que lorsqu'il se mit à l'attaquer sur le plan social que là, elle se sentit mal.
Loin de s'arrêter là, il plongea en plein dans son coeur, appuyant là où ça faisit mal. Elle ne pu retenir une expression interdite, les yeux ambres légèrement écarquillés. Jusque là, il ignorait tout d'elle, mais cela cmmencait à devenir sérieux et s'il apprennait quoique ce soit, il s'en servirait comme une arme.

Son but était évident; rabaisser le plus de gens possible pour sans doute se sentir mieux dans sa peau. e hisser au plus haut grade avec prétention.
Mais elle resta curieuseent lointaine. Elle sentait son coeur se serrer douloureusement. Seule, rejetée par les autres élèves de toute maison, Harry.
Elle entendit ces mots se répecuter longuement en elle, la désarmant derechef. Pour avoir mit das le mile, il l'avait fait.
Elle s'efforçait de lui faire croire le contraire, même si ce n'était pas facile, elle devait encore se relever, lever la tête et mentir. ça va..

Marcher, ou mourir.
Son regard ambré fut aimé d'une lueur de défi. Encore son comportement décalé, paraître offensée alors qu'elle était heurtée au plus profond d'elle-même. Mais, bien évidemment, elle ne su retenir les couleurs ui apparurent sur ses joues, contrastant fortement avec la pâler de son teint.
Elle parvint à se ressaisir, non sans peine, en essayant de penser à quelque chose de bien désesperant. Kevin. Oui, c'éait bien désesperant ceci... Non, c'était trop profond, elle devait dévier sinon ele risquait de craquer.

Elle fouilla alors au fond d'elle-même se réfugiant dans son univers. Et, bien évidemmet, elle glissa sa main à son cou et serra son médaillon. Fort.
Ce gese lui donna force et courae. Maintenant, elle pouvait continuer. Penser à son ange, à l'espoir, oui, oui, et puis un jour il reviendra la chercher, déployera ses ailes et effacera toute ses peines d'un simple geste...
Elle émergea donc de son abri, d'abord timidement, puis franchement, refaisant face à cet homme, son regard planté dans le sien. Lentement, elle relâcha son médaillon et se tint droite.
Puis, elle lui renvoya la balle.

- Mieux vaut être seule, que mal accompagnée.

Elle avait failit ployer, elle avait sentit ses forces lui échapper mais pr chance elle était parvenue à se redresser, grâce à son souvenir. Et puis, il y avait aussi cette plume d'un blanc nacré, mêlée avec le pendentif, qui de sa douceur parvenait à la guérir d'un simple frôlement.

Elle respira. Elleétait de nouveau d'attaque. Elleétait assez fière 'elle, ele était parvenue à se surmonter.
Elle crut naïvement que la partie était fnie.
Grave erreur.
Infatiguable, inépuisable, il réattaqua avec plus de férocité encore, mordant à tout va , à l'aveuglette, et pourtant certaines zones qu'l atteignit avaient leur sensibilité elles-aussi.
Jusque là, il reprit un de ses mots pour alimenter son blablatage. Rien de bien méchant, et elle se permit même d'ajouteravec une fausse voix douce :

- Il y a sans cesse des mots nouveaux dans notre langue. Si nous ne créons pas, elle resterait très limitée.

*Tout comme votre mentalité* se permit-elle d'ajouter mentalement avec un petit sourire amusé.

Bah, c'était de bonne guerre,depuis le temps qu'il la harcelait. Elle fu tentée de regader sa montre d'un geste fort impoli, jusqu'à se souvenir qu'elle n'en avait pas.

Elle abandonna à regret cette séduisante idée pour se reconcentrer sur ses attaques, histoire qu'elle s'ymettent également à y dénicher ses failles. La meilleure défense, à ce stade,restait l'attaque.

Pourtant, la suite de mots qui s'en suivit fut certainement le coup le plus violent qu'elle ait eut à encaisser. Le souffle coupé devant autant de.. elle ne pouvait pas même définir son attitude, elle était trop préoccupée à se ressasser ce qu'il venait de dire au sujet de son père, de sa mère.

Elle eut envie de lui hurler dessus, du genre que son père était trop occupé à tuer des innocents et partir dans son délire pour se renseigner avantage sur son existence. De lui crier que sa mère, elle, était morte à la naissance. Et que ceux qui s'étaient chargés de son éducation furent tués par les mangemorts, lors d'un crack.
Bien entendue, cette envie soudaine était née de cette pulsion qui la fit se crisper le poing, une pulsion de haine qu'elle avait rarment ressentie jusqu'alors. De la haine, mais aussi du désespoir, de la rage.
Et, bien entendue, elle ne hurla pas. Elle demeura silencieuse, un momnt. Ne pensant même pas encore à répondre.
Elle pensait tout d'accord à 'impact que ça venait d'avoir sur elle. Elle chrcha e soutien de son ange, mentalement. Elle n'en eut ps la force, sur c coup-ci.

Mais elle ne devait pas baisser les bras. Sans le sotien de son ange,elle se força à ixer l'homme avec toute la colère accumulée que possible dans son regard. Aïe. Se montrer furieuse n'arrangerai pas les choses. Ele tenta de récifier son tiir repri avec dégoût son impassibilité. Mais le Mal était fait. Si elle n'aurait pas semblée réagr, il aurait laissé tomber cette histoire. Mais maintenant, il allait s'y interesser en partculier...

Elle ne prêta même pas attention à ses paroles sur son impression au sujet de sa profession. Elle cherchait à englober le tout, en géneral, lui faire une remarque bien acidulée afin qu'il en garde le goût piquant dans la bouche.

- Si ma vie vous intéresse tant, vous n'aviez qu'à fouiner dans mon dossier.

Bien évidemment, elle savait qu'il ne s'en préoccupait de comme sa première chaussette, et surtout qu'elle n'avait quasimment rien sur son dossier xD mais elle n'avait pas pu s'empêcher de l'envoyer bouler.

Elle chercha quelque peu à se ratrapper malgré elle. Hm. Il disait donc ne pas appréiier le ton qu'elle avait employé, ou plutôt le peu d'intérêt qu'elle lui avait accordé.

Elle aurait aimé lui dire qu'elle ne voyait pas pourquoi elle s'extasierait devant sa profession alors qu'il ne la méritait pas. Mais elle n'en toucha mot. Encore le principe du dialogue avec elle-même. Elle conserva donc les ondes de la bombe en elle, n'en laissant passer que quelques bouffées parfois.

Mais à force de trop-plein, l'ensemble finirait un our par exploser. C'était ça, le risque, de tout garder pour soi

¤Au moins, si on ne pourra me comprendre on ne viendra pas me casser les pieds comme vous le faites¤ songea-t-elle avec rancune.

Oui, elle commencait à avoir des pensées vengeresques , voir même meurtrières envers son professeur. Oh, bie sûr, pour le moment c'était très léger. Mais au fil de l'année, tout allait s'intensifier. Et chez elle, c'était très mauvais signe. Il fallait réellement la pousser à but pour qu'elle finisse par fantasmer sur le professeur, pendu a bout d'une corde.

Lorenzo savait parfaitement que l'acharnement dont-il faisait preuve était excessivement remarquable ! Pourtant, il ne faisait pas d'effort. Il ne faisait juste que dire quelques phrases... Blessantes à vu d'oeil. Il était sans scrupule et sans remord. Si on ne le connaissait pas, on aurrai pu le prendre pour un ancien serpentard devenu mangemort. Et bien non, c'était un ancien serdaigle devenu membre de l'Ordre du Phoenix. Qui l'aurrait cru ? Personne certainement... Il était peut-être avide, sans coeur, mais il était fort et redoutable.

A travers le regard de la jeune fille, Lorenzo se doutait que cette dernière devait se dire que c'était un crétin de première, un égocentrique ! Egocentrique ? Fort probable ! Mais un crétin, facile à comprendre qu'elle ne savait pas à qui elle s'attaquait et que si elle osait rébequer oralement façe à lui, elle en prendrait fort cher. Lorenzo s'énervait facilement et plus colérique que lui n'existait pas ou peu. Du moins, il n'en avait jamais rencontré. Mais ce n'était pas une petite élève encore tracée par le ministère de la magie qui allait lui faire peur !

Lorenzo se doutait également la force que devait faire preuve l'élève à rester impassible façe à ses propos. Elle se croyait hors d'atteinte et assez forte, mais son regard la trahissait. Elle le craignait. Elle craignait son professeur. Au fond d'un regard imperturbable la peur transpirait. Il le savait. Il en était sûr. Le professeur s'en mordit la lêvre.

Lorenzo s'immobilisa lorsque la jeune femme rigola. Ca, elle allait le payer cher. Ce n'était pas son point faible la provocation des autres. L'élève ne pourrait donc pas s'y préter. Cependant, il ne supportait pas qu'une élève lui rigole à la figure. Quelque chose à ne pas faire si on tiens a sa vie. Lorenzo n'était pas un tueur ! Mais dans une vie interieur, il avait dû l'être et il en restait des molécules dans son sang pur d'aujourd'hui. Il s'approcha dangeuresement de la jeune femme. Il n'était qu'à peine plus grand qu'elle mais fort impressionant avec son regard. Il se retint de lui attraper la main. Il n'était pas fou à risquer son poste avant même d'avoir commençé !

- Comment osez-vous montrer resistante envers votre professeur ? Votre superieur hiérarchique miss ? Vous supposez mal de plus ! Vous croyez que je suis ici à l'aveuglette ? Changez immédiatement de ton avec moi où vous aurrez à faire à moi !

A faire à lui ? C'était dejà le cas certes, mais pas comme il en serait capable si elle ne se calmait pas tout de suite. Son regard était de plus en plus noir et glaçant. On pouvait remarquer une veine palper au creu de ja joue gauche. S'il n'était pas façe à une élèves mais à un mangemort lors d'une mission, il aurrait dessuite sorti sa baguette pour le provoquer en un duel.

Lorenzo comprit qu'il avait toûché un poin sensible ! Touché coulé ! Cela remit en lui une touche de fiertée. Celà n'était que le début pourtant. Il l'a regarda toujours impassablement tout en remarquant qu'elle avait du mal à lui tenir tête. Quelque chose la rongeait en elle.. Le passé certainement, la douleur qu'elle essayait de déguiser en de la haine. Elle manquait d'experience dans ce domaine et Lorenzo n'était pas sûre qu'elle s'en rendait compte.

De plus, le professeur remarqua les rougeurs de l'élève façe à l'appélation d'Harry Potter ! Qu'il était fort. Il avait donc vu juste ! Il avait envie d'être méchant encore et encore. De la blesser profondémment pour lui faire comprendre qu'elle n'était rien et qu'elle n'existait pas. De lui faire mal moralement !

- Le grand Harry Potter a mieux à faire que de sortir avec une empottée comme vous ! Non d'une gargouille ! De plus il y a bien plus potable que vous ! Regardez vous, on direz que vous sortez d'un cercueil !

Lorenzo était impardonable. Trop méchant. Il ouvrit sa poche et y prit un chocogrenouille qu'il mit dans sa bouche avant que le chocolat ne s'enfuit ! C'est que ça coutait cher ces bonbons chez Honeydukes ! Il regarda la carte et y vit Dumbledore

* Tiens ils ne l'ont toujours enlevé depuis sa mort lui ? *

Il regarda longuement la carte et le sourire que pouvait apporter l'ancien directeur de l'école décédé. Il l'a posa délicatement dans sa veste. Il était trop maniac et ne faisait pas de gestes brusques. Sa tête se releva lorsque la demoiselle parla de nouveau. Il l'a regarda longuement avant de s'exclafer de rire !

- La mauvaise accompagnatrice c'est vous ! Vous êtes monstrueuse ! Si j'étais le choipeau magic, je vous aurrez attribué à la maison des Serpentard ! A Gryffondor, vous devez certainement rendre tout le monde mal à l'aise ! Evitez de dire que se sont les autres qui sont mauvais accompagnateurs. C'est vous et vous seule !

Tout en disant cela, il effectua un claquement de doigt sur le front de la demoiselle. Il était toujours proche d'elle et ne dédaigna pas l'envie de reculer. Le regard de la jeune femme montrait à première vue une lueure de défis. Cependant, en était-il de même à l'interieur d'elle même ? Lorenzo n'en était pas sûre, voir quasi certain que ce n'étais pas le cas.

Le jeune professeur remarqua cependant en elle un moment d'absence, de faiblesse.. Il lui faisait mal. Il en était conscient ! Il était répugnant. Il le savait ! Il était infatigable et n'arretez pas la partie alors qu'il était en tête de jeu ! Jamais de la vie... Jamais il n'avais baissé les bras. Et ça ne serai jamais le cas. C'était une trahison pour lui même, et c'était la chose qu'il haïssait le plus au monde. La trahison, comme elle l'avait trahie.
Il rétorqua façe aux propos de la femme

- Vous vous croyez interessante et apte à inventer de nouveau mot que tout le monde utilisera dans les années qui suivront ?! Moi je n'en suis pas si certain. Vous vous croyez trop importante et unique en votre genre. Vous êtes si faible pourtant et vous ne voulez pas l'admettre ! Il faudrait que dans votre petite tête de chouette, vous arrivez à implanter quelques petites choses existencielles. Parce que ce que vous venez de dire dépent de l'absurditée !

La comparaison avec la chouette n'était pas voulue ! Evidemment, Lorenzo ne savait pas que l'élève était en fait une chouette du nom de Hedwige. Cela ne tournait qu'autour des coïncidances et au hasard ! Lorenzo se montrait de plus en plus autoritaire. Lorenzo sentait qu'il venait d'enfoncer un couteau dans le ventre de l'élève lorsque celui-ci parla de ses parents. Alors il en déduisa qu'elle n'avait peut-être plus de parents ou alors que ce qu'il disait était réellement la vérité ! Elle n'arrivait pas à se métriser. La Blonde rougissait de haine.

- Voyons ! Apprenez donc à vous métrisez ! Celà fait peur et peine à voir ! Aurai-je dis quelque chose de frappant ? Faites moi en donc part que nous puissions avoir un sujet de discution fort interessant ! Bien que je doute personnellement que votre vie soit pationnante.

Une toûche de provocation traversait l'esprit de l'homme. Il était sans pitiée. Il jouait avec le feu. Il n'avait aucune peur, aucune honte, aucun scrupule. Quel bonheur ! Il se massa le cou pour montrer une certaine décontraction avant de dire

- Quel honneur ! Cenpendant, il en serait fort inutil de perdre du temps dans vos dossiers scolaires d'autant plus que d'une part je n'en tirerai aucun profit et d'autre part, il suffit de lire votre visage pour comprendre et connaître votre vie ! Ce que je suis en train de faire ..

La jeune femme semblait avoir une envie de meurtre. Et bien qu'elle essaye ! Mais une élève comme elle n'aurrait pas la force de tuer un sorcier comme Lorenzo. Déjà, elle y prendrait cher ! Ensuite, Lorenzo était formé contre les attaques surprises. Il était membre de l'Ordre non ? Il fallait y posséder une bonne experience en sorcellerie ! Presque aussi importante que celle d'un auror. Lorenzo aurrait pu en être un d'ailleurs. Attention, Lorenzo n'était pas le bruce tout puissant ! Il était juste rapide et doué. Juste .. Mais ses qualités suffisait et elles étaient fortes utiles au combat.

Hedwige sentit les choses se gatter lorsque le professeur, fort appréciateur de son petit rire, se rapprocha dangereusement d'elle. Si elle avait une crainte, c'était bien qu'il découvre quoique ce soit, ou même qu'il la touche là où cela faisait vraiment mal. Elle n'avait pas vrament peur de lui lorsqu'il se retrouva dangereusement proche, même s'il était bien plus grand qu'elle.
Ce qui renforçait l'impression qu'il la regardait de haut, la voyait comme ne petite chose insignifiante qui ne méritait même pas la peine de vivre.
Redressant la tête, elle le fixa avec fermeté, même avec sa petite taille, décidée à ne pas se laisse abattre.
L'année venait tout juste de commencer, ce n'était ni le moment ni l'idéal. Ce serait trop facile, et c'était ce qu'il voulait. Elle allat lui pouver le contraire.
Visiblement, elle avait eut raison de se montrer prudente au dépar, vu la manière dont son regard brillait d'ue lueur féroce avec son simple rire.
Il n'était pas à prendre avec des baguettes, en plus d'être ignoble, ce qui assombrissait davantage la tâche.
A sa sombre réplique, il contenait tant de fureur dans ses yeux qu'elle n'osa répondre. Estimant qui plus est avloir frôlé les limites... Les limites étaient fortes courtes, pour ce qu'il pouvait lui faire subir.
C'était les deux contraires, Hedwige avait une patience très élarie, mais celle du professeur était considérablement limitée.
Bien sûr, cette situation révelait de l'injustice. Un tel acharnement, et lorsqu'elle tentait de le repousser il semblait trouver ça saugrenu, voir tellement sidérant qu'il partait au quart de tour.
Mais aprés tout, dans la vie, rien n'était juste, et elle se contenta de lui rendre son regard de manière glaciale, polaire.

Ils n'étaient pas au point de lancer des éclair, du moins pour l'instant, mais étaient empli d'une forte contrariété. Elle devait bien dissmuler sa peine derrière quelque chose; la colère était le remède idéal.
La pire humilation serait de craquer, de pleurer devant lui. Cela aurait sigifié qu'il aurait gagné, et auait insisé lus encore. Tandis que si elle demeurait impassible, peut-être se lassera-t-il de ce petit jeu et la laissera tranquille ?

Son acharnement semblait sans limite, sans fin. Il faisait tout, vraiment tou pour la blesser, avec un sadisme cruel digne des mangemorts. Non, on, elle n'aurait jamais songé qu'il fasse partie de l'ordre du phénix, etencore moins qu'il ut un ancien serpentards. Il la critiquait au niveau de sn physique, au niveau de son passé, sa mentalité, son intelligence, ne laissant rien de côté.
Ce qui faisait le plus mal était le fait de savoir que tout ceci venait de son professeur. Un professeur, censé encourager et aider les autres. Pas quelqu'un qui se plait à enfoncer les élèves jusqu'à les pousser au suicide xD

Les couleurs sur ses joues ne voulaient plus partir. Mélange de honte, d'indigation, de colère. Il relça l'assaut sur Harry. La seule chose qui la soulagea fut qu'il ne citiqua pas Harry en lui-même. C'était le seul point positif. Il disait même qu'elle semblait sortir d'un cercueil. Elle réprima un rictus. Il ne savait pas à quel point il touchait la vérité... Oui, même les cadavres avaient plus de couleurs. Ou plutôt, elle était un cadavre. Quoi d'autre ? Un vampire ne vit pas. Il meurt sans pour utant l'être totalement. Même semi, Hedwige gardait ce macabre en elle.
Et puis... Il semblait avir deviné ses sentiments pour Harry. Disait qu'elle n'avait pas la moindre chanc avec lui... Qu'il méritait mieux qu'elle.
Elle n'avait pas besoin de lui pour le savoir, mais l'entendre de la bouche de quelqu'un d'autre lui enserra le coeur avec doueur. Un professeur - que ce soit l'égentrique de première ou pas - venait de se mêler de ses histoires personnelles en l'enfoncant bien plus qu'elle ne l'était déjà...

¤Le grand Harry Potter a mieux à faire que de sortir avec une empottée comme vous ! Non d'une gargouille ! De plus il y a bien plus potable que vous ! Regardez vous, on direz que vous sortez d'un cercueil !¤

Malgré elle, ses paroles lui faisaent mal... Et elle ne pouvait plus répliquer, il était trop proche, au bord des coups physiques cette fois.
Pourtant, en ayant assez, et se sentant dangereusement proche des larmes, elle les chassa direct en les faisant passer par la colère, enfreint la loi qu'elle s'était imposée et fit d'un ton acerbe :

- Charmant... Qu'est ce qui vous fait dire que je m'intresse à quiconque ici... si je vous déplais tant qe ça, vous n'êtes pas obligé de rester.

Ouuuuuuch, elle allait sûrement en pâtir pour avoir dit ça. Elle savait à peu pré où était les courtes limites de son onterlocuteur, et il se pouvait bien qu'elle les aie franchies, voir plus sous le coup de l'émotion.

Elle s'en fichait. Elle le fixait toujours d'un regard presque flamboyant, plus grand chose ne lui importait. Peut-être qu'elle aussi avait atteint ses limites. Peut-être qu'on ne pouvait faire pire, et donc elle était à son maximum.

En effet, il la jugea au niveau de son degré d'asociabilité, ce qui encore n'était pas trop dur à porter. Oui, elle préferait la solitude aux autres

*Forcement, avec des gens comme vous, je n'ai pas trop le moyen de faire autrement...* songea-t-elle avec rancune.

Oui, elle préferait la solitude parce qu'elle ne suportait pas ces regards, cesmots tout autres quo lui lançait. Seule, elle était enfin en paix... n paix, mais en lutte avec elle-même. Quel que soit la situation, elle s'épuisait à un combat long et inutile, elle qui pourtant n'aimait pas la guerre...
Les mots de cet homme pouvaient être moins difficiles s'ils ne seraient vrais. Mais hélàs, le pire était qu'ils avaient un fond de verité...

¤Vous êtes monstrueuse ! Si j'étais le choipeau magic, je vous aurrez attribué à la maison des Serpentard ! A Gryffondor, vous devez certainement rendre tout le monde mal à l'aise !¤

Aucuns doutes là-dessus. C'était une véritable violence verbale. Qui aurait eut les même effets que si on l'aurait batts à mort. Quelque chose d'insoutenable. Et comme pour illustrer cette violence, il porta ses doigts à son front sur lequel il les claqua légèrement. Enfin, légèrement... Sans doute légèrement pour lui. Indignée prenait une proportion démesurée. Elle porta la main à son front, ne sachant mêm pas comment réagir à un tel tout-permit.
Cela dépassait l'ententement humaine. Il n'y avait pire crime ue faire en sorte de retirr tout ce qui reste d'humanité à un être de leur espèce. Et il la traitait précisemment comme un bétail auquel on évaluait savaleur, ou plutôt, non, auquel on faisait une liste de défaut pour mieux l'envoyer à l'abattoir.
Monstre. Serpentard. Evageline, Voldemort... Depuis toujous elle était censée aller à serpentard, retardant sanscesse les années par crainte d'y atterir. L'année dernière, elle s'y était lancée sans réflechir, esperant que cela ferait moins mal. Mais résultat, elle finit à Gryffondor. Peut-être l'a-t-on jugée pour son coeur,pour ses actes et non pas pour son sang, ce qu'elle était... Mais bien vite ils découvrirent Evangeline. Cette autre, par contre, ne pouvait atterir qu'à serpentard... Ou même tout simplement à Askaban.
Elle était devenue un monstre... Elle avait tuée une élève... mais ce n'était pas elle qui avait tuée...C'était Eangeline... Et personne ne la croyait... Et ele, elle souffrait non seulement d'avoir tuée, mais aussi de payer pour les actes de quelqu'un d'autre...

- Certes, mais, heureusement pour moi, vous n'êtes pas le Choixpeau. singla-t-elle.

Elle pensait qu'ils avaient atteint le sommum.
Mais bien vite, elle se détrompa. Infatiguable, il continua avec cruauté. Il semblait avoir tout à fait comprit qu'Hedwige était quelqu'un desensible, rien à voir avec ces durs à cuir sur lesquels les mots glissaient sans les toucher. Non, non, tout les mots entraient bien en Hedwige, se gravaient dans son coeur à l'encre de l'éternité, et elle allait devoir les porter longtemps, ces mots... Ces mots durs, ces mots sales, ces mots douloureux.

Chouette. Elle avait eut un moment d'absence, mais tilta à cette mention. Essaya de ratrapper la phrase, le coer battant :

¤Il faudrait que dans votre petite tête de chouette, vous arrivez à implanter quelques petites choses existencielles. Parce que ce que vous venez de dire dépent de l'absurditée !¤

La panique qui avait engourdit son esprit et son corps à l'idée qu'il ait pu découvrir qu'elle était animagus s'estompa, le poids opressant sur son coeur aussi. Il ne disait ça que par comparaison... Du moins, elle l'espérait... Elle chercha à dériver vers des terres moins ardues. Elle arait voulut lui répliquer que c'était lui qui se croyait intéressant, mais encore une fois elle ne pouvaitparler directement. Il abusait de son pouvoir professeur/élève pour l'humilier.

- ... Les véritables imbéciles sont ceux qui ne font rien pour avancer. On a beau être savant, si on demeure assit, on n'ira jamais aussi loin d'un idiot qui marche.

Elle serra imperceptiblement les poings. Il revint sur le sujet de sa famille.

*Allezvous faire f...* cracha-t-elle rageusement dans son esprit.

Elle n'allait certainement pas alimenter son arc de flèche ur mieux se faire taper dessus, non, alors là il pouvait toujours courir.
La haine déferlait dans seveines, incontrôlable, ne la différenciant gière à ce moment d'Evangeline. Cependant, elle sembla le remrquer, et refusait d'entrer dans son jeu. Elle préfera dire avec une fausse finesse, se ravisant :

- Je pensais que ma vie ne vous intéressait pas le moins du monde.

Ilsemla refuser de prendre la peine de se salir les doigtà éplucher son dossier, affirmant qu'il pouvait tout lire d'elle rien qu'à son visage. De nouveau, elle eut un petit sourire sarcastique.

- Apprennez, monsieur, qu'il ne faut jamais... Se fier aux apparences.

[HJ: ça va tu tiens le coup ?? XD]

Lorenzo se savait impardonable, un monstre. Mais celà faisait monter en lui une tige d'exitation. N'avait-il donc pas de point faible ? Evidemment que si ! Sa bien aimée Sylia. Enfin.. Son ancienne bien aimée.. Seulement, quiconque approchait ce sujet allait en pâtir jusqu'à la fin de ses jours. Si Lorenzo n'avait pas souffert du manque de son amour, il n'aurrait plus jamais ce qu'il était avant l'amour et ce qu'il est aujourd'hui. Jamais tout cela ne serait arrivé sans cette trahison. Il se demandait même comment avait-il fait pour y survivre. Lui qui l'aimait. Et qui l'aime toujours. Il donnerait son âme a Voldemort pour pouvoir la retrouver neceraisse une journée dans ses bras, sentant ses lêvres contre les siennes... Sentir leurs coeurs bâttrent à l'unisson.

Au lieu de cela, Lorenzo se procclamait pire professeur de l'année. Non pas par ses compétences qui n'étaient pas à remettre en question, mais par sa mechancetée gratuite et ignoble. Il n'avait plus de coeur. Il lui avait été arraché, il n'avait vraiment plus rien à perdre... A quoi bon perdre son temps à être gentil ? On fini toujours par être trahi... Lorenzo se savait en posture hiérarchique supèrieure, il sautait donc sur l'occasion pour mettre les points sur les "i". Celà pouvait faire preuve de lâchetée. Seulement voilà.. Il était également de la sorte avec les personnes du même âge, du même statut voir même avec des personnes superieurs à lui.

L'homme paraissait contrarié jusqu'au plus haut point. Il savait très bien qu'il blessait la jeune élève et que celle-ci n'en sortirait pas indemne quoi qu'il puisse arriver. Celui-ci ne s'en préoccupait pas. Il préférait son bonheur à ceux des autres.. Mais à quel prix ? Il était un professeur. Pourquoi l'avaient-il embauché ? C'est certainement ce que devait penser la jeune élève présente devant lui. Une fois encore, la directrice l'avait choisi pour son talent et non autre chose.

Le professeur, toujours aussi proche d'elle se sentit engourdi par la râge au ventre, la puissante colère dont il pouvait disposer. C'était comme si l'élève venait de l'insulter. Telle était la manière dont-il le ressentait. Il se rapprocha encore plus d'elle. D'autres personnes ne les connaissant pas pouvaient facilement les prendre pour un couple d'amant. Lorenzo sortit sa baguette sans même que la blonde puisse le remarquer. Il était prèt à l'envoyer valser au moment ou un élève descendit des marches. Il rangea hâtivement sa baguette dans son pantalon et recula tout en faisant comprendre qu'elle ne s'en tirerait pas comme ça.

- Vous allez regretter vos mots croyez-moi ! Faites vous petite, le contraire vous empatirez de nombreux problèmes !

Lorenzo savait très bien ce qu'il disait à propos d'Harry Potter. Il allait donc la provoquer, l'énerver jusqu'à rage et peine, jusqu'à la faire craquer. Elle resistait, mais il voyait en elle un combat permettant d'empecher les larmes de coûler bien qu'elles montaient. Il allait appuyer sur la plaie de manière plus violente et plus directe. Elle allait en pâtir. Elle allait souffrire pour ses dires. De toute manière quoi qu'elle aurait dit, le resultat aurrait été le même. Peut-être moins violent..

- Vous vous trahissez vous même ! Vous êtes aussi faible que Potter. Lui et son incapacitée à apprendre l'occlumancie. Incapable à fermer son esprit à Voldemort.

Ceci, personne n'était censé le savoir. Lui le savait, il était de l'Ordre et savait tout à propos de Harry. Il en savait certainement plus que la demoiselle. D'ailleurs il n'était même pas sûre qu'elle devait savoir que Potter devait exercer l'occlumancie. Cependant, il remarqua que lorsque il prononça le nom de Voldemort, elle trésailli. Il n'en comprenait pas vraiment la raison. Les sorciers s'étaient résignait à ne pas prononcer son nom maintenant qu'il était de retour.. Celà ne servait plus à rien. Alors pourquoi avait-elle tremblait ? Celà cachait quelque chose. Quelque chose d'important ! Mais celà ne l'interessait pas plus que de savoir quel était le nom du père de la jeune fille.

Il s'était attaqué a Potter, chose qui, a prioris, ne fallait pas faire. Mais quelle importance ? Il ne disait que la vérité façe à une vraie faible. Il regarda de nouveau l'élève qui s'était soudain donné une passion à l'observation des 4 sabliers de poudlard. Celà le mit hors de lui. Il n'en fallait pas beaucoup pour le mettre en colère à cet instant.

- Et toi là ! Va voir ailleurs les points des maisons ! Tu gène c'est claire ?!

C'était à priori un élève de première année vu la rapidité avec laquelle il avait prit ses jambes à son coup. Quel peureux ! Bref, ils étaient à présent tout les deux. Lorenzo s'approcha de nouveau. La colère en lui prouvait explicitement qu'il n'allait pas l'embrasser comme deux personnes s'approchant comme il le faisait pourraient faire. Il en revint à Potter. Il se doutait que celui-ci devait fortement lui manquer. Lui qui était en misson, lui qui devait se battre façe à Voldemort.

- Mais j'y pense.. C'est qu'il doit vous manquer le Potter ! Entre nous, qui va mourrir ? Voldemort ou Potter ? Potter ou Voldemort ? Potter n'est vraiment pas très doué.. Tout remonte de la chance et de sa protection ! Lui même ne vaut pas plus qu'un chocogrenouille ! Quant à Voldemort, ne connaissant pas l'amour parental-enfant il n'aura aucun scrupule à tuer "l'élu" à mains nues !

Là encore, il devenait trop blessant envers l'élève. Il ne savait toujours pas qu'il visait trop juste mais était certain que tout ceci ne la laisserait pas indifférente. Lorenzo se doutait de ce qu'elle pensait à son propos. Mais il savait également qu'elle ne pourrait pas en tirer mot a quiconque. Elle était seule au monde façe à sa violence verbale. Seuls lui et elles existaient à ce moment là.

Il savait également que lorsqu'il avait fait son geste sur le front de l'élève, cela l'avait laissé en reflexion. Décidemment quel manque de tact de la part de cette élève ! Elle n'avait donc qu'une capacité à réfléchir égale à un scrout à pétard !! Quelle honte... Lorenzo était au sommet de la jouissance. Elle était trop faible, trop naïve, trop bête... Il arriverait bientôt à ses fins, il le sentait.

- Heuresement pour vous ! Je pense que je ne vous aurrai même pas attribué à une seule maison ! Cela aurrait évité bien des ennuis à l'école je suppose d'avoir une élève empottée et monstrueuse comme vous !

Il n'allait donc jamais s'arreter ? Non pas temps qu'elle battrait en retraite et encore... Il profiterait de sa faiblesse... Quelle monstruositée.. Lorenzo sentit en elle une forte panique lorsqu'il parla de la cervelle d'une chouette. Mais quel était le problème ? Avait-elle perdue une chouette ? Etait-elle elle même une chouette ? Il ne savait pas son prénom mais si il l'avait sû il aurrait dessuite fait la comparaison entre la chouette de Harry et elle même. Il savait tout sur Harry, même le nom de la chouette de ce dernier.

- Aurai-je dis quelque chose de frappant ? Serai-ce la reflexion "cervelle de chouette" qui vous laisse dans tout ces états ?

Il eu un sourire parfaitement mesquain, d'autant plus ennivrant que les précédents. Il était de plus en plus humiliant. Il ne cherchait plus comment la destabilisée, il l'avait fait. Elle ne s'avouait pas vaincue, mais il était certain que la fin était certainement proche... Il décida de rétorquer une nouvelle fois

- Et ce n'est évidemment pas votre cas ! Vous ne faite rien pour avancer ! Il n'y a aucun doute là-dessus. De plus si l'idiot marche, il n'irra nul part ailleurs que dans le néan le plus total!

Evidemment qu'il n'en avait rien à faire de la vie de cette élève ! Il avait juste envie de la faire tourner en bourrique, de la blesser au plus profond d'elle même en enfoncant les couteaux dans les plaines encore sensibles. Il n'avait la dedans aucune envie profonde de s'interesser à une vie aussi... cinématique !
- Vous n'avez tout de même pas cru l'espace d'une seconde que j'allais m'interesser à votre vie ?

La seule façon dont il pouvait s'y interessait, c'était par son statut de professeur. Il serait bien obligé d'en savoir un minimum pour son cour. Il attendait celà avec impatience. Son cour. Histoire de l'humilier devant tout le monde d'ailleurs ! Il s'en frottait les mains et irait presque jusqu'à s'en lêcher les lêvres, mais il ne le fit pas.

- Effectivement, voilà quelque chose de fondé ! On pourrait presque croire à votre intelligence et votre beautée de dos. Mais par devant, on vois clairement que l'on s'est trompé. Voilà la preuve fondée !

Hj : ça va, ça va... mdr Laughing

à part que'ai écris un long pavé et que mon stupide PC de m*** a bugué etje dois tout recommencer -_-' tu semble avoir beaucoup d'inspi xD *rirait presque derrière son écran*

Dj : Hedwige cherchait un moyen de sortir de cette situation, autre que la rage, la aine, la colère, la peine, la souffrance. Quelque chose en quoi s'accrocher, pour survivre, tenir le choc. L'humour... Rirepour ne pas mourir. C'était connu, et efficace. Seulement, le moindre rire seait consideré comme une moquerie aunez du profeseur et ce dernier aura la moutarde lui montant au nez. Elle opta donc pour un petit rire interieur.
Il était collant... pire qu'un chien, qui, dés qu'il a une vieille chaussure entre ses dents, refuse le la lâcher.
Le même schéma se reproduisait ici, avec les morsures des mots, les aboyements des douleurs.
Elle cherchait à s'échapper d'ici. S'enfouir dans l'imaginaire, dans son monde à elle, ou même lui ne pourra entrer... Un peu comme... Un peu comme lorsqu'elle était enfant.

Des pensées naïves lui vinrent à l'esprit. Elle ne su pas pourquoi, et se sentit un peu stupide d'avoir ces pensées très enfantines.

*Si je dors, ce n'est pas moi qui vais avoir mal. J'ai qu'à laisser ma place à une autre moi comme je fais avec nanny quand elle me gronde. Et comme ça, je sentirai rien. Et quand ça sera fini, maman viendra me consoler avec nanny. Oui, c'est mieux de faire comme ça...*

Peut-être parce qu'Hedwige avait gardé son âme d'enfant... Non. Elle ne pouvait pas dire une telle chose. Plutôt, elle aurait refusé de grandir... mais comment peut-on s'empêcher de grandir trop vite, avec cette cicatrice sur le corps et dans son coeur... ?
Une autre pensée succéda la première, sortant du puit de l'oubli pour émerger dans son être toute entière...

*"- Vis ! Ne les laisse pas gagner ! Les adultes ne doivent plus continuer à nous détruire... Prouve-moi, que je ne suis pas le seul à vouloir me dresser contre leurs cruautés."*
*J'essaye... * pensa-t-elle en guise de réponse interieure.

Oui, elle essayait de vivre. Elle essayait de surivre surtout. Elle essayait de se dresser contre leur cruautés, contre la cruauté des adultes, contre sa cruauté, la cruauté du professeur...
Elle ne devait pas le laisser gagner. Même si c'était dur. Même si c'était long.
Cela dépassait la notion de fierté. Pour elle, elle devait gagner cette lutte, parce que c'était inscrit depuis toujours. Parce que son ange le lui avait fait promettre... Elle lutterait contre lui, elle ne devait pas craquer, sinon ce serait trahir son ange.

Son médaillon semblait être là pour l'encourager, dégageant sa douce chaleur Cette pensé la remplit de nouveau de courage et de volonté.
Elle ébaucha un sourire victorieux, histoire de lui mettre les nerfs mais visiblement il semblait déjà à bout.
Il s'approcha davantage d'elle. Prés. Trop prés. Bientôt elle sentirait même son souffle sur ses lèvres. Cette pensée la glaça toute entière. Malaise, panique; Des bruits de pas résonnèrent dans l'escaliers. Elle, elle sentit une brusque panique l'envahir, eut un mouvement affolé, un pas en arrière.

Son cour s'était affolé et ne parvenait à s'en remettre. C'était stupide, il voulait juste l'intimider, mais elle conservait une peur profonde envers les hommes. C'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait pas se tenir trop proche sans céder à la panique. Encore une fois l'homme semblait doué pour raviver des souvenirs douloureux.
Par chance, il recula en ayant un mouvement vers sa ceinture lorsqu'il perçut la présence de l'élève Elle espérait qu'ainsi, il n'ait rien remaqué à son sujet. Son atitude laissait penser qu'elle ne perdait rien pour attendre, qu'elle n'était pas tout à fait sortie d'affaire.
L'élève descendit les marches, resta un peu dans le hall. Sa présence la rassura malgré elle. Mais cela n'empêchait pas l'homme de continuer à la poignarder cruellement. Il savait qu'il n'y avait pire douleurs que celle du coeur, et en jouissait parfaitement.

Il lui acorda même une phrase lourde de menace. Elle esquissa, au coin des lèvres, un sourire sarcastique. Malgré elle, autant se cacher derrière quelque chose. Elle avait bièvemment laissé tombé l'idée de l'humour pour celle de la moquerie, ou de la légereté. Elle n'avait pas peur pour elle-même... Même si elle ne pouvait nier avoir toujours desiré quequelqu'un soit vraiment là pour l'aider, la soutenir, la protéger... Un ami... n petit-ami... Comme Harry.... Harry protège ses amis, Ron, Hermione.. Il était si semblable à elle-même... Si doux,si...
Mais il ne l'aimait pas. Quand elle s'éparpillait un peu sur le sujet, il la repoussait nettement. Ce rejet est d'autant plus douloureux qu'il lui fait penser aussi que Jedusor et Potter ne pourront jamais s'aimer...
Elle ne cherchait pas encore à savoir les failles du professeur. Quand on vous agresse de la sorte, on ne fixe pas votre agresseur avec compassion ou pitié. Mais elle s'était interrogée. Pourquoi elle, pourquoi les femmes, pourquoi un tel comportement.
Hedwige souffrait de ce rejet, mais n'agressait pas les autres pour autant. Au contraire, c'était les autres qui la harcelait. Souvent...

Le pire est d'endurer les confdences de Harry. Elle le regarde, il regarde Marie. Il dit qu'elle est si jolie... Hedwige le trouvait magnifique. Harry s'exclamait qu'il l'aimait, et Hedwige se demandait... Pourquoi avoir choisi sa meilleure amie... Double trahison. Toutes ces années auprés de lui, et toutces rires partagés avec elle, voilà qu'ils lui tournaient tou deux le dos pour batifoler ensembles...
Hedwige fut tellement effondrée qu'Evangeline manqua d'assassiner Kyarah, en l'éventrant. Cette dernière avait agit exactement comme ce professeur en face d'elle. Restait à penser qu'Evangeline pouvait en faire de même pour lui...

Il ne prenait pas même conscience des risques qu'il prenait, la considérant sans doute commeune simple élève petite, naïve et insinifiante, sans intérêt, et surtout si fragile à ses mots envenimés.
Ce qu'elle était en ce moment même... Pour le moment...Il l'insurgea de nouveau en alliant Harry et elle. Faibles... Ils étaient faibles, selon lui. Occulmencie. Non, Hedwige n'était pas douée e occulmencie. Elle n'avait jamais eut l'occasion de s'entraîner. Et pourtant les capacités ne manquaient pas. S'il y avaitune chose qu'elle protégeait le plus au monde, c'état ses pensées, en particulier ses souvenirs.
La dernière personne à y avoir fouillé fut Severus Rogue et elle en garda un gout amer de sang dans la bouche...

Néanmoins elle ne pu réprimer un tressaillement u nom de Voldemort. Tout ce qui pouvait paraître normal dans une conversation prenait des intensités démesurées chez elle, réveillant certains problèmes ou douleurs passés.
Fermer son esprit à Voldemort. La panique lui fit rater un battement de son coeur. Serait-il possible qu'il sache quelque chose ?
Pourquoi Voldemort ? La panique embrouillait ses pensées, incohérentes, et elle du lancer à tout hasard pour ne plus s'y perdre :

- Qu'en savez vous, vous n'avez jamais essayé de lire dans mes pensées.

Déjà, elle essayait de passer à autre chose, peur de s'y attarder et d'éprouver de nuveau cette peur panique qui pouvait la déstabiliser.
Le professeur sembait assez remonté, et ce fut sans aucune délicatesse qu'il scanda à l'élève prés des Sablier de déguerpir.
Hedwige considéra l'élève courir à toute jambe, avec la sensation de voir sa dernière chance s'envoler XD

En effet, l'homme ne tarda pas à réattaquer de nouveau, se rapprochant dangereusement d'elle. Imperceptiblement, elle recula, jusqu'à remarquer que son dos touchait un des pilliers des escaliers. Le choc, imperceptble fut-il, contre le marbre froid, lui fut comme un glas funeste. Elle ne s'était éloignée que de quelques millimètres à peine. Elle avait presque retenu son souffle, incontrôlable à une telle proximité. Elle pourrait même ressentir la chaleur corporelle de son interlocuteur à travers le tissu à cette distance.

Elle était quasi-absorbée par cette idée de proximité et ne s'attendit pas à ce que de nouveau il réattaque, alors qu'elle se résentait vulnérable.
Outch. Elle ne s'était pas preparée à encaisser etle choc fut douloureux.
Harry... Harry ou Voldemort... Son coeur ou sa famille.. Un véritable dilemne dont il n'imaginait même pas combien il était aussi présent dans son esprit.
Elle aimait Harry, elle l'aimait en dépit de son sang, de ses origines... Et il était à présent dans l'ultime bataille avec Voldemort... Son père, sa chair, son sang... Dernière famille n'était pas un thème approprié. Hedwige avait sa cousine. Mais elle se sentait consternéeen voyant dans quel état son père l'avait mise. Sa cousine n'était qu'un pâle reflet de ce dernier... Qui incarnait la détresse. Parfois, Hedwge se sentait presque coupable car même sielle n'a pas connu l'amour ni la famille, elle avait été épargnée par l'éducation monstrueuse et dictatoriale de son père, qui jettait sa cousine dehors pour la laisser sans manger ni dormir dans une durée variant entre trois et quatre jours...
Et soudain, la perspective qu'Harry vienne à mourir lui noua la gorge tellement fort qu'elle pensa s'etouffer.
Harry... Si jamais cette lueur de vie s'éteignait dans son regard émeraude... Ce serait celle d'Hedwige qui s'éteindra avec...

Cette fois, son regard ambré fixé dans le vide se nimba bel et bien de cette détresse, menaçant de couler à tout moment. Elle le reposa sur le professeur, cette fois rempli de rage.

- Vous souhaiter la mort de Harry ? Soit si vous désirez que le Mal reprenne les rennes sur ce monde....

Sa voix tremblait de colère. Comment pouvait-il, comment osait-il, aller jusqu'à espérer la mort d'un élève simplement pour la blesser.
Ele allait même jusqu'à trembler de rage. Elle aurait voulu le repousser d'un geste brusque. Elle voulait partir, jamais l'envie d'abandonner ne se présenta en elle aussi intensemment.
Mais le contact de son médaillon sur sa peau lui rappela soudain sa mission, son devoir. Ne pas céder. Continuer la lutte...

Elle ne puvait pas lutter complètement contre cet homme. Il était professeur. C'était l'unique barrière qui la retenait à se déchaîner contre lui. L'unique barrière, qu'elle faillit bien enfreindre. Elle pensa à son ange, et elle se calma d'un coup. Elle fit à voix basse, avec fermeté et froideur :

- Ce jour là, je serais à... et je tuerais Voldemort s'il le faut...

Si sa cousine ou son père l'entendait ! Elle cherchait juste à le repousser par la force des mots. Mais il restait agglutiné à elle, aussi bien physiquement que par les paroles.

¤Heuresement pour vous ! Je pense que je ne vous aurrai même pas attribué à une seule maison ! Cela aurrait évité bien des ennuis à l'école je suppose d'avoir une élève empottée et monstrueuse comme vous !¤

Cette fois, elle ne pu retenir un rire moqueur. Un rire qu'elle ne parvint à réprimer en dépit de sa position, des menaces. a seule liberté qu'elle pouvai s'accorder encore, pour la lutte.

- Je crois qu'Askaban ou Sainte Mangouste aurait été plus doux que dans vos cours...

Gloups. Elle était fole d'avoir dit ça. L'attaquer de front, en pleine face. Il allait la tuer Mais elle en avait assez. Elle craquait, certe, mais d'une manière différente qu'il aurait souhaité. Elle réagissait de plus en plus violemment. Jamais elle ne craquait devant les autres. Jamais.

Mas son air narquois s'effaca un peu lorsqu'elle comrpit qu'il avait trèsbien remarqué sa réaction sur le mot "chouette". Elle ne réflechit pas et lui rétorqua aussi sec, pour l'éloigner de cette pente dangereusement glissante :

- Oh, rien, je me demandais juste...

¤A quel animal je pourrais vous attribuer¤ ,continua-t-elle mentalement, sans oser le dire tout haut.

- ... ce que j'allais recevoir comme courrier demain matin.

Elle avait répondue encore de manière décalée, mais cette fois elle l'avait fait exprés. Juste histoire de faire style que ses propos ne l'intéressait pas du tout, et tout ce dont elle pensait, c'était si lle allait recevoir les nouvelles de machin chose ; Genre : d'ailleurs ça lui faisait penser à acheter tel chose à Pré au Lard ce week end...

Elle semblait avoir remarqué qu'il n'appréciait ps qu'on se désinteresse de lui, ou même qu'on lui rit au nez. Elle avait commit les deux fautes impardonnables, et quelque chose lui disait qu'elle allait se "marrer" lors de ses cours il ne se gênera pas de l'humilier en public, aprés l'humilier personnellement... Et avoir à supporter les rires moqueurs des autres, c'était une autre affaire

A ses dires à propos du proverbe citée par la demoiselle, elle le fixa avec tout le sérieux du monde possible. ne brusque attention qui n'avait rien à voir avec le désintérêt d'il y a quelques secondes.

- Il y a toujours quelque chose avec de la volonté. Ses pas le méneront toujours quelque part puisqu'il aura fait l'effort de s'y rendre... Et puis, comme on dit, mieux vaut paraître stupide en posant une question que de rester impssible et l'être toute sa vie

Il ne semblait pas du tout convaincu au sujet des impotents. A croire qu'il devait faire parti de ces aristos snobs qui croivent à la pureté du san et méprisent ceux des "bas-de-gamme". De la part du professeur, cela ne l'étonnait guère. Insister là-dessus ne lui aurait servi à rien, il était têtu et borné.

Lorsqu'il manifesta son désintérêt total pour Hedwige, celle ci fit mine de regarder ses ngles et fit d'un ton desabusée :

Alors pourquoi vous fatiguer à savoir ce que je fais de ma vie et où je me situe dans l'échelle sociale ?

Elle aussi pouvait insister, tentant de retourner l'arc vers sn propriétaire. Elle reposa son regard sur lui avec défi. Pis, sachant qu'il ne le supportait pas, regarda ailleurs comme distraite ou très intéressée par le vol d'une mouche.
Il sembla approuver enfin quelque chose venant d'elle au sujet des apparences.

¤Effectivement, voilà quelque chose de fondé ! On pourrait presque croire à votre intelligence et votre beautée de dos. Mais par devant, on vois clairement que l'on s'est trompé. Voilà la preuve fondée !¤

Ebauchant un léger sourire, elle reprit d'un ton douceureux :

- Au moins, il n'y a pas non plus besoin du brouillard et de la distance pour le croire... Etre de dos suffira déjà...

Elle eut un petit rire interieur. Ses parles étaient teintées d'ironie. Rien à voir avec celle qui semblait totalement figée face à sa violence verbale. Encore un changement de comportement, ce qui la rendait vraiment indiscernale.

Lorenzo captait une certaine envie soudaine de partir, de s'échapper de la part de l'élève. Elle n'aurrait certainement pas été la seule façe à cette situation torridement déplaisante. Le professeur était-il le mal incarné ? Etait-il possible qu'il existe un être aussi étrange et aussi désinteressé que lui ? Difficile à croire. Un quelconque dialogue avec Voldemort aurrait pû créer des étincelles annonçant la fin du monde !

Un long silence s'installa entre eux. La jeune femme semblait de nouveau s'abonner à son activité favorite qu'était le dialogue interieur. Mais qu'avait-elle de si important à se raconter ? Quelle étrange fille. Lorenzo exclaffa un rictus. Il n'aurrai jamais douté que cette simple blonde aussi naïvre et passible puisse avoir quelque chose d'important à faire dans sa petite vie minable. Ni qu'elle puisse être le fruit de Voldemort. Ca, jamais il n'aurrait pu mettre le doigt dessus.

Lorenzo pensa à son tour. Il ne s'interessait pas à la vie de l'élève mais elle était tellement étrange qu'il avait envie de découvrir ce qu'elle cachait pour la faire enrager, pour le devoiler et ainsi se moquer d'elle selon l'amplitude des secrets. Il en avait une envie folle. Ceci serait son nouvel objectif. Il se surprit impatient à cette nouvelle tâche. De plus, si cette demoiselle était dangeureuse, il n'hésiterait pas à l'annoncer à l'Ordre pour ainsi écarter le monde des sorciers à un nouveau danger.

L'élève se sentait sûrrement dejà en danger. Sa crainte était formelle, sa peur distincte. Elle savait qu'il avait l'objectif de découvrir ses secrets jusqu'au dernier. Cependant, elle ne savait pas qu'il en était quelque peu spécialisé. Il en avait fait parler plus d'un ! Notamment des mangemorts. Ce ne serait pas une Gryffondor qui allait lui cacher quoi que se soit ! Elle ne resisterai pas bien longtemps. En ce moment même, elle commençait déjà à flanchir.

Lorenzo remarqua dans les yeux de la jeune blonde qu'elle se sentait légèrement plus en sécurité en présence d'un élève dans le Hall. Il n'allait pas lui donner ce plaisir là ! Ce fut pourquoi il le fit fuir. L'élève perdit en elle tout espoir de sécurité et de chance de s'en sortir. Il ne prennait pas la peine de lire ses pensées, mais il ressentait facilement ce qu'elle ressentait. Elle pensait protéger ses pensées de l'interieur. Cependant, elles sortaient explicitement comme dans un moulin, servient sur un plateau en direction de Lorenzo !

Lorenzo arrivait presque à entendre le rythme cardiaque de son interlocutrice tellement elle était appeurée ! Mais quel était donc le but premier à Lorenzo d'être aussi horrible avec elle. Au final, elle n'avait rien fait. Elle était juste passée... Juste tombée par hasard sur Lorenzo dans ce foutu Hall. Et lui, il s'en donnait à coeur joie. Il était le plus heureux et elle, la plus malheureuse. La magie n'était pas la plus meurtrière des forces, Lorenzo en était la preuve. La simple prononciation de certains mots lui suffisait à faire terriblement mal. Il n'en épprouvait de plus aucune pitiée, aucune affection, aucune rancune..

Harry avait été le mot révélateur. Hedwige s'en sentait d'autant plus meurtrie. Certes il ne lisait pas dans ses pensées ! Mais il aurrait fallu la filmer et elle aurrait tout bônement retiré sa reflection. Elle aurrait été capable de se rendre compte que pour tout être humain, il était indédaignable qu'elle était amoureuse de Potter. C'était inscrit sur son front !

- Et vous, comment êtes vous sûre que je ne suis pas en train de le faire ? Vous étes dans un état tellement pitoyable que vous ne remarqueriez même pas que Voldemort se présenterai devant vous ! De plus, c'est inscrit sur votre front. C'est clair comme de la roche.

Il n'avait pas besoin de se justifier plus, la Gryffondor allait le constater par elle même. Mais comment était-il possible qu'elle soit aussi vulnérable. Elle avait trop subit. C'était sans nul doute. Ca aussi, Lorenzo allait le découvrir histoire de savoir ses secrets et les dénoncer à l'Ordre. Il allait enqueter.

Lorsque Lorenzo s'approcha de nouveau de la jeune fille, celle-ci recula tel un reflexe. Elle avait peur. Voir plus à ce moment là. Que craignait-elle ? Qu'il la viole ? Il n'était pas aussi con ni autant irrespectueux ! Ce n'était qu'un monstre par la parole, pas un tueur ni un violeur. Loin de la. De toute façon l'élève la répugnait rien qu'à son visage et sa pâleure.
L'élève semblait possédée, absorbée par cette idée. C'était presque si elle se décomposait sur place. Lorenzo n'allait rien faire, mais allait un peu plus l'affaiblir.

- Que se passe-t-il .. Serai-ce moi qui vous proccure cette peur ? Vous êtes térrorifiée pauvre enfant

Il dit tout celà avec un calme impassible à en glaçer le sang. On aurrait presque pu imaginer qu'elle se laisse glisser contre le poteau de marbre jusqu'à accroupissement. Mais celà ne se fit pas.
Hedwige semblait rongée de l'interieur, partagée entre Harry et Voldemort. Serai-ce à cause de Harry qu'elle était pétrifiée façe à la pensée de Voldemort. Celà semblait trop poussé aux yeux de Lorenzo.

Lorenzo se rappela de la dernière mission qu'il avait entreprit pour Potter. Celà s'était déroulé au Terrier. Ce dernier devait changer de maison, se rendre à une autre maison où le sortilège de Fidelitas pouvait le proteger. Au terrier, il avait été brisé. Il fallut donc éviter tout transplanage. Lui qui était donc doué sur un balai devait donc l'accompagner par les voies aériennes avec Remus Lupin. Ils furent attaqués par une horde de Mangemort bien évidemment. Un sort faillit être fatal à Lorenzo. Il fut seulement blessé ! Il avait mit sa vie en danger pour celle de Potter, c'est ainsi qu'il redoubla de colère et attrapa violemment le poignet de l'élève

- Comment osez vous proclamer ça ? Savez vous seulement ce que j'ai enduré pour Potter ?! Savez vous qui je suis et quel est mon devoir ?! Sans mon aide et celle d'autres, il serait mort en ce jour ! Nous nous bâtons contre le mal ! Alors je vous dispense de tout commentaire de la sorte !

Il serait de plus en plus le poigner, mais pas jusqu'à la faire valser de douleur. Il grimaçait de haine. Il ne savait pas si elle connaissait l'existence de l'Ordre, mais si c'était le cas, elle aurrait comprit qui il était vraiment en plus du méchant professeur. Il était hors de lui. Il n'avait rarement été aussi énervé que façe à Sylia lorsqu'il l'avait accusé de l'avoir trompé. Il était à faire peur et eu un rire froid lorsque Hedwige se sentit assez forte pour tuer Voldemort !

- Hahaha ! Laissez moi rire .. VOUS ? Mais vous n'aurriez pas fais deux mêtres qu'il vous aurrait tué avec son sortilège impardonable ! Vous n'arrivez même pas a me regarder dans les yeux tellement vous avez peur ! Alors tuer Voldemort .. IMPOSSIBLE !

Quelle prétention de s'avouer capable de tuer le seigneur des ténêbres. Lorenzo s'en serait fait pipi dessus dans d'autres circonstances. Celui-ci semblait certain à présent que elle avait quelque chose à repprocher à Voldemort, d'autant plus personnel que l'histoire de Harry Potter. Que lui avait-il fait ? Pour pouvoir procclamer haut et fort être capable de tuer Voldemort, il n'était pas simplement question de l'histoire de Potter ..

Lui qui avait lâché le bras de l'élève peu de temps auparavant, lorsqu'il s'était mit à rire façe à la prétention de l'élève aurrait presque pu s'arracher les cheveux lorsque cette derniere le critiqua presque ouvertement. Celui ci sorti de nouveau sa baguette. Il la tint façe à l'élève, proche de son cou. Il était au summum de ses nerfs. Une explosion à côté n'était rien.

- Je pense que vous ne vous rendez pas compte à qui vous parlez. Vous vous sentirez moins maligne lorsque vous serez en retenu avec moi !

Il laissait donc entendre que l'élève de Gryffondor avait gagné une bonne retenue. Il était certain que celle-ci pourrait être fortement révélatrice ! Il n'avait pas encore d'idée sur le thème de cette retenue. Mais il allait la choisir avec grand soin. Histoire de faire regretter l'élève de ses mots. Il avait bien évidemment connu les méthodes d'Ombrage. Il n'irait pas jusqu'à cette methode là, mais peut-être allait-il s'en inspirer. Pourquoi pas la mettrer sous veritaserum ? Profiter de sa vulnérabilitée pour en tirer tout ce dont il avait besoin ?

- Je vous conseil de ne rien prévoir tout les lundi de chaque semaine avant longtemps ! Vous passerez vos soirées en ma chère compagnie !

Il allait procéder en plusieurs fois. Un peu pour le plaisir, un peu sur l'enquète ! Rien ne pressez. Et plus l'élève en patirait, mieux c'était ! Cependant, elle manqua de respect à nouveau en se foutant de lui avec l'histoire du courrier. Elle ne tenait vraiment pas à sa vie ! Il tendit le bras vers le haut et de sa baguette sortit une sorte de petite explosion avec des éclats rouges. On aurrait pû croire à l'explosion du plafond mais Lorenzo n'avait fait ça juste avec sa baguette, sans rien viser.

- Foutes vous encore de moi, et la prochaine fois, c'est sur vous que je dirige ma baguette ! Dites moi la vérité !

Lorenzo eu une nouvelle idée. Il se demandait à présent comment se nommait cette jeune fille ! Il n'allait pas le lui demander ouvertement. Il réfléchit quelques secondes histoire de la faire languir, de laisser un brin de suspence .. Celui-ci rangea sa baguette et remarqua que celle-ci avait son sac de cour. Une idée lumineuse lui vint dessuite à l'esprit !

- Passez moi un de vos livres !

Il n'allait pas en siter un, il était sûre que celui-ci elle ne l'aurrait pas. En globalisant, il en aurrait certainement un. Il attendit que celle-ci s'execute. De plus, Lorenzo ne l'avait pas demandé, il l'avait exigé ! Il n'était pas en posture de refuser. Elle en connaissait les risques ! Elle savait ce qu'elle allait subir..
A la nouvelle question de l'élève,, Lorenzo aurrait presque rit ! Il s'en retint. Il en allait avoir mal au ventre à force de rire.

- Ne vous vient-il pas à l'esprit que l'on peut poser des questions à une élève sans pourtant n'y porter qu'un interet ? Celà ne dépent malheureusement pas de vos capacités intellectuelles ..

Cependant, Lorenzo avait remarqua sans tarder le changement de personnalité de l'élève ? Skyzophrénie ? Il n'en savait rien mais celà était également quelque peu louche ..

Hj : Argh j'y crois pas, je suis maudite Sad

* a encore écrit un long pavé et s'est encore tout fait effacer Sad

*
Dj ; Hedwie sentit chez le rofesseur un changement d'attitude.. Il était pssé de la moquerie cruelle à la curiosité dangereuse. Elle ne savait que trop lequel elle aurait préferé. Elle n'appréciait pas vraiment la violence verbale, cependant s'il se mettait à véritablement s'intéresser à ce qu'elle semble tant tenir à cacher, cela sentirait le roussi.
Dangereux, ses secrets l'étaient, pusque tous conduisaient plus ou moins à certaines conséquences non négligeable... Que ce soit au nivea de sa parenté, de son Autre, de ses amourettes ou de la possibilité qu'elle soit un horcruxe...
Depuis qu'Harry lui avait soumit cette hypothèse, elle n'arrivait plus à vivre. Ce jour là, elle le lui avait demandé... elle lui avait demandé de la tuer. Il a refusé. Pourquoi ? Purquoi ne pas abréger leurs souffrances... Il n'aura plus que ces objets à détruire et Voldemort sera vaincu... Et Hedwige n'auraplus à survivre inutilement dans la douleur... Elle sera liberée... Ce jour là son ange viendrait véritablement la chercher... Et elle s'envolera auprés de lui, dans ce monde où il n'existait ni froid, ni faim, ni malheur...
Elle ne trouvra véitablement la joie que dans la mort...
Il a refusé. L'a soumise à une autre torture, en plus de le savoir donner sa place àune autre dans son coeur... Il semblait l'avoir oubliée. Il semblait même avoir oubliée sa chouette... Si c'était véritablement le cas, oh combien elle lui en voudrait...
Elle repensa au poison... Cette peite pilule, il lui suffisait de la mettre dans sa bouche et de croquer... Aussitôt le poison se répandra dans son sang, la tuat sur le champ ou presque... L'arsenic était bien trop long à agir, bien trop douloureux.... elle avait dit à Harry que c'était si jamais elle se faisait prendre... Ainsi, elle ne parlera pas et évitera la torture... Du moins c'était ce qu'elle lui avait fait croire... Et sa réponse, si... indifférente, lui mordit cruellement le coeur.
* D'accord, mais promet moi de n'utiliser ça qu'à l'extrême urgence... *
Pas de protestation. Pas d'air scandalisé ou horrifié. Rien. Juste cette pormesse, cette demande, qui finalement n'avançait à rien. Il nse fichait bien qu'elle meurt ou non... Cela s'était lu dans son regard... Son indifférence lui fut plus dur ecore à vivre que quoique ce soit jusque là...
Harry, pour qui elle s'était devouée corps et âme, pour qui elle s'était cachée pendant ces cinq années.... Il venait de la détruire par la force des mots.
La force des mots, elle la haïssait. Ce professeur utilisait la même arme, les même propos...
¤¤Le grand Harry Potter a mieux à faire que de sortir avec une empottée comme vous !¤¤
Chacune de ses attaques, de ses mots lui élargissait un peu plus une blessure déjà tracée. Mais il sembla diminuer ses attaques, sans doute asse ou intéressé par quelque chose de plus vif, de plus passionnant que lui faire subir ainsi coup aprés coup cette violence de paroles.
¤Et vous, comment êtes vous sûre que je ne suis pas en train de le faire ?
Ses dires lui inssufla le doute dans son esprit malgré elle. Oui, et si vraiment il lisait réellement dans ses pensée... Ell était tellement préoccupée à se concentrer sur la souffrance engendrée pour prêter la moindre attention à ce qui pourrait en ressortir.
Aussi ne répondit-elle pas tout de suite, sahant qu'elle se défendrait inutilement. Non, à la place lui fleurit une idée bien précise en tête, et c'ets avec un rafinement fort exageré qu'elle fit :
- Si vous aviez lu dans mes pensées... vous ne serez plus là à parler tranquillement.
Autant attiser sa curiosité, juste histoire de le faire enrager un peu de nerfs à vf de temps en temps, ça ne faisait de mal, t puis ainsi elle inversera les rôles...
Mais elle perdit vite son assurance lorsqu'il lui demanda si c'était lui qi la terrorisait. Pendant un instant, elle ne perçut que le bruit amplifié des battements de son coeur à ses oreilles, couvrant tout autre bruit exterieur possible. Il l'aait remarqué, très bien remarqué même, comment n'aurait-il pas pu le faire puisqu'il ne se préoccupe que d'elle et de son attitude ?
En effet, elle semblait flancher sur place, à peine si ses jambes pouvaient encore la tenir debout. Si elle avait peur d'une chose, elle avait sûrement davantage peur de ceci plutôt que du feu, de Kevin lui-même voir des détraqueurs... c'étaitune peur malade qu'ell refoulait du mieuxqu'elle pouvait mais qui avait finit par resurgir aujourd'hui. Devant un professeur, et le plus détestable, qui plus est, la rendant toute honteuse.
Elle essaya tant bien que mal de reprendre ses esprits, fronça les sourcils et fit d'une voix dure qui sonait faux :
- Je n'ai pas peur de vous.
Ce qui dans un sens n'était pas tout à fait faux, vu que c'était des hommes en géneral xD Même ceux qui ne se montraient guère violents... Elle était méfiante, trop méfiante envers eu, la seue prsonne de sexe masculin en qui ele avait pu placé sa totale conce fut bien Harry. Le seul... Mais aussi le premier à la trahir, à la rejetter et l'oublier de la sorte. Ce qui n'améliorait pas ses opignons là-dessus.
Tout comme son interlocuteur, elle avait des pensées négatives et même une véritable hantise sur les humains masculins, bien ue pour les professeuce soit les femmes qu'il méprise.
Un curieux point commun qui s'était glissé en plein milieu de la confrontation comme un cheveu dans la soupe, perturbant le potage et le rendant tout aussi trouble et empli de doute que son esprit.

Ainsi elle espérait le recentrer sur la colère ou l'agement pour vite le préoccuper à autre chose qu'à ce petit déail.
Cependant elle pu remarquer qu'il semblait déjà bien remonté, puisque sans crergare il lui saisit le poignet avec violence. Prise de cours, et toujours à peine reise de ses émotions fortes, ele pensa pendant un bref instant qu'il allait le lui briser.
Mais il se contenta de resserel'étreinte, le regrdflaboyant d'une colère menaçant de déborder de son seuil.
Ce fut à ce momnt là qu'elle aprit, avec une rande surprise, que cet homme faisait partie de l'ordre. Qu'il protégeait et aidait Harry dans sa quête, et ce au péril de sa vie... Lui qui pouvat tant manquer de respect, non seulement à elle mais parfois à Harry pour l'atteindre. Elle ne répondit pas, abasourdie par cette révelations mais aussi presque terrifiée deant la lueur de haine brillant dans son regard.
Par chance, sa reflexion déclencha ce ce dernier un rire glacial, ce qui ui permit de dégager son poignet alors qu'il jaugeait sa soi-disante prétention.
Non, non, Hedwige n'était ni arrogante ni prétencieuse. Ele ne croyait pas qu'elle était capable de tuer Voldemort... Déjà pour ce lien qui es liaient tout deux, mais aussi en raison de la prophétie. Mais elle tentera sûrement, si jamais Harry venait à se faire tuer...
Piquée au vif, elle répliqua promptement :
- Je n'ai pas peur !
Il ne pouvait comprendre, et elle n'avait pas la moindre envie qu'il l'apprenne. Elle était la seule à le savoir, la seule à porter ce fardeau, la seule à en subir les séquelles et ne désirait pas en ajouter davantage de part le regard des autres, leurs pensées ou même la particularité déeloppée du professeur à appuyer là où ça fait mal..
Elle franchit les véritables limites de sa haine lorsqu'elle le critiqua ouvertement, se laissant emporter par la colère.
Il sortit sa baguette de sa ceinture avec une violence presque égale aux mots, qu'il poina à son cou, frémissant de colère. Elle pouvat même sentir le flux de magie se cocnntrer sur le bout de la baguete en un point précis, menaçant de laisser échapper le sort qui lui était retenu.
Hedwige retint sa respiration. Raide, droite, à quelques millimètres de la baguette, exposée à la fureur du professeur, si vulnérable et si léger.
Sa voix était d'un calme irréel, mais elle savaittrès bien qu'en lui il implosat.
¤Je pense que vous ne vous rendez pas compte à qui vous parlez. Vous vous sentirez moins maligne lorsque vous serez en retenu avec moi !¤
Les yeux d'edwige s'écarquillèrent. Q... Quoi ?! En retenue ?
C'était sans doute la pire chose qui puisse lui arriver. Se retrouver à faire des heures supplémentaire en compagnie de ce professeur qui ne manqera pas de se venger de son affront et surtout lui soutirer des informations lui aurait fat le même effet que d'apprendre que le lendemain elle devra visiter l'interieur de la gueule d'un dragon vivant en pleine activité.
Mais vraiment l'indignation s'afficha sur son visage lorsqu'il dit clairement qu'elle dera passer tout les lundis soirs en retenue avec lui... Impossible, elle ne pourra pas survivre jusque là !

- Vous n'avez aucuns motifs valables... fit-elle les dents serrées.

ll ne semblait pas en avoir besoin, il lui suffisait d'en inventer un... Et qui allons-t-on croire ? L'élève instable, schizophrène et psychopathe sans compter aux tendances légèrement cannibales, ou le professeur venant tout juste d'arriver et qui est tombé sur elle en premier...
La réponse était désespérement évidente. La jeune fille n'était pas en moindre position pour lutter. Elle avait la sensation d'être encerclée, prise au piège.
Et puis, la panique engourdit son coeur. Et s'il en profitait... ? S'il profitait de ces retenues pour en réalité en apprendre davantage sur elle ?
Elle ne pourra jamais se tenir droite tout en encaissant les attaques ainsi, chaque semaine, le lundi soir.... sans compter ses cours et le fait qu'ils se croiseront en dehors. Elle se sentit si faible, si vulnérable, si facilement manipulable, si... à portée de main.
Il lui suffisait de la cueillir, ces retenues étaient la dernière étape... la crainte aussi que cet homme puisse se comporter de manière odieuse pendant ces retenues.... Elle n'avait jamais subit le courroux d'Ombrage, mis à part la fois où elle avait transportée du courier fidèlement pour Hary et avait atterit devant la fenêtre en cours d'histoire de la magie, l'aile totalement brisée et presque à moitié arrachée...

Elle conservait encore, malgré les bons soins de MmePince, une légère cicatrice au bras. Elle détestait déjà ce crapaud rose rien que pour cette mutilation. Mais elle savait le professeur capable d'en faire de même.

Elle voulait sortir, fuir de ce piège se refermant sur elle, mais il était trop tard. Elle était bien trop engluée dans la toile de ce prédateur...Elle se contenta de lui lancer un regard de haine, ne trouvant rien d'autres à dire bien que les idées ne manquaient pas.

Il ne sembla que très moyennement appréicier le coup du courrier et leva sa baguette en l'air, par laquelle jaillit une éxplosion d'étincelles très comparables à son humeur actuel. Elle ne bougea pas, mais ne pu réprimer un geste instinctif et se mordilla la lèvre inférieure.

¤Foutes vous encore de moi, et la prochaine fois, c'est sur vous que je dirige ma baguette ! Dites moi la vérité !¤

Etre un professeur ne semblait pas être une limite pour lui. Il sepermetait de toucher à ces élèves, en particulier ceux au caractère rebelles, ce qui fit monter d'un cran l'aversion et l'apréhension fourmillant en Hedwige.
Néanmoins, elle resta obstinemment muette, un regard démontrant sa fermeté. Elle n'allait tout de même pas dire qu'elle était une animagus non-declarée et donc passablement punissable auprés du ministère, surtout aprés une telle tentative d'intimidation.

C'est alors qu'il lui ordonna... De lui passer un de ses livres. Deroutée par cette soudaine question, elle ne bougea nullement dans un premier temps. Mais il semblait très ferme, et elle savait d'office que si elle ne s'executerait pas il allongera ses retenues, tout en le lui arrachant de force.
Elle posa son sac au sol sans la moindre délicatesse, avec des gestes brusques, puis plongea sa main à l'interieure avant de tirer un livre au hasard.
Elle se figea en plein geste.
Elle ne pouvait pas le lui donner.
De un, parce que leur qualité était médiocre, elle ne roulait pas le moins du monde sur l'or et n'avait aucune famille potable pour pouvoir lui fournir l'argent nécessaire à sa survie. Elle avait misée toute ses chances de survie sur son animagus, sur le fait de voler de ses propres ailes.
La bourse qui était accordée à ceux étant dans le besoin se réduisait et aminciçait ses dons, du fait de son comportement à Poudlard.
Le meurtre sanglant, son associabilité, sa froideur, tout ceci trahissait aux yeux de Kyarah ce petit détail : elle était la progéniture de Voldemort.
De ce fait, ses réserves de monnaie s'étaient considèrablement baissées de manière alarmante, si bien qu'elle devait recommencer à chasser la nuit et se réveillait le matin avec les yeux cernés de noirs, trahissant sa fatigue.
Et puis, idem pour sa garde robe, elle avait tout juste son uniforme de Poudlard. Alors les fournitures...

Ensuite, elle remarqua un autre détail alarmant : son nom.
Son nom était marqué sur la première page, certe en très petit mais bien présent. Et c'était ainsi pour tout ses livres.
S'il l'ouvrait, il verrait son identité. Et... Ce serait une véritable catastrophe.

Toujours de dos, avec des gestes lents, elle tenta de déchirer discrètement la première page de son livre...

¤Ne vous vient-il pas à l'esprit que l'on peut poser des questions à une élève sans pourtant n'y porter qu'un interet ? Celà ne dépent malheureusement pas de vos capacités intellectuelles ..¤

Hedwige ne répondit pas. Elle était bien trop absorbée à sa tâche, le sachant très impatient, aussi mission impossible à accompir pour elle aujourd'hui : arracher la page sans bruit et très rapidement.
Elle se rendit compte que tout cela était inutile. Non seulement elle perdrait le sommaire, mais en plus il pourrait très bien lui en demander un autre... Puis encore un autre...

Elle réalisait que sa lutte était vaine. Inutile. Elle ne pouvait pas repousser qui elle était. Elle ne pouvait plus repousser ni son passé, ni son avenir. Cernée de toute part, exposée au seul jugement de cette seule personne, avec ce livre dans la main, le regard vide, hésitant.
Ses genoux commencaient à protester. Déposé au sol, pas même recouvert dû à la jupe réglementaire, elle ressentait peu à peu des fourmillements parcourir ses jambes prédestinant une crampe prochaine.

Lorenzo paraissait de plus en plus horrible envers son élève de Gryffondor. Il était sans scrupule. Ainsi il voyait l'interlocutrice de plus en plus faible et de plus en plus prise au dépourvu. Elle semblait trembler. De peur peut-être ? De froid, peu probable il faisait chaud ici. C'était surrement de crainte et de peur. Lorenzo le savait, il était impardonable. Il ne s'arretait pas pour autant dans sa tâche.

Lorenzo savait également qu l'élève allait une nouvelle fois retorquer. Elle n'arretait pas ! Elle se croyait en posture de lui répondre. De toute manière, professeur detestable ou pas, elle n'avait pas à lui répondre. Lorenzo en avait tout les droits de par l'autorité ! Il en profitait pleinement. Surtout avec elle, pourtant si naïve.

- Peut-être serai-ce justement pour que vous disiez ce que vous venez de dire ! Et justement ça marche !

Il lui faisait croire qu'il lisait les pensées, ce qui n'allait que la cramer plus ! Elle allait peut-être tout avouer au plus vite ! Il comptait sur ça. Il savait que tôt ou tard elle se trahirait. Celà avait deja commencé quoi qu'il arrivait.
L'élève perdit vite de nouveau son assurance qu'elle semblait retrouver de temps à autre de manière éphémère !! Elle n'arrétait pas de changer de comportement, passant de la rebelle à la méchante. Mais qui était-elle bordel ! Elle eveillait vraiment les soupçons du professeur. Il rigola de nouveau méchament.

- Et c'est pour ça que vous tremblez ? En tout cas vous craignez les hommes !

Vu comme elle reculait et comme elle le regardait, elle avait peur des hommes tout comme il détestait les femmes de cette espece ! Cela creuvait les yeux !
Lorsqu'il lui attrapa le poignet, la peur semblait doubler dans les yeux de l'élève. Elle était presque tétanisée ! Elle sembla comprendre qui il était vraiment. Elle le savait. Et même s'il avait fait exprès, tout se payait ! Elle allait lui rendre la monnaie en lui disant qui elle était. Il insisterai jusqu'à épuisement et retraite de son adversaire.

- Surprise ? Dit-il les dents sérrées. Vous ne vous attendiez pas à ça je présume ! Vous reflechirez par deux fois maintenant avant de raconter des bétises. Et vous. Qui êtes vous ? JE VEUX LA VERITE !

Ses derniers mots se firent entendre avec perte et fracas. Ils raisonnèrent si bien que Dumbledore les avaient sûrrement entendus de là ou il reposait en paix. En tout cas, certainement plus que la jeune fille, qui semblait bûtée au plus haut point.
L'élève se répété, annonçant qu'elle n'avait pas peur. Pas peur de combattre Voldemort ! Tout mais pas ça ! Lorenzo allait mourrire de rire si cela continuait ! Quel affreux châtiment ! Il n'en pouvait plus assez !! Il rigola bruyamment.

- Rajoutez "de mourrir". " Je n'ai pas peur de mourrir" celà serai plus à votre niveau ! Potter n'a pas réussi à le battre par maintes reprises, Dumbledore non plus ! Comment osez vous ... ?

Il ne finit pas ses mots. Il s'étouffa. Celà était trop fréquent lorsqu'il s'enervait. Il ne savait pas pourquoi. Lorsqu'il était hors de lui, la toux lui venait durant un long moment. Il toussa bruyamment. Lorsqu'il reprit ses esprits, il ne perdit pas la façe pour autant ! L'élève lui demandait pour quel motif elle était en retenue. Elle croyait sûrrement qu'il n'avait rien de concret ! Elle se trompait ... Il annonça donc toujours avec une petite toux le coupant de temps à autre

- Pour ... quel motif ? Celà me parait pourt..ant simple ! Non respect à un superieur hié..rarchique !

Elle lui répondait sans cesse. Aussi bien Rogue que Mcgonagall l'aurrait colée, c'était inéluctable ! Elle prouvait un certain non respect de certaines règles et celà ne s'arretait certainement pas là ! Il sortit sa baguette qui, toute seule, souleva la main de l'élève et inscrivit en encre noir et visible "en retenue". L'élève pouvait essayer de l'enlever comme elle le souhaitait, seule la baguette qui avait conjuré ce sort pouvait l'effacer. Celà n'arriverait pas demain la veille ! Pas temps que l'élève finisse ses retenues, ce qui était loin d'être le cas.

- Ceci est votre reçu ! Essayer de l'effacé amenerait à une amplification de la marque sur votre peau ! Vous pouvez toujours essayer. Je me rejouirai à l'idée de vous voir inscrite "en retenue" sur votre visage ainsi que sur vos membres !

Il avait un sourire narquois. Dès lors, le professeur attendit que l'élève lui donne un livre. Il comprit dessuite qu'elle ne le souhaitait pas mais se sentait piégée ! Elle cherchait certainement par tout les moyens d'y échapper ! Prendre ses jambes à son cou aurrait été suicidaire de sa part. Lorenzo l'aurrait neutralisée d'un coup de baguette. Refuser aurrait été tout aussi perilleux ! La voie semblait sans issue. Elle n'avait pas le choix. Cependant, celle-ci tout en mettant la main à son sac semblait longue. Il comprit rapidement qu'elle essayait de déchirer une page. Celui-ci, avant qu'elle fasse carnage, arracha le sac à l'élève !

- Puisque je ne peux pas vous faire confiance ..

Celà n'était pas comme agression à élève. Il lui avait demandé un livre, elle cherchait à dissimiler ce qu'il cherchait, car elle avait comprit ! Il sortit donc un livre du sac et lorsqu'il l'ouvrit, il arriva directement sur la page froissée à moitié déchirée. Quelque chose était inscript sur cette page. L'écriture était mauvaise mais il sû dessuite ce qui était écrit. Surprit, décontenacé, il prit un autre livre pour s'assurer du fait. Celà s'avera concret. Il regarda l'élève, enragé. Il avait la descendante d'un Jedusor devant lui, et une chouette en même temps. Tout s'avera clair dans sa tête. Celle-ci appeurait lorsqu'il parlait de la chouette. Elle en était une ! La peur et l'envie de meurtre de Voldemort qui s'averait en fait ête une soif de vengance lorsqu'il parlait de ce dernier.

- Hedwige Malicia Jedusor. Chouette de Harry Potter ? Descendante de Tom Marvolo Jedusor ? Celà interesserait certainement l'Ordre de savoir qui vous êtes ! Vous n'êtes qu'une ... qu'une ..

Il avait envie de l'insulter ! Il ne le fit pas, ce n'était pas inscrit dans ses droits de professeur. Il avait envie de crâcher du fait qu'il avait une traître devant elle. Une fille du mal dans l'école de Poudlard. Etait-elle une espionne ? Il n'avait pas peur, loin de là. Il aurrait été capable de la tuer au contraire.

Qui est-il .. Votre père ? Ne vous aurrait-il pas reconnu ? Un abandon ?

Hedwige voyait la situation lui échapper à tout contrôle. Encore, lorsqu'elle endurait les moqueries du professeur, il lui suffisait de paraître plus ou moins neutre et cela passait, cela n'ectera pas sa vie si ce n'est un souvenir humiliant, rien de plus...

Mais le professeur désirait hardemment savoir la verité. Il le disait, il le démontrait, et avec un tel comportement il ne tardera sûrement pas à... savoir... c'était ce qui l'effrayait davantage, parmi les autres raisons possibles.
Il semblait vouloir la convaincre qu'il lirait dans ses pensées. Même si le doute anait dans son esprit, elle se révolta à cette idée. Il ne serait sûrement pas resté impassible. Il voulait savoir, s'il aurait su il aurait réagit violemment. Aussi se contenta-t-elle de reprendre son calme, le fixant avec fermeté; ayant un peu d'Evangeline en ceci.

Elle changeait fréquemment d'attitude, comme indécise ou comme luttant interieuremment contre elle-même. Dominer Evangeline était un combat de tout les instants. Elle avait dit : lors des nuits de pleine lune, elle ressurgit..
Ce n'était pas complètement faux, mais pas entièremment vrai non plus.
Evangeline était constamment présente, ce qu'elle n'avait pas mentionné. Chaque jour, elle reprend un peu plus de pouvoir sur elle, se nourissant tel un détraqueurs de ses peines, ses colères, tout les sentiments négatifs qu'elle pouvait accumulser. Et elle en emmagasinait bon nombre, surtout ces temps-ci...
Pourtant, lui dire de ne pas ressentir de telle chose équivalait à ordonner à un arbre, une fois l'avoir coupé, de ne pas tomber. Elle ne pouvait pas devenir une machine ou un être sans sentiments. Ce serait ressembler à Lui... Elle faisait tout pour s'en différencier, tout ce qui était en son pouvoir du moins.

La remarque acerbe du professeur l'arracha plus ou moins violemment de se pensée.

¤Et c'est pour ça que vous tremblez ? En tout cas vous craignez les hommes !¤

Elle si pâle sembla encore plus livide que d'habitude. En plus de ça il l'avait remarqué, et le disait sur un ton de moquerie. Et lui, il haïssait les mes, elle aurait envie de lui demander ce que l'une d'entre elle ait pu lui faire pour qu'il devienne ainsi.
Mais elle ne le fit pas, pensant à elle-même, et à ce qu'elle dirait si on lui demanderait la même chose pour les hommes.
Elle ne voulait pas l'embarasser... comme si lui ne le faisait pas pour elle, mais elle butait, et puis elle ne voulait pas agir de manière sadique. Elle voulait demeurer la plus cléùente possible même avec la souffrance.

Nier. Nier semblait être le meilleur plan à suivre. Nier tout en bloc. Fuir ? Elle y songea à de nombreuses reprises, mais cela aurait demontré sa culpabilité, le fait qu'elle n'ait pas l'esprit tranquille.
Ainsi, elle fit ce qu'elle faisait presque depuis le début de la conversation, elle nia xD

- C'est faux, pourquoi j'aurais peur des hommes ! C'est stupide...

Quitte à s'insulter soi-même sans sourciller, elle n'était pas comme Voldemort, elle n'avait pas un ego qui faisait trois fois le tour de la Terre.
Et elle aimait ça. Elle aimait tout ce qui pouvait le différencier de lui, le soulignait bien face aux autres et même si eux ne comprenaient pas, elle se sentait presque fière d'avoir su se délimiter de Lui.
Hedwige sentit la pression de la main de l'homme se resserer sur son poignet douloureusement, tandis qu'il semblait vouloir recevoir la monnaie de sa pièce.
Il hurla clairement les derniers mots, manifestant son impatience qui atteignait le sommum.
Sa seule réaction fut un frémissement d'apréhension. Elle ne pouvait pas. Elle ne le lui dira pas. On pouvait la torturer à mort, la coller toute l'année s'il le faut, jamais, au grand jamais elle ne dira quoique ce soit su_r elle. Butée, têtue, elle ne changera pas d'avis. Elle ne lui fit pas le plaisir de répondre et demeura muette, renfrognée. Ne le regardant même plus dans les yeux. Prenant sur elle pour ne plus prêter attention à la proximité, à l'étreinte pressante. Elle ne pu s'empêcher de repenser au commencement. C'était de Sa faute... Sa faute si elle était devenue animagus, certes, mais aussi Sa faute si elle avait peur... Elle essayait de ne pas Le voir en chaque homme, mais elle n'y arrivait pas... C'était trop dur... Son ange ne l'avait pas aidé lorue ceci s'était deroulé... Elle avait serré son ourson et son médaillon, très fort, mais rien ne s'était passé... Ou plutôt, rien ne l'avait aidé...
Et puis avant, à l'orphelinat, lorsqu'on lui avait derobé l'ourson, et qu'elle le retrouva pendu, les yeux arrachés...
Ce fut peut-être pour cette raison avant tout qu'elle déserta l'orphelinat. Mais ce fut pour tomber sur Lui... Elle ignorait ce qu'elle aurait du faire. Si elle serait resté à l'orphelinat, tout aurait été si différent...
Ce fut ce petit ourson qui fit basculer sa vie toute entière...

Le professeur s'esclaffait presque en l'entendant parler. Il ne pouvait pas comprendre. Elle avait peur de Voldemort, il ne fallait pas croir. Ou plutôt, elle avait peur de lui ressembler. Alors elle voulait aider Harry à le tuer... Cela débarrassera la terre de cet homme, soulagera des peines, assoupira des désirs de vengeance et diminuera ses craintes....
Et si un jour elle venait à le remplacer ? Cette pensée la glaça.

*Je n'ai pas peur de mourir...* ne pu-t-elle s'empêcher de répeter dans son esprit à ses dires.

Elle n'avait pas peur de la mort, elle la savait douce, elle la savait belle et pleine de lumière.... Rien à voir avec ce viage noir, cette faux tranchante que tout le mnde lui donne, de son aspect froid, terrifiant et sombre.
Ce jour là, son ange sera là cette fois pour l'aceuillir... Pour léternité. Sûrement.

Elle avait juste peur que son ange l'abandonne à cause d'Evangeline, la laissant en enfers, ou même qu'Evangeline ne meure pas et prenne le pouvoir sun corps... L'esprit d'Hedwige sera mort, et la mauvaise partie sera resté. Et là, elle aura sûrement reprit le flambeau...
Elle avait peut-être peur de mourir et de laisser les autres aux mains de la vampire.
Mais elle n'avait pas peur des océan baignés de lumière, du sentiment paisible et serein d'un sommeil langoureux et réparateur.

- Il reussira... fit-elle avec conviction au sujet de Harry.

Le professeur se mit à tousser, éprouva des difficultés à parler ou respirer. Il semblait même s'etouffer, le rouge montant à ses joues comme manquant d'air. Il semblait si énervé qu'il se mettait à tousser sans pouvoir se contrôler, avant d'annonçer le fameux motif des retenues d'une voix entrecoupé.
Elle le fixa d'un air torve. Non respect pour un supérieur ?
Et est-ce que lui avait le moindre respect pour elle, lui ? Elle ne pu s'empêcher de répondre :

- Je vous respecterais sûrement mieux si vous en faisiez autant pour moi.

Elle ne l'insultait pas, elle faisait juste une.. hmmm, remarque... De sa baguette, il leva soudain son bras pâle. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'une inscription en lettre noire s'y grava, lui rappelant de manière sinistre la céremonie pour se faire attribuer la marque...
" en retenue ".

Ses joues virèrent à un rose confus, oscillant entre honte et outrage.
Elle plaqua vivement sa main sur l'inscription, l'encre semblait sèche comme si jamais elle n'avait été fraiche.
Et elle ne pouvait l'enlever, sous peine d'avoir des inscriptions semblables sur le front, le dos, bref un peu partout ce qui aggraverait son cas.
Elle ne sut pas même comment réagir, contemplant de manière.. decalée, ailleurs, surprise, horrifiée la marque sur son bras.
Heureusement qu'elle n'avait jamais eu la marque des ténèbres.. Sinon il l'aurait sûrement remarqué. Et si elle se cachait l'avant bras gauche, les autres allaient se poser des questions... Mais elle n'allait pas se promener avec... ça !
Elle aurait voulu manifester son mécontentement, ouvrit la bouche, la referma, lui jeta un regard empli de fureur. Puis, un peu sèchement, avec brusquerie elle s'absorba de nouveau longuement à s'attarder à son sac qui se faisait bien long à venir.
Elle chercha même pendant un instant un moyen de faire disparaitre ses livres, et dire qu'elle les avait oubliés, bref elle était vraime,t prête à faire n'importe quoi en ce moment même.
Elle n'eut pas le temps de sortir sa baguette, déjà par la légère angoisse faisant tressaillir ses mains mais ausis par l'imaptience légendaire du professeur, qui lui arracha le sac des mains.
Elle se redressa aussitôt, perdant le self-contrôle qui la maintenait plus ou moins calme jusqu'alors. Elle manq elle-même de s'étrangler, et fut séduite à l'idée de disparaitre elle-même tout court... Ici... Maintenant... Par exemple, que le sol s'ouvre sous ses pieds et l'absorbe à jamais...

Trop tard. Le temps sembla s'arrêter pour elle alors que le professeur tomba en plein sur la page X. Même son écriture volontairement lisible pour le dissimuler le plus possible, à son expression sur le visage, il semblait tout à fait avoir comprit.
Comme prit d'une nouvelle si abracadabrante qu'elle semblait impossible, il lui soutira de nombreux autres livres sous son regard impuissants. Evidemment, tous annonçakit même nouvelle.
En trois mots, il venait de comprendre plus ou moins clairement pourquoi, comment et surtout qui.
Il reposa sur elle un regard empli de... elle ne parvenait pas à décrire. Elle s'absorba un intant à tenter de sonder son esprit. Colère ? Haine ? Surprise ? Rire ? Amusement ? Non, il ne semblait pas amusé du tout.
Comme lors de sa quinte de toux, son visage virait un peu au rouge, signalant une explosion imminente. Cette fois, Hedwige tenta vraiment de se faire toute petite.
Sa voix fut presque douceureuse lorsqu'il parla. Mauvais signe.

¤Hedwige Malicia Jedusor. Chouette de Harry Potter ? Descendante de Tom Marvolo Jedusor ? Celà interesserait certainement l'Ordre de savoir qui vous êtes ! Vous n'êtes qu'une ... qu'une ..¤

Cette fois, il désirait vraiment l'insulter directement, mais ne pouvait pas. Ce qui la boulversa encore plus. Il respecta cette fois son statut de profeseur, mais pour une cause réelle et gravissime. Pas pour une simple moquerie. Elle se recentra sur elle, réalisant s'ne être désinteressé trop longtemps.
Panique. Oui, cela se rapprochait assez bien du sentiment alarmant qui la parcourait toute entière. Elle en aurait presque pleuré.
Malgré elle, elle faillit jeter l'éponge, se résigner, lorsqu'une idée lumineuse lui vint à l'esprit tandis que la phrase, dure, jaillit du professeur.

¤Qui est-il .. Votre père ? Ne vous aurrait-il pas reconnu ? Un abandon ?¤

En fait, plusieurs idées, même si certaines étaient trop tirées par les cheveux.
Elle fit précipitemment, développant au fur et à mesure :

- Ces... Ces livres ne sont pas à moi.

Respirant une grande bouffée d'air, elle poursuivit, retrouvant un état à peu prés stable :

- Je.. On me les a donnés parce que.

Ctete idée était bien claire, bien précise, mais dire ce qu'elle s'apprêtait à dire était plus difficile, donnant de la poudre à canon à l'ennemi.

- ...Parce que je n'ai pas pu en acheter. Déjà, je n'étais pas censée venir ici, je.. viens de BeauxBâtons et... le décalage, la précipitation, vous comprenez - de plus, je n'avais pas l'argent nécessaire alors... On m'a donné ces livres quersonne ne voulait. Le nom... inscrit n'est pas le mien, il appartient à son ex-propriétaire, qui a quitté l'école l'année dernière et personne n'a reussi à effacer l'encre... Sans doute un maléfice, car à chaque fois qu'on tentait d'arracher une page, l'inscripti apparaissait ailleurs et...

Elle se mit à parler rapidement, construisant une histoire au fil des mots qui devenait de plus en plus fluide et facile à manier.

- ... il n'avaient pas d'autres livres en résèrve, c'est pour cela que...

Elle continua à dire d'autres phrases un peu tirées par les cheveux mais renforcées par son apparente assurance, jusqu'à ce qu'elle prenne un lvire des mains du professeur de vol et l'ouvre à la dernière page, désignant le pseudonyme inscrit dessus: Cassandra S.

Heureusement qu'elle avait prit la précaution de l'aider, du moins ce n'était pas vraiment une précaution vu qu'elle l'avait griffoné en cours d'histoire, dans une de ses mornes passades, la tête entre les mains.

-... Donc j'ai rectifié. Mais je ne voulais pas que vous pensiez que j'étais cette fille ce purquoi j'ai voulu arraché la page, vu quil faut quelques minutes pour que l'écriture réapparaisse...

Ce fut certainement la parole la plus longue et la plus complète qu'elle lui ai jamais fit depuis le début de la conversation; booostée par le sentiment d'urgence et de panique.

Lorenzo avait quant à lui la situation bien en main. Il était en situation de monopole du pouvoir. Il était on ne peux plus lisible et imprévisible façe a ses propos. Il était formel et impartial. Lorenzo était l'Homme à faire peur. L'Homme à faire trembler. Son interlocutrice semblait à la fois paniquée, rebelle, sûre d'elle, mal à l'aise, appeurée... Une lunatique ou une skyzophrène. Elle semblait avoir différentes personnalités. Passer de la rage à la crainte et inversement semblait tiré par les cheveux. Le lunatique n'était pas aussi poussé.

Cette élève cachait plus de chose qu'elle ne le laissait paraître. Cela coulait comme de l'eau sur de la rôche. Ainsi, Lorenzo en avait le coeur net. Le jeune homme faisait peur a l'élève. Bien que celle-ci annonçait éperdument que c'était totalement faux. Comment osait-elle mentir ? Elle n'était ni en situation, ni en avantage. Tout jouait contre elle. Même elle même.. Elle était sa première trahisseuse. Ni plus, ni moins.

Lorenzo éclata de rire lorsque Hedwige lui annonça qu'elle n'était point appeurée par les hommes. Là encore, elle semblait pathétique dans son rôle d'élève soit disant sûre d'elle. Mais quelle empothée ! Mais quelle imbécile ! Lorenzo avait trouvé le paquet ! Quelle horreure. Quelle plaie. Cette fille était une véritable idiotie à elle même. Lorenzo ne se doutait pas de tomber sur une personne de ce genre

- Effectivement c'est STUPIDE ! Mais vous en avez peur, ne le niez pas. Ne niez pas ce qui est evident !

Elle avait aucune roue de secours. Elle n'avait pas nier. Ni devant un professeur, ni devant lui, Lorenzo ! Elle devait stopper ses enfanteries, ses gamineries et sa façon de se croire royalement superieure. Certes Lorenzo se le croyait également. Mais il en avait tout les pouvoirs, tout les droits. Il ne se génait pas pour le lui montrer.

Lorenzo ressera son etrainte au poignet. Une légère marque éphémère en résulterait certainement. Il detestait qu'on agisse ainsi avec lui. Il allait finir par serieusement lui porter atteinte physiquement. Les nerfs étaient à bout. Il était à bout. Il ne fallait pas le pousser à bout, la provocation le rendait violent. Vraiment violent. Et elle l'avait fait. D'une manière générale, elle l'avait provoqué. Tôt ou tard, elle allait en subir les conséquences.

- Je n'en doute point. Et celà ne sera pas grâce à vous. Jamais il n'a parlé à votre égard. Sa pensée envers vous ne serait pas génératrice de sa victoire. Vous n'êtes d'aucune utilité ! Ni pour personne d'autre d'ailleurs.

Ce que Lorenzo essayait de dire, c'était, qu'en faite, Hedwige pouvait mourrire, la terre ne s'en porterait que plus garrante. Quelle méchancetée.
Un monstre se cachait en cet homme. Hedwige s'était frotté à lui, elle allait le payer cher. La nouvelle phrase qu'elle traita était la plus dévastatrice !

- JE VOUS INTERDIS !

Il ne dit rien d'autre. Là, son geste parta tout seul. Il la giffla violament, mais pas assez pour être un vrai coup. Là, elle avait été trop loin. Vraiment... Il était tolérant, si on pouvait appeler cela de la tolérance, mais pas jusqu'à ce point là. Il était professeur. Il avait le droit de parler ainsi à une élève, rien ne lui interdisait. Son geste était déplacé certes, mais elle était sur le siège éjectable. Elle le dénonçait, elle se ferait elle même renvoyé. Lorenzo en avait beaucoup apprit. Assez pour l'amener droit devant les mangemorts ou au tribunal des sorciers.

Lorenzo remarqua l'envie préssante de l'élève à vouloir faire disparaître ses livres. Pathétique. Quelle imbécile sans cervelle ! Ne savait-elle donc pas à qui elle se mesurait ? A quel point il était facile de remarquer ses intentions ?? A prioris non. Ainsi, elle barratina tout une histoire à dormir debout. Lorenzo n'avait pas envie de l'entendre.

- ASSEZ !

L'élève continua sur l'histoire de ces soit-disant livres qui n'étaient pas siens avant. Bien évidemment. Comme par hasard, c'était tombé sur elle. Lorenzo arracha le sac de l'élève et en sortit un parchemin. Il analysa l'écriture qui s'avéra être exactement la même que celle qui se trouvait sur les livres et comme sur tout les parchemins d'ailleurs.

- CA SUFFIT ! EPARGNEZ-MOI VOS HISTOIRES ! L'ECRITURE VOUS APPARTIENT !

Alors que la voix de l'élève était tremblante et hésitante, celle de Lorenzo n'épprouvait aucune hésitation, comme si sa toux précédente n'avait jamais eu lieu. Il était on ne peux plus énervé. Il renvoya les livres par terre, les jettant violamment. Il jetta également le sac et les parchemins, ces derniers planant avant de s'éparpiller un peu partout autour d'eux. Jamais Lorenzo n'avait parut plus terrifiant qu'à ce moment là. Jamais. Il sortit de nouveau sa baguette et la dirigea vers l'élève.

- ENDOLORIS !

Hj : ça chauffe Laughing

Dj : Cette fois, Hedwige sentait raimentque la discussion atteignai le point de non-retour. Si elle ne tournait pas les talons maintenant, il sera trop tard. A choisir entre un momet de honte ou une cuisante souffrance de toute une vie, son choix était déjà fait.

Pourtant, lorsqu'elle voulut reculer brusquement, elle fut aussitôt ramenée à lui, et une douleur élançant son poignet lui rappela un tout petit détail : il la tenaillait de sa poigne de fer. Ainsi donc, le point de non-retour était déjà atteint.
Il était trop tard. Désormais, elle devait survivre. Survvre à ses attaques, morales, physiques, sentimentales, quelle qu'elles soient, et ceux durant toute l'année s'il le fallait. De toute évidence, le professeur ne la portait pas dans son coeur et ce pour diverses raisons : sn apparence particulière, sa vulnérabilité et son caractère rebelle tout à la fois, son statut de victime mais aussi de conquérant. Le fait aussi qu'elle soit une fille, et pas un homme, ses secres, ses mystères l'entourant qui eurnt tôt fait de lui taper sur les nerfs.

Elle ne demandait pas mieux, de partir et ainsi lui épargner sa présence XD Mais visiblement il ne l'entendait plus de cette oreille et avait la curiosité bien trop à vif pour la lâcher de sitôt.
Son coeur battait comme celui d'un peit oiseau affolé et prit au piège depuis un certain temps, martelant sa poitrine et couvrit presque la voix du professeur qui semblait manifestement persuadé maintenant de sa frayeur envers les hommes.

Par chance, il ne la raillait pas encore sur ce point. Puis, tout fut vide. Son regard ambré ne refléta plus la moindre émotion, comme si son âme était patie un bref instant vers de lointains rivages. Elle ne faisait désormais plus qu'encaisser, comme un bouclier victime des mêmes coups montones, elle ne prêtait même plus aucune souffrance à ses paroles. Pas la moindre réaction. C'était le mieux à faire. Les agressions verbales devenaient normales. Quotidiennes, simples, essentielles. Et elle se contentait d'être là, juste pour que ces paroles aient une cible, mais ne l'atteigne jamais. Son esprit était ailleurs, loin, très loin, essayant de nouveau de retrouver so ange perdu...

Même la pression douloureus autour de son poignet ne la fit pas ciller, même si sa respiration s'accentua légèrement. Certe, la douleur n'était pas ignorée, des fourmillements parcourant son avant-bras de maière désagréable.
Elle dû cependant revenir rapidement à la réalité lorsque, totalement excedé, le professeur ne rtint pas son geste et sa main fendit l'air pour s'abbatre sur sa joue pâle. Sous le choc, la tête se tourna légèrement, et malgré la lutte qu'elle avait menée, une larme parvint à s'échapper de la prison de ses cils blancs.

Tel une goutte de pluie isolée, loin de s'attarder sur sa joue elle fut aussi entraînée par le coup, à quelques millimètres de son visageelle plongea dans le vide pour s'écraser au sol.

De ce simpl choc à peine perceptible de la goutte d'eau qui s'écrase en mille éclats de verres, une sensation de brûlure envahit sa joue atteinte tandis que la même brûlure cuisante la parcourue toute entière, pour persister finalement aux niveaux de ses yeux nimbé de ce voile de larme menaçant de tomber. Elle ne tourna même pas la tête, restant ainsi, inclinée,ses cheveux blancs masquant en partie son visage et la trace rougeâtre parsemant sa peau pâle. Ce n'était qu'une cicatrice de plus... elle en portait tant, en elle, sur elle, dans elle, elle en avait partout, en était souillée, et cette salissure ne partira jamais...

Et, à travers son regard légèrement flou de cette souillure, elle vit le piège se refermer sur elle et l'avaler toute entière. S'il avait atteint ce stade, il ne se gênera pas pour en répeter d'autre, et si jamais elle s'en plaignait, Kyarah ecoutera surement mieux Lorenzo qu'elle, cette gamine de seize ans tout juste, bâtarde de Voldemort et complètement jetée, surtout les nuits de pleines lunes..

Seuls ses lèvres tressaillaient, comme tremblantes, mais les larmes restaient ancrées en elle, refusant fermement de partir, s'ajoutant un peu plus encore à tout ce fond de douleur.
Ses bavardages étaient inutiles. Elle venait d'être trahie, perçée à jour, souillée un peu plus et surtout trahie par l'enceinte de Poudlard. Un endroit qu'elle pensait sûr. Qui fut sa seule véritable maison... Un endroit où elle grandit, avec Harry. Tout ce petit monde, qu'elle avait mit tant de mal à construire, s'écroulait devant ses yeux craintifs par un seul être, un être qui n'était qu'un prétentieux qui avait finalement reussit à la détruire...

Elle ne tourna même pas le regard vers lui lorqu'il s'emporta de nouveau au sujet de son histoire à dormir debout. Elle s'attendait presque à recevoir une seconde gifle.
Etre renvoyée, plutôt que vivre ça, non, elle ne pouvait pas. Ce qui l'attendait dehors était bien pire... Son destin, son passé, ses origines, ses craintes... Ses angoisses... Sa solitude. Ce serait comme si elle était déjà promise à la rue, mariée à la peur, esclave de Voldemort, une coquille sans vie, sans âme..

Il saisit sn sac d'un gest brusque, sortant ses parchemins, dans une rage noire.

¤ CA SUFFIT ! EPARGNEZ-MOI VOS HISTOIRES ! L'ECRITURE VOUS APPARTIENT !¤

Ainsidonc, ce fut la seule faille qu'elle avait negligée...Son écriture... Bien évidemment... C'était a même écriture.. Hedwige, l'héritière de Salazar Serpentard, la fille érise de Harry, la fille craintive des hommes, la bâtarde de Voldeort, la vampire syphonnée, la schizophrène, l'imprévisible, tout ces êtres étaient la seule, même et unique personne...
Il rejeta ses affaires ausol, qui s'écrasèrent en millier de débris de vie. Son histoire delavée sur ces papiers jaunies, à l'encre de ses larmes, à l'encre de son sang, ces histoire melo-dramatique d'une enfant qui survie, papillon glacé et cocottes en papier...

Encore une fois, elle ne le regardait plus. Comme figée dans cette position, depuis la gifle qui fut comme une dchirure entre le respectable et l'affrontement véritable.
Elle entendit à peine le sortilège impardonnable prnoncé avec hargne, moucheté d'une haine non prouvée, pour fondre sur elle... Elle ne chercha pas même à l'éviter... pour elle, tout était déjà fini, même si Kyarah était déjà au courant, on venit de la percer... a souiller... la trahir... Cracher sur son histoire si fraichement deterrée, la blesser de toute les manières possibles...

Le sort la heurta en pleine poitrine, et comme frappée d'une force invisible, elle bascula en arrière dans un cri muet de souffrance imperceptible malgré sa bouche entre-ouverte.
Les larmes tant retenues finirent par se libérer en flot continu, aussi incontrôlable que la fougueuse douleur la traversant toute entière.
Se cambrant au sol, percée de part en part par ces épées invisibles qui lui déchiraient les entrailles, la chair, le coeur, ses paupires scellées comme deux ailes grises qui ne parvenaient à retenir pourtant les larmes cristalline maculant ses joues, dont une endolorie..

Ses ongles rentrèrent dans sa chair, tirant sur le tissu de ss vêtements, crissant sur le sol du hall ou même se crispant dans ses cheveux, des gémissements ou des cris etouffés seuls émergeaient, si faibls et si petits par rapport à cette douleur qui la rongeait et lui donner l'impression de mourir, chaque secondes...
Ces lames acerées meurtrissant chaque parcelle de sa peau, éveillant de vieilles cicatrices, lui brûlant les entrailles, le creux de son cou portant la trace vampiresue, lui brûlant le ventre surtout.

Sa main échoua sur un des parchemin effleurant sa peau, et ce contact lui fit comme l'effet d'un essaim d'insectes la piquant tous en même temps de leur dards empoisonnés, et pourtant ses doigts se refermèrent sur la feuille, à l'en chiffoner, à l'en déchirer, et ces insectes e firent plus dur, plus assassins... Des sanglots étreignait sa gorge, en plus de cette souffrance inimaginable s'ajoutait celle de son âme dechiré, toute cette douleur la cuisant si fort à toutes ces cicatrices... Cette déchirure interieure... la sensation d'être écartelée... la trahison... la souillure... la souillure surtout.

Ce n'était plus de l'archament, mais un veritable massacre auquel Lorenzo participait. Il faisait mal aussi bien moralement que physiquement a cette jeune élève. Mais quelle mouche l'avait piqué ? Mais qu'avait-il mangé ce matin pour qu'il soit ainsi ? Mais que lui avait-on fait ? C'était à croire qu'il était contrôlé. Cette violence, envers quelqu'un qui n'était normalement pas du camps adverse était étrangere à Lorenzo, jusqu'à aujourd'hui ... Etait-il devenu un autre homme ?

Lorenzo tendait toujours sa baguette envers Hedwige, rouée au sort sous la force du sortilège impardonnable avec lequel il venait de la toûcher en pleine poitrine. Une élève normale ni aurrait pas survecue. Avait-elle le méthabolisme de son père ? Chose à étudier... Une de plus !

Lorenzo, à ce moment là agissait comme Anakin, de manière inconscience et insolite. La colère l'amplissait d'amertune et de méchanceté. Des larmes de rages apparaissaient ! Il grimaça et son bras tremblé comme s'il essayait de l'aggrandir pour atteindre directement la poitrine de l'élève. Ce fut à ce moment là qu'il comprit son geste. Son bras faiblit et lâcha. Le sort, quant à lui, fut annulé. L'élève n'était pas morte, ni blessée, à première vue. Elle transpirait de douleure à cause de l'archanement de Lorenzo.

L'Italien lui aussi transpirait. C'était comme si toute la force qu'il venait de déployer en ce sort se puisait en lui. Il était à présent faible et épuisé. Il était essouflé. Il ne quitta pourtant pas des yeux Hedwige, non pas pour s'assurer de son état, mais seulement car il n'arrivait pas à s'en détacher.

Une goutte de sueure glissa de la chevelure de l'italien en même temps qu'une larme, de son oeil droit. Jamais, lorsqu'il était avec Sylia, il ne s'était imaginé faire autant de mal à une personne, aussi bien physiquement que moralement. Tout ceci était la faute de Sylia et personne d'autre. C'était à cause d'elle et sa rupture qu'il était devenu un monstre ambulant.

L'homme mit sa baguette dans son poche doucement. Il s'épongea le front et s'essuya les yeux. Il s'assura que personne n'était autour. A présent, Hedwige le regardait, à peine relevée et adossée sur ses coudes. Il la regarda longuement tout en ayant une respiration haletante. Ce ne fut que plusieurs minutes après l'affrontement à sens unique que Lorenzo reprit parole.

- Lundi soir, terrain de quidditch. Ce ne sera pas une partie de plaisir, ni pour vous, ni pour moi

C'était comme s'il avait craché ces paroles. Il n'attendit pas que l'élève acquiesa et parti en marchant sur ses affaires. Tout les parchemins étaient souillés, salis, déchirés, inutilisables. Quant aux livres... C'était la même histoire. Elle n'avait qu'à demander à son père de l'argent pour s'en râcheter de nouveau.

» Après l'horreur.
» Après un petit conflit
» Après une nuit agitée
» Après une nuit difficile
» Petit Détour Après Le Boulot [FE]