Première nuit sans tergiversations ?

Un fois au dessus d'elle Gabriel prit la situation en main, en attrapant celles d'Andréa qu'il plaqua au sol, au niveau de son visage.
Elle aimait la sensation d'être a sa merci, de lui appartenir...

Gabriel, lui mordait les lèvres.... Mais pas comme la dernière fois où il l'avait fait. Cette fois ci c'était différent, il ne cherchait pas a lui faire mal, seulement à lui donner du plaisir... Il y arrivait si bien..
Sa bouche descendait, il l'embrassait, la mordait, alors qu'il tenait toujours les mains d'Andréa fermement contre le sol.
Elle passa a nouveau ses jambes autour de lui.

Puis il la lacha. Profitant de ce moment Andréa passa ses mains dans les cheveux de Gabriel. Alors que les coups de reins se faisaient de plus en plus violents, les gémissements d'Andréa se faisaient de plus en plus fort. Le plaisir en devenait incontrôlable.

De ses mains elle rapprocha le visage de Gabriel vers le siens pour l'embrasser. Le baiser fut tout aussi fougueux que les va et vient incessants de leurs deux corps.

Cette fois ci, c'était encore mieux que la première fois. Il n'y avait plus de complexe et les deux amants étainet totalement desinibés...

Alors que le visage de gabriel était proche du siens, Andréa murmura contre les lèvres du jeune homme.

Continue... fais...ce que tu veux..... je suis.... entiérement a toi...

La respiration d'Andréa était saccadée, elle avait le souffle de court et les nombreux gémissements l'empechaient de parler...

Andréa aimait...cela se voyait et...s'entendait. Gabriel en était que plus heureux, et prenait d'autant plus de plaisir qu'il la voyait en prendre elle aussi.

Elle murmura à son oreille...qu'elle était à lui...qu'il pouvait faire ce qu'il voulait...

Il rit. D'un rire clair...mais quelque peu vilain... Pas le rire du vampire, non, le rire d'un homme qui prend plaisir à dominer, autant qu'à l'être.

Il passa un bras sous les reins d'Andréa puis se redressa pour se mettre à genoux, entraînant la jeune fille vers lui en la cambrant. De l'autre main, il caressait son ventre et ses seins...puis descendait sur ses fesses, puis ses cuisses, les ramenant d'avantage vers lui.

Repassant les mains dans le dos d'Andréa, il plaqua ses lèvres sur son corps, mordillant sa chair si tendre. Les caresses de ses mains se firent moins douces, car il passait à présent ses ongles dans le dos de la jeune fille, mais ayant les ongles courts, il ne pouvait lui faire mal.

Sa respiration était rapide, au même rythme que ses coups de hanche. Il prolongeait le plaisir, voulait le faire monter chez sa partenaire...voir jusqu'où il pouvait aller...et où il pouvait l'entraîner...à elle.

Plus il la sentait frémir, plus il l'ententait gémir...presque au point de crier...plus il redoublait ses caresses, ses accoups, passant sa langue sur le bout de ses seins et ses ongles dans son dos.

Le rire de Gabriel était vraiment...... exitant. Ce rire prouvait qu'il ressentait lui aussi beaucoup de plaisir...

Il se redressa, se mit a genoux, tout en entrainant la jeune fille. Ses caresses se faisaient de plus en plus pressantes sur le corps d'Andréa.
Il la mordait, allant même jusqu'à la griffer... A aucun moment, il ne lui faisait mal.
Tout n'était que pur plaisir, pur bonheur...

Les mouvements de Gabriel étaient entrainés par les gemissements d'Andréa qui se faisaient plus intenses a chaque mouvements...

Lorsque Gabriel passa sa langue sur les seins d'Andréa, celle ci ce cambra d'avantage, agripant d'une main les cheveux du jeune homme et de l'autre carressant son dos....

Elle ne pouvait plus rien faire. Elle était totalement submergée par la désir, par la plaisir....
Tout son corps tremblait, tout son corps était en extase... elle ne contrôlait plus rien...

Tous les gestes et les gémissements d'Andréa faisait augmenter le plaisir du jeune homme, et le poussait à continuer, allant toujours plus loin dans ses caresses qui devenaient violentes. Il prenait toutefois garde à ne pas lui faire trop mal, juste assez pour que cette douleur se transforme et s'ajoute au plaisir qu'elle éprouvait déjà.

Il passa une main dans les cheveux d' Andréa, la serrant fort contre lui, la forçant à laisser tomber sa tête en arrière pour pouvoir embrasser et mordiller son cou.

Un coup de hanche plus violent et plus profond que les autres et Gabriel lâcha un cri rauque et bestial, tout ses muscles contractés, et ses ongles entrant presque dans le dos d'Andréa.

Il ne bougea, gardant Andréa contre lui, caressant son corps tremblant, l'embrassant passionnément.

Leurs échanges n'avaient plus rien de tendre. Tous leurs gestes étaient devenus violents et sauvages, en particulier ceux de Gabriel... Mais Andréa ne ressentait aucune douleur, seulement un plaisir intense. Elle aimait ça...

Andréa sentait que son plaisir arrivait à son paroxisme. Le moment final allait arriver... Tout son corps tremblait, sa respiration était irrégulière, presque difficile, elle ne pouvait plus retenir ses gémissements, qui devenaient des cris au fur et à mesure que la cadence s'accélérait.

Gabriel la serra contre lui, tirant les cheveux d'Andréa en arrière pour pouvoir acceder a son cou, l'embrasser, le mordiller...

Soudain un coup de hanche se fit particulièrement violent, et Andréa, tout comme Gabriel, lacha un cri de délivrance. Elle sentit les ongles de Gabriel qui étaient presque plantés dans son dos...

Il la maintenait contre lui. Elle essayait de reprendre son souffle malgré leurs baisers incessants. Elle carressait le dos de Gabriel. A présent, ses gestes avaient reprit leur tendresse initial...

Elle leva son regard vers lui et ne put s'empecher de sourire. Un sourire de contentement...

Leurs caresses se firent plus douce, leur baisers également. Gabriel rallongea doucement Andréa sur les galets du lac, tout en l'embrassant, ses mains parcourant son corps chaud.

Il se retira, lentement, très lentement, afin de ne pas rompre trop vite avec cet instant de plaisir. Elle lui souriait, il lui rendit son sourire, avec quelques étincelles de malice dans les yeux.

Se rendant compte que quelqu'un pouvait très bien les surprendre, et que, même s'il arriverait après la bataille les voir nus ainsi allait révéler l'évidence, il enfila son pantalon, puis passa sa chemise qu'il laissa ouverte et s'allongea sur le sol à côté d'Andréa.

Il avait encore le souffle court et son torse était luisant de sueur.

Alors que Gabriel allongeait Andréa, il ne cessait pas ses caresses.
Puis il se retira, de maniières extrémement lente ce vallu un léger gemissement d'Andréa.
Le regard de Gabriel pétillait de malice.

Andréa ferma les yeux un instant alors que Gabriel s'allongeait a coté d'elle et se rhabillait. Elle ne le fit pas. Son corps était encore brulant et elle volait profiter de l'air doux qui règnait autour d'eux. Elle se contenta donc de remettre son sous vetement et de descendre sa robe. Mais la robe resta ouverte et tant pis si quelqu'un arivait...

Elle reprenait son souffle petit à petit. Mais tout celà l'avait épuisée.
Après quelque minutes elle se décida a refermer sa robe, et posa ses mains sur son ventre. Elle admirait les étoiles.

Puis elle tourna la tête vers Gabriel.

C'était....... vraiment.... parfait...

Elle se blottit alors contre lui, posant délicatement sa mains sur le ventre du jeune homme dont la chemise était restée ouverte.

Gabriel laissa Andéa reprendre son souffle, tandis qu'il régulait le sien. Elle lui dit qu'elle avait trouvé cela parfait, ce qui fit rire Gabriel.

"C'est toi qui es parfaite..." fit-il.

Elle posa sa main sur le ventre encore nu du jeune homme et se blottit contre lui.

"Tu n'as pas froid ?" demanda-t-il avec un sourire, se doutant bien que non.

Il se tourna vers elle et l'embrassa en passant sa main sur ses hanches. Puis il lui murmura :

"Désolé Andréa...mais je ne me lasse pas de tes lèvres, ni de tous le reste de ton corps..."

Il rit puis l'embrassa encore, glissant cette fois sa main dans ses longs cheveux bruns.

La remarque de Gabriel fit sourire Andréa... Elle parfaite? Aux yeux du jeune homme peut être. Mais elle, elle pensait qu'elle en était bien loin..

Non.... fit elle avec un sourire couquin. Je n'ai vraiment pas froid....

Tout son corps ressentait encore ce qui venait de se passer. Elle avait encore très chaud, d'autant plus qu'elle était contre Gabriel...

La main du jeune homme se posa sur ses hanches, et malgré ce qu'ils venaient de faire, elle ne put s'enpécher de frissonner a ce contact.

Moi non plus je ne m'en lasse pas bien au contraire... J'ai toujours envi de toi....

Elle lui fit un petit clein d'oeil avant qu'il ne s'empare a nouveau de ses lèvres, passant la main dans les cheveux d'Andréa, chose qu'elle appréciait tout particulièrement. Elle passa donc sa main dans le dos de Gabriel et le caressa, passant ses ongles le long de sa colonne avec une extrème douceur...

Je t'aime tellement... je suis différente grâce a toi...

La caresse d'Andréa était si agréable ! Gabriel le lui fit savoir en l'embrassant encore plus passionnément.

Les paroles de la jeune fille l'avaient touché...

"Et moi donc ! Regarde, tu m'as rendu humain, Andréa. J'ai toujours mon sang mi-vampire mi-sorcier, certes, mais je me sens moi-même. Tu m'as délivré des conflis incessants que je subissais au fond de moi. Tu es..."

Gabriel l'embrassa, puis déposa un autre baiser sur son front, puis sur le bout de son nez.

"...mon ange gardien." fit-il avec un grand sourire, qui était celui d'un gamin innocent devant la plus belle des surprises.

Son ange gardien.... elle....?
Andréa était, certes flattée que Gabriel pense cela d'elle, mais elle ne pensait pas être son ange gardien.

Nous sommes tout simplement fait l'un pour l'autre Gabriel...

Elle le pensait réellement. Mais, elle savait aussi, que rien n'était acquis dans la vie, et que peut être, un jour elle le perdrait. Elle resta blotti contre lui et aborda un sujet qui la préoccupait depuis quelques temps.

J'éspère que rien ne nous séparera. Mais les choses sont tellement dur. Nous ne sommes même pas du même camps. J'ai choisi de servir le mal et toi... malgré ton coté vampire je sais que tu es quelqu'un de profondément gentil. Tu crois que nous pourrons surmonter cette différence?

Andréa avait des doutes depuis el début, mais n'avait pas osé en parler. Mais maintenant, elle sentait qu'il le fallait. Elle ne voulait pas le perdre, sous aucun prétexte.

Gabriel regarda Andréa quelques instant sans rien dire... Oui, elle avait raison, c'était une difficulté supplémentaire. Lui était bon au fond...et elle avait choisis son camp...

"Je suppose que tu es sûre de ton choix... Mais dans ce cas pourquoi ne pas avoir accepté la proposition du vampire...sur le terrain...cette nuit-là ?"

Cette question vint tout d'un coup à l'esprit de Gabriel. Cela ne l'avait pas vraiment perturbé, il se disait sûrement qu'Andréa n'était pas non plus quelqu'un de mauvais...

Mais les paroles de la jeune fille l'inquiétaient. Il posa sa tête sur les galets, le regard baissé et l'air pensif.

La question de Gabriel....... Andréa, lorsqu'elle s'était retrouvée devant ce choix au terran de quidditch ne s'était pas posée de question.

Je n'ai pas vraiment d'explications. C'est l'humain dont je suis tombée amoureuse, pas le vampire. Même si sa proposition était tentante, ça je dois l'avouer, c'est toi que j'aime.

Andréa se remmettait à présent en question. Tant de sentiments contradictoires faisaient rage en elle.

Mais en même temps, lorsque j'ai jeter le sortilège sur Syl, j'en ai retiré du plaisir... Je regrette parce que je lui ai fait cela à elle. Mais j'ai adoré la sentation.

Elle le regarda, elle se sentait perdue.

Comment peut on éprouver tant d'amour et tant de haine.... Je ne suis même plus sur de ce que je suis. Tout ce que je sais, c'est que je ne veux pas te perdre.

Quoi qu'il arrive jamais elle ne ferait quoi que ce soit contre lui, ou qui pourrait lui faire du mal. Peut importe le camps dotn ils faisaient parti l'un et l'autre.

Gabriel écouta les paroles d'Andréa, mi-peiné, mi-inquiet... Mais il eut tout de même un sourire, lorsqu'elle lui dit qu'elle ne voulait pas le perdre.

"Si au moins tu es sûre de ça, c'est bien..." fit-il en le regardant avec des yeux doux.

Ce n'était nullement un reproche, il voulait la rassurer...

"Tu sais...c'est étonnant que tu es pris plaisir à faire du mal... Tu as toujours été tellement douce avec moi, dès le premier jour..."

Il était surpris, en effet...Mais après tout, elle n'était douce qu'avec lui.

"Je pense qu'il n'est jamais trop tard pour changer, mais je ne compte pas te rallier à quoi que ce soit. Je n'ai pas de camp, je suis neutre et refuse de prendre un partit. Peut-être qu'un jour, quelque chose m'y décidera, mais pour l'instant, je ne demande rien."

"...mais comme je suis là, tu y arriveras..." fit Gabriel, achevant la phrase de la jeune fille.

"Par ailleurs, je ne t'oblige à rien...je ne te force pas à faire le bien autour de toi et envers tout ceux que tu croises. Malgré mon prénom, je suis loin d'être un ange non plus...Je n'ai pas vraiment de camp, je fais juste ce que me dicte mon coeur...mon coeur d'humain, tant qu'à faire..."

Tout semblait si simple à présent. Quelques mots, et voilà qu'il suffisait découter son coeur, sans se préoccuper d'appartenir à un camp, ou à l'autre...

Mais finalement, était-il possible de trouver une meilleure façon de vivre dans l'état actuel des choses ?

Certainement pas, avec le chaos qui régnait dehors, eux étaient bien tranquilles entre les murs de l'école...et pourtant, ces murs abritaient quelques créatures étranges...dont il faisait partie.