Première nuit sans tergiversations ?

[pour le titre, cherchez pas, je voulais le placer : tergiversations = hésitations, états d'âmes^^]

La danse fut courte...mais tellement agréable. Peut-être était-ce pour cela qu'elle avait paru si courte au jeune homme ? Sans doute. D'un autre côté, à la fin de la danse, il avait prit la main d'Andréa et ils s'étaient tout deux dirigés vers le parc.

L'air était doux...enfin, pour Gabriel, mais peut-être pas pour un humain disons..."normal".

"Tu n'as pas froid ?" demanda-t-il à Andréa. "Tu veux ma veste ?"

Ils firent quelques pas...

"Hum...je ne te remercierai jamais assez, Andréa...Et je ne m'excuserai jamais assez non plus...pour ce que j'ai fait."

Gabriel baissa les yeux, et passa sa main derrière sa nuque.

Puis, il s'avança vers Andréa avec un sourire et l'embrassa tendrement et langoureusement... Ses gestes, sa façon de la serrer contre lui, tout était passion.

Après leur danse, les deux amoureux s'étaient réfugiés dehors pour être seuls. Ils étaient près du lac. Andréa n'était aps revenue ici depuis le dernier bal, où elle avait failli mourir, une fois de plus...
Mais ce soir, c'était différent elle était avec Gabriel. Il faisait fraid et Andréa fut ravie que Gabriel lui propose sa veste.
Elle fit un sourire

Merci beaucoup. Tu es vraiment magnifique ce soir..

Il marchérent quelques instants puis Gabriel la remercia et s'excusa pour ce qui c'était passé. Andréa ne savit pas quoi dire. Certes d'un coté elle lui en voulait car elle avait beaucoup souffert. Son visage en avait encore les marques qu'elle avait tenté de cacher avec du maquillage. Mais elle était tellement heureuse de l'avoir retrouvé.
Il l'embrassa. Cette façon de l'embrasser la faisait fondre elle passa ses bras autour de lui.

Gabriel même si je ne pourrai jamais oublier ce qu'il s'est passé je ne t'en veux pas.

Elle était contre lui, elle le regardait tendrement, et caressait ses cheveux.

Tu n'as pas a me remercier pour ce que j'ai fait. Je n'allait pas te laisser tomber. Et puis ta volonté y est pour beaucoup car toute seule je n'aurais pas réussit et je serait morte a l'heure qu'il est...

Une question taraudait Andréa depuis son départ de l'infirmerie...

Qu'est il devenu?

Oui elle n'avait qu'une seule hantise: qu'il reprenne le dessus.. encore une fois. Elle ne savait pas si elle aurait encore la force de se battre

Gabriel l'avait aidée à passer sa veste. Andréa lui avait affirmée que, même si le souvenir et la douleur resteraient toujours présents, elle ne lui en voulait pas. Elle reconnaissait que lui aussi s'était battu, et cela soulagea le jeune homme. Il avait faillit tout laisser tomber, ne plus jamais revenir, ne plus prendre le risque de faire du mal aux gens...et en particulier à elle.

Une question brulait les lèvres de la jeune fille, qui la lui posa...

La question d'Andréa assombrit quelque peu le visage du jeune homme, qui bien que n'ayant pas l'air ni abattu, ni triste, sembla s'interroger sur lui-même.

"Je ne sais pas..." répondit-il.

Puis il se souvint vaguement, comme à travers un voile brumeux, de ce qu'il avait vu, et entendu en lui, dans son coeur, lorsqu'il était encore inconscient.

"Il est encore là, car il fait partit de moi, c'est mon sang, une partie de ma chair. Je ne peux pas le faire disparaître, ou bien je disparaitrais avec lui..."

Gabriel passa ses mains dans le dos d'Andréa, afin d'une part de la réchauffer, mais aussi parce qu'il ressentait le besoin insurmontable de la combler de tout l'amour et la tendresse qu'il possédait.

"Mais je pense que j'ai compris, qu'au lieu de le rejeter, il faut que j'accepte qu'il soit là, et que je l'empêche juste de trop se manifester. Pour l'instant, je n'ai pas eu le moindre problème... Je pense que tout cela m'a appris à avoir un peu plus confiance en moi, et c'est cela qui le retient, qui' l'empêche d'agir..."

Il déposa un baiser sur la joue d'Andréa.

"C'est toi qui m'a redonné confiance...depuis le premier soir..."

Sa question assombrit Gabriel. Mais tant pis, elle devait la poser, même si elle connaissait en partie la réponse. Elle savait bien que son coté vampire faisait partie intégrante de Gabriel et qu'il ne pouvait s'en débarasser. Elle s'y ferait.

Il passa sa main dans le dos d'Andréa.... le contact était si agréable.

Je sais que c'est une partie de toi et je ne t'en voudrai jamais d'être ce que tu es. On a tous nos petits défauts... Les tiens sont justes un peu spéciaux..
S'il se manifeste, laisse le s'exprimer. Il faut tout faire pour qu'il en prenne plus le dessus.

Elle se blottit contre lui et l'embrassa avec passion. Carressant son dos, puis son torse.

Je t'aime. Je ne veux pas te perdre. Tous les deux ont réussira a s'en sortir.

Elle reprit ses baisers et ses caresse. Plus rien ne comptait pour Andréa. Seulement Gabriel.

Quand Andréa parla de ses défauts..."un peu spéciaux", Gabriel ne pu s'empêcher de sourire. Mais il conservait toujours en lui un peu de cette peur, la peur que cet autre ne reprenne possession de lui, encore... Et qu'il agisse à sa guide, semant la terreur.

Mais les baisers et les caresses d'Andréa le rassurait. Il est vrai que, lorsqu'elle était avec lui, il lui semblait que tout était soudain plus facile, même le contrôle de son démon. En revanche, il savait aussi que s'il venait à se montrer faible, ou résigné, ou même ne serait-ce qu'un peu triste...il le sentirait et reviendrait.

C'était les failles du jeune homme qu'aimait le vampire qu'il avait dans son coeur. C'était elles qui lui permettaient de sortir, de se montrer.

La nuit entourait de son voile les deux amants. La nuit...le vampire l'aimait, il choisissait ces moment là pour se montrer, mais Gabriel se sentait serein, et n'avait pas l'impression qu'il se montrerait cette nuit.

"Viens."

Il prit la main de la jeune fille et l'entraina sur les rives du lac. Il n'y avait presque pas de nuages, le ciel était étoilé, et un croissant de lune éclairait quelques peu la surface de l'eau.

Prenant le temps d'admirer ce paysage nocturne, Gabriel s'assis sur la rive caillouteuse du lac, et invita Andréa à faire de même.

Gabriel sourit a la remarque d'Andréa ce qui lui fit plaisir. Elle aimait le voir ainsi.
Elle voulait contribuer a son bonheur, s'occuper de lui. Toutes ces choses que l'on fait avec sa propre famille. Mais voila, Andréa n'avait plus de famille depuis bien trop longtemps. Depuis des années elle ne s'occupait que d'elle se moquant éperduement des autres.
Mais tout avait changé depuis qu'elle avait rencontré Gabriel. Lui non plus, n'avait pas de famille. A présent ils avaient besoin l'un de l'autre pour avancer.

Il l'emmena au bord du lac où ils s'assirent tous les deux. Ils étaient seuls, avec pour seule lumière la lune et les étoiles.

Elle se rappela alors les denriers evenements

J'ai vraiment eut peur tu sais. Pas vraiment de mourir, mais....... de te perdre.....

Elle prit sa main dans la sienne et le regarda.

J'ai vraiment failli le laisser me mordre. J'ai vraiment failli te laisser tomber... Je m'en veux d'y avoir pensé.

Elle s'en voulait vraiment malgré le fait qu'elle n'ai pas abandonné. Elle y avait tout de même songé alors qu'elle n'aurait pas dû...

Gabriel écouta en silence les paroles d'Andréa, mais de toute évidence, comment pourrait-il lui ne vouloir ? Elle prit sa main, plongea son regard dans le sien... Non, jamais il ne lui en vourait, elle l'avait aidé, et ce qu'elle a pensé lui importait peu...

"Tu l'as pensé, mais ce qui importe, c'est ce que tu as fait... Or tu ne m'as pas laissé, tu m'as aidé, j'ai entendu ta voix, même lorsque j'étais...lui. Tu avais confiance en moi, tu étais sûre de moi, et cela m'a redonné confiance, et espoir..."

Pour la première fois depuis longtemps, il se sentait libre.

Il s'allongea sur les galets. Le soleil de décembre avait beau être pâle, il avait néanmoins chauffé un peu toute la journée, et les galets avaient gardés de cette chaleur...
Les bras croisés sous la nuque, le regard perdu entre deux étoiles, il ne pouvait s'empêcher de repenser à ces dernières heures, si intenses en émotions, en événement...

Il soupira, puis ferma les yeux quelques secondes, juste le temps de mettre de l'ordre dans son esprit. Il était là, il était lui-même, et il était avec elle...que demander de plus ?

Lorsqu'il rouvrit les yeux, il vit qu'Andréa le regardait toujours, comme attendrie. Il lui fit un sourire et lui dit, dans un murmure, quelques mots qui s'envolèrent dans l'air de cette nuit soudain devenue si belle :

"Je t'aime".

Oui, elle avait eu confiance en lui. Mais elle avait hésité. Elle n'aurait jamais dû douter de lui, jamais....
Mais il avait raison sur un point, elle l'avait aidé et c'est grâce a cela qu'il était revenu. C'était le principal après tout...

Gabriel s'allongea... Andréa l'admirait. Elle se dit qu'elle avait vraiment de la chance malgré tout. Elle avait trouvé quelqu'un qui la comprenait, quelqu'un qui lui faisait oublier ses soucis, et qui lui faisait redécuvrir le bonheur.... Que demander de plus?!

Lorsqu'il lui dit "Je t'aime", Andréa sourit. Dans la bouche de Gabriel, ces mots résonnaient telle une mélodie.

Je le sais...

Elle s'alongea a coté de lui, posant sa tête sur la poitrine de Gabriel.

Moi aussi je t'aime.

Elle espérait vraiment que ce bonheur dure toujours. Elle espérait passer sa vie a ses cotés. Mais qui sait ce qui peut arriver dans l'avenir?

Gabriel était bien, ce qui pour lui était assez exceptionnel, et rare... Habituellement, il avait toujours des remorts ou des regrets, quelque chose à se reprocher, un combat intérieur à mener...bref, quelque chose qui l'empêche d'apprécier à se juste valeur un état simple, la contemplation...

Andréa avait posé sa tête sur son torse, couvert pour une fois d'une chemise blanche, et non noire, comme de coutume.

Gabriel saisis ses épaules, et l'invita à venir un peu plus sur lui, au dessus de lui, pour qu'elle l'embrasse.

"Je t'ai beaucoup imposer mes actes ces temps-ci...toujours en fait... Je suis à toi, ce soir."

Une invitation tellement tentante...

Andréa était la allongée a coté de Gabriel, sa tête reposant sur son torse. Elle ne réfléchissait plus, ne pensait plus a ce qui s'était passé les jours précédents. Elle était enfin seraine...

Elle senti les mains de Gabriel sur ses épaules pour qu'elle viennent un peu plus sur lui... ce qu'elle fit sans hésiter.
Elle déposa un baiser tendre sur les lèvres de Gabriel quand il lui dit: Je suis à toi, ce soir."...

A cette phrase Andréa ne put s'empécher de sourire, un sourire....ravi.
Elle passa alors sensuellement sa langue sur les lèvre de son amant. se redressa, d'une main defit son chignon pour laisser retomber ses cheveux et commenca a déboutonner la chemise de Gabriel.

Un fois ouverte elle commenca ses carresses, ses baisers...

On pourrait nous voir...

Mais cela la fit sourire. Ce n'était pas une chose qui la génait.

La langue d'Andréa...voilà qu'elle commençait fort... Gabriel la laissait faire, comme il l'avait promis. Il avait beau être d'un naturel dominant, notamment par son côté vampire, il aimait assez cette sensation d'être entièrement à la merci d'Andréa...

Elle déboutonna sa chemise, son torse était chaud...toujours...lui qui n'avait jamais froid.

"On pourrait nous voir ? Et alors ? Ils penseraient sûrement : "quel jeune homme chanceux!"

Gabriel sourait. Il se mordit la lèvre, tant les baisers sur ton torses semblaient brûlant. Ses mains glissaient sur sa peau. Le torse du jeune homme se soulevait au rythme de sa respiration.

"Je ne tricherai pas...je te le promet... tu peux faire ce que tu veux..."

Cette voix...il la poussait à se lâcher, complètement, sans aucune restriction. Il lui devait bien ça.

Cela fit plaisir a Andréa que Gabriel se moque d'être apperçu. Elle même n'en avait que faire.
IL appréciat ses caresses, il se mordit la langue lorsqu'Andréa emrassait et caressait son torse...

Au moment au Gabriel lui dit: "Je ne tricherai pas...je te le promet... tu peux faire ce que tu veux..."
Andréase redressa eut un sourire presque pervers, et passa sa langue sur ses lèvres...... Faire tout ce qu'elle voulait... Il jouait vraiment avec le feu. Elle remonta alors vers la bouche de Gabriel et y déposa un baiser avant de se diriger vers son oreille pour lui mordiller le lobe et lui murmurer:

Tout ce que je veux.... Tu n'as pas peur... Tu sais une fois que je commence... je ne sais plus où m'arrêter...

Elle regarda Gabriel, passa une main sur le bouton de son pantalon. Elle se remit a l'embrasser, d'abord le cou, puis le torse, sans oublier de lécher au passage ces deux tétons offerts a elle... Elle enleva le bouton du pantalon... De ses mains elle continuaient ses carresses. Ses baisers descendant toujours un peu plus. Elle était arrivée au niveau du nombril de Gabriel mais elle descendit encore... jusqu'au bas ventre.... Le pantalon de Gabriel était entièrement déboutonnée...
Allait elle s'arrêter là...............?

"Peur... ? Moi ? Jamais..." dit-il d'un ton amusé. "Surprends-moi !"

L'une des mains d'Andréa s'appliquait à lui défaire son pantalon, pendant qu'elle l'embrassait, d'abord sur les lèvres, puis dans le cou...puis descendant de plus en plus, pour rejoindre cette main si impatiente.

Gabriel sentait sa respiration s'accelérer, et cela se voyait... Le haut de son torse se soulevait de manière plus saccadée et plus rapide que quelques minutes avant.

Les lèvres d'Andréa s'attardaient sur son nombril...allait-elle aller plus loin ?

Comme pour lui signifier qu'il le voulait, Gabriel eut un soupir rempli de désir.

Abandonné à elle, il ne se sentait pas en danger, même s'il ignorait ce qu'elle allait bien pouvoir lui faire...ni où elle allait s'arrêter.

Andréa ne s'arrêta pas...elle lui baissa son pantalon, juste assez pour pouvoir le caresser dans ses parties les plus intimes. Gabriel se mordit la lèvre un peu plus.

Il lui avait dit de lui faire tout ce qu'elle voulait, et elle lui faisait plaisir...

"Ah..."

Ce n'était plus les mains d'Andréa... Gabriel passa ses mains sur son visage avant de les reposer sur le sol. Il leva les yeux vers les étoiles...puis les ferma, savourant cet instant de pur plaisir, le corps bouillant.

Se laisser dominer n'était pas si mal que ça...il finirait même pas y prendre goût...

Gabriel se mordait la lèvre de plus en plus fort pour s'empêcher de lâcher le moindre son... Quand Andréa eut "fini", il reprennait peu à peu une respiration normale, mais en voulait encore...

Elle se mit sur lui, lui demanda si elle l'avait assez surpris à son goût, et l'embrassa avec une violence qui n'était pas pour lui déplaire.

"Oui..." souffla-t-il lorsqu'il pu enfin reprendre son souffle.

Il avait envie de passer ses mains sous la robe d'Andréa...mais il lui avait promis de la laisser prendre le contrôle...alors il ne fit rien.

Mais elle lui avait donné beaucoup de caresses, il ne pouvait pas se montrer trop inactif... Il passa donc ses mains sur le corps d'Andréa, par dessus sa robe noire, en se disant que si elle l'empêchait de faire quoi que se soit, il arrêterait.

Les mains du jeune homme remontèrent et passèrent sur la poitrine d'Andréa, en dessinant les contours...

Gabriel essayait de reprendre une respiration plus "normal".
Andréa était satisfaite d'elle même. Même si elle se doutait qu'il allait aimer, le voir ainsi prendre du plaisir était réellement exitant...

Elle senti alors ses mains se poser sur elle... ses mains, ce contact...
Tout cela rendait Andréa folle de désir. Mais il n'alla pas plus loin, restant au dessu de sa robe.
Andréa entreprit donc de defaire la fermeture qui tenait sa robe et la fit glisser, dévoilant ainsi sa poitrine, ainsi que son ventre. Elle prit les mains de Gabriel dans les siennes et les déposa sur ses seins...

Touche moi.... A ton tour de me faire tout ce dont tu as envi...

D'un main, elle carressait le torse, le cou, et le visage de Gabriel. De l'autre... elle caressait l'endroit où sa bouche se trouvait quelques instants plus tôt...

Andréa oubliait carrément qu'ils se trouvainet au bord du lac un soir de bal. Lieu et moment ou ils pouvaient être surprit par n'importe qui. Tout ce qui comptait, c'était l'instant présent, Gabriel et elle, leur amour...

Andréa abaissa le haut de sa robe, dévoilant ses seins, que Gabriel effleurait déjà par dessus le tissus. Là, des doigts étaient sur la peau nue de la jeune fille.

Ses mains caressèrent le corps d'Andréa, l'une d'elles resta sur sa poitrine et son ventre, tandis que l'autre se glissait sous sa robe, remontant doucement le long de la cuisse d'Andréa.

Elle continuait ses caresses, elle aussi à deux endroits différents, dont un où il apréciait particulièrement la présence des doigts de la jeune fille.

il lui semblait que plus ses caresses se faisaient passionnées et ardentes, plus celles la jeune fille l'étaient aussi.

Ne pouvant plus tenir, Gabriel se redressa et renversa la situation en allongeant Andréa au sol, restant toujours collé à elle. Il passa son autre main sous sa robe et lui enleva ses sous-vêtements.

Alors que Gabriel caressait ses seins, elle sentit l'un de ses mains se glisser sous sa robe, remonter doucement le long de sa cuisse. A ce contact, elle ferma les yeux. Les caresses de Gabriel étaient de véritables moments de plaisir...

D'ailleurs elle remarqua également que ses caresses à elle, faisaient leur effets sur Gabriel.

Mais il craqua, il la renversa et se plaça sur elle. Elle sentait le corps de Gabriel collé au siens. Elle fit tomber la chemise déjà déboutonnée du jeune homme et passa ses mains dans son dos, le caressant, alors que Gabriel étaient en train de lui enlever ses sous vêtements...

Elle passa ses jambes autour de lui, le serrant contre son intimitée... Elle s'empara a nouveau de ses lèvres avec passion. Elle sentait le corps de Gabriel tout aussi bouillant que le siens...

Elle fixait ses yeux, ses yeux bleus tellement magnifiques. Le regard d'Andréa était intense, et on pouvait y lire tout le désir qu'elle avait en elle.

Gabriel tenait Andréa contre lui, et ne la lâcha que pour qu'elle ôte sa chemise qu'elle avait déjà déboutonnée quelques minutes avant. Elle l'avait entouré de ses jambes, chose qu'il aimait particulièrement. Et sans même s'en rendre compte, il était déjà en elle. il faut dire que les caresses diverses d'Andréa avait éveillé en lui bien plus que du désir.

Il saisit la june fille par la taille et la redressa, tout en la gardant serrée contre lui. Ses lèvres avides de baisers allaient et venaient, sur les lèvres d'Andréa, dans son cou... Il descendait jusque sur sa poitrine où il embrassa langoureusement ses seins si doux.

Sa première proposition tenait toujours, si Andréa voulait agir de quelque manière que ce soit, il se laisserait faire.

Il s'était inséré en elle, ce qui valut un cri de plaisir qu'Andréa ne put retenir. Elle se colla à lui au maximum, voulant le sentir contre elle, en elle, encore plus intensément.

Il la redressa et se mit a l'embrasser, dans son cou, sur ses seins. Il n'y avait plus vaiment de tendresse mais une certaine violence qui éxitait d'avantage Andréa. Elle attrapa les cheveux de Gabriel pour un baiser encore plus profond.

Elle l'attira vers elle, l'allongeant a nouveau sur lui, continuant leur mouvement de va et viens.
Puis elle le poussa légérement sur le coté afin qu'elle puisse a nouveau se mettre assise, au dessus de lui.

Elle commença des mouvements de bassins d'abord lents puis petits a petits, elle accéléra, poussée par un désir ardent. Ses mains parcouraient le corps de Gabriel s'attardant même sur ses lèvres...

Elle ferma les yeux, profitant pleinement de tout ce plaisir qui s'accumulait en elle...

Elle aggripa ses cheveux, ce qui eut pour effet de rendre les baisers de Gabriel encore plus sauvages.

Ensuite, elle renversa à son tour la situation, pour le plus grand plaisir de Gabriel... Il se retrouva à nouveau allongé sur le dos, contre les galets chauds, Andréa assise sur lui, caressant son torse...

Elle menait la danse, et elle le faisait bien. Gabriel profitait de tout cela avec un plaisir non dissimulé, s'exprimant par quelques gémissements, et par ses caresses...

Ses mains allaient et venaient sur les cuisses de la jeune fille, puis sur son ventre, ses seins, et faisaient le chemin inverse...

Le plaisir était partagé, ce qui comblait d'avantage Gabriel.

Le moment n'était plus que caresses, baiser et passion. Gabriel gemissait tout autant qu'elle...

Elle sentait les mains de Gabriel parcourir son corps, allant de ses cuisses à ses seins et inversement...

Andréa se pencha sur Gabriel et tout en l'embrassa elle lui mordit la lèvre, tendrement, embrassant tour a tour son cou, son torse tout en continuant ses mouvement de reins qui se faisaient de plus en plus pressant et de plus en plus profond. Elle ne se lassait pas de l'embrasser, de le toucher, de le regarder.

Andréa avait le souffle court, et ne sentait plus la fraicheur qui regnait autour d'elle. Tout son corps était en ébullition.

La fréquence de ses gémissements augmentaient en même temps que la cadence de ses reins. Elle se mordait les lèvre pour éviter d'attirer l'attention mais ce n'était pas chose facile....

Puis elle s'alongea sur lui, les faisant tous deux basculer sur le coté afin qu'il se retrouve a nouveau a dessus d'elle, a nouveau maître de la situation..

Andréa le comblait de caresses te de baisers, elle lui mordit la lèvre, pour son plus grand plaisir.

Puis elle l'entraina sur le côté, le laissant gérer, à nouveau maître, rôle qu'il aimait tout autant.

Avec des gestes quelque peu brusque, mais sans lui faire mal non plus, il saisis les mains d'Andréa et les plaqua de chaque côté du visage de la jeune fille, sur les galets.

A son tour, il lui mordit les lèvres, veillant tout de même à ne pas la faire saigner, puis ses lèvres descendirent dans son cou, alternant baisers et morsure, laissant glisser ses dents sur sa peau.

Puis les mains du jeune homme lâchèrent celles d'Andréa, et passèrent le long de ses bras, puis sur sa poitrine et son ventre où elles s'attardèrent, rythmée par les mouvements du corps du garçon qui étaient de plus en plus soutenus, presque violent...mais il savait qu'elle aimerait.