Si tu étais un fruit, tu serais une pomme (PV Torben)

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Humm... Alors, par où je commence moi ? Je vais être à cours d'idée de force de début moi...Alalala, même pas galant ces hommes, il faut toujours que je commence...puff, si c'est pas malheureux ça...Bon aller, je me lance

Il y a très longtemps, dans un merveilleux royaume, vivait une vilaine et méchante princesse . Elle était vraiment très belle, trop belle même. C'était comme si elle avait été créée par les dieux eux-même. On disait que sa beauté n'avait d'égal que sa cruauté. Cette phrase voulait tout dire. Sa cruauté était sans limites. Elle aimait la violence. Elle aimait la mort. Cette belle était un serviteur du mal lui-même. Mais, ce dont personne ne savait, c'est qu'elle était très nymphomane. Elle aimait les beaux hommes, elle les aimait surtout violent, méchant, sadique. Elle voulait de la brutalité. Toujours. Elle n'aimait que ça. Elle les tuait la plupart après avoir joué avec quand ils s'apercevaient qui se cachaient réellement derrière son masque de beauté.

Pour cette Rose empoisonnée, les hommes étaient comme des belles pommes bien rouges, elle aimait les croquer, elle aimait savourer leur chaire.

Elle était aussi une très bonne comédienne et manipulatrice. C'est pour cette qualité que son maître l'envoya dans le bien pour les espionner. Sa beauté savait mettre les gens en confiance et son intelligence et jeu de comédie lui permettait de récupérer facilement des informations. Cette beauté, portant le doux prénom de Krystel devint ainsi un agent triple. La vie n'était pas facile alors pour elle. En plus de son rôle, elle avait dû prendre un poste de professeur pour pouvoir détourner des élèves vers le mal. Le problème, c'est qu'elle détestait les enfants et que pour sa couverture, le maître avait ordonné à ses autres serviteurs de se méfier de la Belle. Une seule personne ne connaissait son véritable rôle mis à part son seigneur. Il s'agissait d'un duc, son contact, à qui elle donnait toutes les informations et qu'elle avait croqué aussi.

Mais revenons à la réalité. Le jeune enseignant, sortant d'une réunion de l'ordre n'était pas d'humeur rentrer dans son bureau pour y dormir malgré le fait qu'il soit 23h00 passé. Non, elle voulait croquer, goûter de nouveaux la peau d'un homme. Mais elle ne voulait pas n'importe qui, il lui fallait un bel homme, un mauvais sorcier, un violent. Oui, c'est ça qui lui manquait. Constamment elle était entourée de douceur et elle saturait un peu beaucoup.

*où pourrais-je aller ?à Londres ? Non, il n'y a rien là bas...Au repère ? Non, ça serait suspect...Pré au lard ? Oui, à la tête de sanglier ? Non, pas assez de monde...Oui, je sais, je vais aller au bar des trois balais.*

Elle transplana donc devant le bar. Elle se refit une magnifique beauté et s'admira. Elle était vraiment très belle dans cette tenue. Elle portait une magnifique robe en satin rouge, très très décolleté sur sa belle et grosse poitrine. Elle enlevât sa cape de ses épaules et entra.

Bien sûrs tous les hommes se retournèrent vers elle et la dévorèrent des yeux. Elle n'en avait que faire de ses pouilleux. Elle savait ce qu'elle voulait.. Quand aux femmes, elles la foudroyaient du regard, dégoûté que leurs amants se soient retournés sur elle et la regardaient avec autant d'avidité.

Elle s'installa au bar et attendit un peu tout en commandant un verre. A son grand plaisir, elle vit un bel homme la rejoindre. Elle l'avait déjà croisé au repère... Humm, un mangemort, parfait, c'est ce qu'elle voulait. Elle sentait qu'elle allait passer une très très très bonne fin de soirée et nuit...

Invité

Torben Badenov en avait marre de la routine. Depuis cette soirée à Londres où il avait assassiné un ennemi de son maître avec la gracieuse Fay Haydentown, il n'y avait rien eu pour lui égayer le quotidien. Lui qui était habitué à la guerre, a la vraie, celle qui fait des dizaines de victimes, il s'ennuyait ferme. L'odeur du sang, le contact de l'acier dans la chair, l'intimité de la mort. Tout cela lui faisait regretter sa chère patrie, et il devait reconnaître qu'il commençait à avoir un peu le mal du pays. Ce pays où il pleut sans arrêt, ce pays où il ne se passe rien d'interessant.

Il avait juste fait quelques rencontres fort sympatiques, qui lui avaient fait passer le temps. Il y avait eu une élève de l'école magique du coin qui était tombée dans ses bras, au cours d'une soirée d'alcoolique. Puis il y avait eu l'étrange créature qu'était Sylvina Oro. Torben se demandait encore ce qu'elle était exactement, et ce qui l'avait poussé, elle, une autre étudiante, dans les bras d'un homme tel que lui. Fay Haydenton aussi, une jeune fempme étrange qu'il avait recontré lors de sa dernière mission. Femme bien énigmatique que celle-ci. Mais il ne l'avait plus revu depuis cette nuit là.

Il avait donc passé le plus clair de son temps dans les bars, comme à son habitude. Il n'y avait rien à faire, alors pourquoi il lui serait interdit de s'amuser un peu? Alors Torben buvait. Il était complétement torché ce soir là, son entrainement et sa résistance à la boisson bien entamée par l'improbable quantité de boisson ingurgitée. Titubant, il sortit de la tête de sanglier, décidé a passer la fin de sa soirée dans sa chambre des trois balais. Bon, peut-être prendrait-il un verre en passant après tout. C'est donc dans cette idée qu'il se mit en route.

Une bonne demi-heure plus tard (Eh oui, quand il est torché, il est torché), le jeune homme s'arreta quelques instants devant la porte pour reprendre contenance. Il ouvrit sa veste de son impeccable costume noir. Si Torben avait bien une qualité -hormis celle de tuer vite et bien-, c'était celle de toujours bien s'habiller. Seulement, il fallait l'avouer, il paraissait assez débraillé en ce moment. Il poussa la porte des Trois Balais, qui alla claquer contre le mur.

- Torben! Torben Badenov! Dans quel état revenez vous encore mon garçon?
l'appela la voix de la barman, le gérante qui l'avait pris en pitié et passait son temps à essayer de prendre soin de sa santé. Si elle savait seulement un dixième de ce qu'il avait fait.....
- Mme Rosmerta, servez moi un verre d'Hydromel, et du bon s'il vous plait! J'ai les moyens de payer!
- Sa je sais, mais ne croyez vous pas avoir assez bu pour aujourd'hui?

Pour toute réponse, Deux pièces aterirent sur le bar. Mme Rosmerta souffla, mais lui apporta sa commande. Torben détailla un peu ses compagnons pour la soirée, et il crut détecter un visage qu'il avait déjà vu. C'était une jeune femme très séduisante, mais il ne se rappelait pas où il l'avait vue. Dans son pays? peu probable. Chez les mangemorts? possible, mais pas sûr. Dans un bar? Torben n'aurait su le dire, il en avait trop fréquenté, mais ne se rappelai généralement pas des gens qu'il avait croisé. Son état ne le permettait pas. Il se leva donc avec son verre et alla s'assoir à côté d'elle.

- Bonsoir, puis je m'assoir?
demanda t'il d'une voix mal assurée, car il se concentrer pour parler intelligiblement. Lui, un noble, pourquoi se comportait-il ainsi? Il se promit pour la centième fois au moins d'arrêter le Kvas.

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[hj==un peu court, je me rattrape au prochain]

- Bonsoir, puis je m'asseoir?

Le jeune mangemort était complètement ivre mort… Mais il était si beau. Elle acquiesça d’un signe de tête.. Après tout, s’il était ‘performant’ et un peu brute, son état d’ébriété ne l’emportait que peu, bien trop peu. Après tout, ne voulait-elle pas s’amuser ce soir ? Si …Je voulait elle pas d’un homme ? Si…Ne voulait elle pas des bras d’un beau dans son lit. ? Si…
Donc, il n’y avait rien qui la dérangeait en somme.

‘- Deux vodkas caramel’

Aussitôt commandé, aussitôt servi. Elle prit un des verres shotters et le mit devant son futur amant de la nuit. Elle se penchât vers lui et lui murmura à l’oreille très sensuellement :

-Tiens mon beau, trinquons à notre rencontre…Humm, je pense que nous allons passer une bonne soirée…Krystel Raybrandt, au service du seigneur des ténèbres…Et toi mon beau mangemort, qu’elle est donc ton nom’

Seul le jeune homme pus entendre ses paroles. Elle se redressa et lança ses cheveux en arrière. Elle plongea son regard dans le sien. Elle le dévorait littéralement de ses yeux marron très envoûtant… Elle prit son shotters et le but cu –sec comme s’il ne s’agissait que de l’eau. Elle regardât de nouveau sa pomme.
Elle salivait intérieurement à se qu’il pouvait se passer . Elle s’imaginait déjà dans une chambre ensemble au bar des trois balais, avec ce mangemort. Juste une nuit, juste une soirée, une toute petite soirée. Elle ne voulait rien d’autre. Juste un petit plan Q comme elle les aimait. Cet homme ne l’importait que trop peu pour qu’il se passe plus de chose que cette soirée. De toute façon, même si on pouvait s’en douter dans cette situation, elle en aimait un autre, un amour interdit, un amour qui la faisait souffrir mais qui la rendait heureuse…
Et si son homme l’apprenait ? Comment réagirait-il ? Elle ne pouvait pas le perdre, elle ne pouvait renoncer à lui, mais elle ne pouvait pas non plus renoncer à sa vie.
Elle lui avait dit, elle l’avait prévenu.. Il fallait qu’elle lui cache toutes les nuits hors de ses bras pour ceux des autres homme. Mais elle savait qu’il fallait qu’elle y renonce un jour. Et elle le ferais par amour pour son Peter, elle le ferais. Mon pour l’instant, il fallait qu’elle se le sorte de sa tête.

Elle se penchât vers l’homme à ses côtés de nouveau. Elle approchât très très très près son visage du sien. Elle ne fit rien d’autre. Après tout, à lui de comprenne…

Invité

Torben était un peu décontenancé au premier abord par le regard qu'elle lui lança. Elle le... jaugeait du regard semblait-il. Apparement, son état d'ébriété plus qu'avancé ne la dérangeait nullement. Au contraire, semblait-il, car elle commanda deux vodkas caramel. Ils furent rapidement servis et elle s'approcha très près de lui. Elle murmura des paroles à son oreille. Des paroles qu'il ne comprit pas totalement, mais il en saisit le sens général. Décidément, il en avait bu des bouteilles! Cette façon de s'adresser lui rappela d'autres femmes, des mangemortes, qu'il avait connu il y a un moment.

- Torben Badenov.
répondit il simplement

- Enchanté de faire votre connaissance
répondit il, juste avant de se jeter le contenu du verre dans le fond de la gorge.

Dame, cette boisson était forte il le savait, seulement comment cela se faisait-il qu'il n'en ressentait aucun effet? Son interlocutrice le but aussi rapidement et ne sembla pas être génée elle non plus. Encore une alcoolique vraisemblablement pensa Torben. Cette pensée fit revenir à la surface le souvenir d'autres femmes, qu'il avait connu éméchées elles aussi, et il savait comment cela avait fini.

Il ne se laissa pas décontenancer par le regard prédateur de Krystel. Son attitude était équivoque, mais tant qu'il ne connaitrait pas ce quil y aurait dérrière, Torben ne se risquerait pas à paraître sous un jour où il serait plus facile de l'atteindre. Il sourit et se cala bien au fond de son siège, regardant aussi le joli minois de la jeune femme. Il la regarda sans retenue, détaillant tout son corps, afin de ne pas se laisser démonter. Elle semblait réfléchir à quelque chose, quelque chose qui la tracassait, il pouvait le sentir. Mais elle sembla se raviser et s'approcher très près de son visage, tout en restant immobile. Elle le prenait pour qui? Il éclata d'un rire sonore

- Tu te prends pour qui, petite? Et tu me prends pour qui?
dit il en la regardant froidement

Il avait désormais l'intention de jouer un peu avec elle, finalement, rien ne l'empechait de boire encore un peu avant de rejoindra sa chambre...

(HJ: comme je te l'avais dit, j'ai du mal a faire de longs rp, sa viendra au fur et a mesure j'imagine ^^)

Invité

- Torben Badenov. Enchanté de faire votre connaissance

Torben.. humm un prénom un peu bizarre pour un si bel homme...Qui tient aussi bien alcool...Vu à qu'elle vitesse il réagissait, il était vraiment complètement saoul.

*en espérant qu'il aura un peu déssaoulé tout à l'heure, car sinon, je ne pense pas qu'il sera apte à m'apporter du plaisir. Cela serait fort dommage vu la qualité de critère de beauté il y... je ne veux pas le laisser partir lui, mais s'il ne décuve pas, je pense que je vais pouvoir dire adieux à ma nuit de désirs...Quoi que, sait-on, jamais, peut-être qu'au contraire, il pourra m'apporter plus de plaisir que je pense...*

Il n'arrêtait pas d'admirait et de regarder la forme et la beauté sublime du corps de ma Belle, et ne s'en cachait pas. Quand à elle, il est clair qu'elle ne se gênait pas pour le faire, mais était beaucoup plus discrète.

Elle s'approchât de son visage. Il s'écarta un peu et froidement dit alors :

- Tu te prends pour qui, petite? Et tu me prends pour qui?

Krystel était au anges...Pourquoi me direz-vous alors qu'elle vienait de se faire un peu repousser ? Tout simplement parce que sa pomme venait de confirmer ce qu'elle cherchait. Il voulait jouer avec elle, c'était sûr, vu les regards avides qu'il avait en admirant le corps parfaitement constituait de la belle rose empoisonnée. Enfin, un homme qui n'était pas facile, enfin un homme qui savait se contrôler un peu.

Dans ses yeux, elle pouvait lire du désir, de la froideur, mais surtout de la cruauté.

*génial, j'ai trouvé ce que je recherchais du premier coup...Pourvu qu'il ne garde sa cruauté et sa violence tout à l'heure...Oui, je suis sûre qu'il sera un vrai mangemort...*

Elle souriait intérieurement. Cette dernière pensée ne pouvait que l'emballer...Maintenant, il fallait qu'elle continue avec cet homme. Il faut qu'elle continue ce jeu qu'elle commençait à beaucoup apprécier. Elle se re calla sur son tabouret et le regardât toujours passionnément et envieusement. Elle voulait qu'il comprenne qu'elle le désirait plus que tout en ce moment malgré ce qu'elle s'apprêtait à dire et à faire. Un sourire sadique, cruelle, envoûtant apparut sur son visage, elle se mit à rire.

- Pour qui je prends ? hahaha, mais tout simplement pour personne à part moi...Cela te dérange t-il beau brun ? je ne me prend que pour Krystel...Raybrants...qui comprend pourquoi un homme tel que vous est seul... Pour qui je te prends ? haha, mais tout simplement par un ivrogne, très beau et très attirant certes, mais pour un ivrogne quand même...Qu'il est dommage de voir un tel gâchis...oui, très dommage, car je doute pas un seul instant que nous aurions nous entendre sur un point...Quand au petite, je pense être un peu plus âgée que toi....donc...le gamin, ici c'est toi...Attend moi de minutes...

Sans lui laissait le temps de répondre, la croqueuse se leva. Toute son allure et sa grâce furent misent en faveur par sa sublime robe. Toute sa démarche était envoûtante. Le jeune enseignant se dirigea vers l'autre bout du comptoir. Arrivée près de l'aubergiste, elle lui glissa quelques pièces dans la main tout en chuchotant. Il acquiesça d'un signe de la tête et lui remis un objet en double exemplaire, non sans la désirer du regard. Sans plus attendre, elle les mit dans son sac et retournât l'homme qui l'attendait au comptoir. Elle fit jouer ses formes parfaites en marchant. Oui, elle aimait ça. Elle était belle, et elle le savait...

Elle se rassit auprès de sa jeune pomme, tout en le dévorant des yeux encore une fois...

Invité

Si Krystel s'était sentie offensée, elle n'en montra rien. Au contraire, elle semblait jubiler au plus profond d'elle même! N'avait-elle pas compris ce qu('il avait dit? Torben avait pourtant été clair. S'agissait-il d'un test? Torben répugnait à entrer dans son jeu. Jamais il ne s'était laissé faire, et jamais il ne le ferait. Même pas pour une femme, aussi séduisante soit-elle.

Elle se calla au fond de son siège et le regarda toujours avec la même envie.... bestiale. Torben n'était pas tellement habitué a ce qu'une femme ce comporte ainsi en sa compagnie. Mais même torché, il restait conscient du fait qu'il ne fallait pas entrer dans son jeu, sinon il risquait de tout perdre sans s'en rendre compte. Elle semblait capable de le briser s'il lui en laissait l'occasion. Son visage se fit cruel et elle se mit à rire, puis répliqua

- Pour qui je me prends ? hahaha, mais tout simplement pour personne à part moi...Cela te dérange t-il beau brun ? je ne me prend que pour Krystel...Raybrants...qui comprend pourquoi un homme tel que vous est seul... Pour qui je te prends ? haha, mais tout simplement par un ivrogne, très beau et très attirant certes, mais pour un ivrogne quand même...Qu'il est dommage de voir un tel gâchis...oui, très dommage, car je doute pas un seul instant que nous aurions nous entendre sur un point...Quand au petite, je pense être un peu plus âgée que toi....donc...le gamin, ici c'est toi...Attend moi deux minutes...

Torben était désormais hors de lui! Comment une femme pouvait-elle oser lui parler ainsi! Elle ne savait rien de lui! Elle ne savait pas ce qu'il avait fait! Elle ne savait pas pourquoi il buvait! D'ailleurs il ne le savait plus lui même, alors pourquoi elle lui en parlait! Elle faisait passer des compliments avec les injures. Ivrogne? Sans doute, mais jamais il laisserait quelqu'un lui parler comme ça.

Elle le planta sur place, au moment où il s'appretait à la tuer. La tuer, oui, avec un luxe de cruauté. C'est tout ce qu'elle avait cherché. Mais elle était partie, et Torben se calma, ce qui lui couta de grands efforts. Il commençait à avoir un sérieux mal de crâne. Il décida de rester froid, de ne pas rentrer dans son jeu. Surtout pas.

Il ne put cependant que reconnaître la beauté de la jeune femme. Elle jouait sur ça d'ailleurs, c'était évident, même pour un mec aussi bourré que lui. Elle jouait avec lui, elle voulait l'amener a faire ce qu'elle désirait. Elle en était capable mais lui ne manquait pas de volonté.

- Je devrais te tuer pour ce que tu m'as dit, femme, mais je mettrais ton insolence sur le compte de ta bêtise. Sans doute suis-je ivrogne, gamin, j'en doute, on n'est plus un gamin quand on a vécu certaines choses. Et quand on en a fait d'autres. Sur quel chose crois tu que nous aurions pu nous entendre??

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Plus elle l'observait, plus elle voyait en lui montait de la colère. Elle était arrivée à le mettre hors de lui. Il n'apprécia pas le fait qu'elle le laisse ainsi sans lui laissait le temps de lui répondre. Quand la mangemorte revint se rasseoir à côté de lui, il laissât s'échapper sa colère :

- Je devrais te tuer pour ce que tu m'as dit, femme, mais je mettrais ton insolence sur le compte de ta bêtise. Sans doute suis-je ivrogne, gamin, j'en doute, on n'est plus un gamin quand on a vécu certaines choses. Et quand on en a fait d'autres. Sur quel chose crois tu que nous aurions pu nous entendre??

*agrtf, il est long à la détente un peu...Bon, il va falloir que je montre un peu explicite alors...ha, que j'aime le voir dans cet état, il est encore plus beau quand il est en colère...Er surtout il a l'air de décuver un peu l'alcool qu'il a dû boire par centaine de litres...Humm, et ce visage, ce corps, cette musculature...Il est vraiment bien fait, il n'y a pas à dire...J'ai une envie folle de me jeter sur lui, de l'embrasser de le mordre, de le griffer...J'en ai déjà l'eau à la bouche...*

Elle ne pouvait s'empêcher de le dévorer des yeux. Il incarnait ce qu'elle voulait. Cette brutalité, ce corps si sublime, cette colère, ce tueur, ce mangemort, ce serviteur du mal...

Elle posa alors sa main sur sa cuisse et remontât petit à petit tout en douceur. Elle s'approchât de nouveau de son visage et lui chuchota à l'oreille très sensuellement, très sincèrement, remplis de désir mais en même temps un peu froid. Après elle n'était pas au service du mal pour être chaleureuse...

'-humm, que j'aime de voir de mettre dans cet état de colère... Je ne mets pas tes actes en doute mon beau...Loin de là...Tu ne me connais pas n'ont plus...Gamin ? Non, je ne le pense pas le moins du monde...Je suis aussi un serviteur du mal...Crois-tu être le seul à aimer tuer les gens ? A les voir souffrir ? A sentir le pouvoir de leurs vies entre ses mains ? Tu vois, même sans te connaître, je peux connaître un bout de ta nature profonde...Tu es froid, violent et tu aimes le malheur des autres...Tout comme moi, tu es un mangemort mon bel homme...'

Puis, en baissant de plus en plus le volume de sa voix :

'- Sur quel point on pourrait s'entendre ? Ne l'as-tu pas encore deviné ? Je vois bien comment tu me regardes... Ce que je veux, c'est toi...oui, je te désire...pour cette nuit, je m'offre à toi, je m'offre à ta violence, à ta colère, à des bras, à tes mains, à tout ton corps...Et n'est-ce pas un bon moyen d'apprendre à se connaître plus intimement...Arrêtons de jouer...'

Elle le regardât un instant puis l'embrassa. Elle lui offrit un baiser langoureux, plein de désir, plein d'envie.

*s'il ne comprend pas, maintenant, je ne peux rien faire de plus*

Ils s'embrassèrent quelques minutes puis elle s'écarta de lui. Elle prit son sac et sortit un des objets que le barman lui avait donné. Elle mit la clef de la chambre qu'elle avait prise dans la main du jeune homme, se leva, prit son manteau et montât les escaliers. Arrivait devant la porte numéros 3, la rose glissa dans la serrure sa clef, entrât et refermât la porte derrière elle.

Comme elle l'avait demandé, la chambre était très accueillante. Des bougies avaient été allumées et disposées partout sur les meubles. Le lit était vraiment élégant, grand et confortable.

Elle posa ses affaires sur une des chaises puis alla s'asseoir confortablement sur le lit en attendant de voir si sa pomme viendrait la rejoindre...

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Encore une fois, elle ne sembla pas atteintes par les paroles de Torben et celui-ci s'en étonna. Elle semblait décidément avoir des idées bien arrétées et il se doutait presque depuis le premier instant de ce qu'il se passerait. Elle le voulait lui, cel paraissait évident, même pour lui, et même dans cet état. Elle le désirait et le dévorait des yeux, elle le croquait presque du regard, ce qui amusa Torben.

Ce qu'elle fit ensuite l'amusa moins, tout au moins au départ. Qu'est ce qu'elle faisait? n'avait-il pas été assez clair? Il ne put réprimer un frisson lorsqu'elle arriva presque a un point plutôt sensible, au moment où elle approcha son visage du sien. Il devait le reconnaître, il la désirait aussi. Mais il sentait l'arnaque qui pointait au dessous et ne savaoit pas s'il devait prendre un risque. Risque? Peuh! Il était Torben Badenov, capitaine de Breder, Mangemort et plusieurs fois meurtrier. Il saurait se sortir d'un mauvais pas, alors pourquoi hésiter?

Ce qu'elle lui proposa vint ensuite mettre le feux aux poudres. Il savait qu'elle avait gagnée cette manche. Il savait qu'il resterait le reste de la nuit avec elle. Arretez de jouer? C'est facile de dire ça, mais un mari jaloux, ou pire encore, pouvait ensuite être la "couille dans le potage" et Torben ne devait pas risquait de se faire prendre. Seulement, il n'eut pas le temps de réfléchir plus, car Krystel s'empara avec fougue de ses lèvres. Il répondit à ses baisers, sachant très bien qu'il était futile d'essayer de résister dans cet état.

Elle se leva d'un coup, arrachant ses lèvres des siennes. Elle mit un manteau et lui mit quelque chose dans la main. Torben la contempla quand elle traversa la salle. Puis il regarda dans sa main et vit une clé. Comprenant le message, il se mit debout à son tour, vida d'un trait ce qu'il restait d'alcool a leur table, et alla aux esclaiers. Il arriva à la chmabre indiquée sur la clé et ouvrit la porte. Elle avait gagné la première manche, mais il ferait tout pour remorter la suivante. Avec un dernier sourire amusé, il ferma la porte dérrière lui.

Il se retourna et vit Krystel, bien sagement assise sur le lit. Il sourit et retira sa veste, qu'il jeta sur la chaise la plus proche. La nuit était loin d'être finie pour lui. Il marcha jusqu'à la jeune femme et l'embrassa avec fougue, lui laissant a peine l'occasion de respirer, et la fit basculer sur le lit, lui enlevant la robe tout en continuant de l'embrasser

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Toujours assise sur le lit, elle entendit des pas montaient les escaliers et s'arrêtaient devant la porte de la chambre. Une clef se glissa dans la serrure et la porte s'ouvrit, laissant apparaître le bel homme. Il ferma cette dernière derrière lui, balança son manteau sur la chaise la plus proche et se jeta sur la belle. Il l'embrassa sans même lui laissait un seul répit. Il lui arracha sa robe littéralement tout en continuant à l'embrasser.

La Belle jubilait de plaisir. Bon, d'accord, sa robe était fichu mais bon, tant pis, si c'était le prix à payer, et c'est le cas de le dire vu la valeur de la robe, pour avoir une belle pomme dans son lit, elle n'allait pas se plaindre. Elle se sauvait fort bien très désirable et adoré la façon dont le jeune Torben la regardait.

Elle répondit à ses baisées très fougueusement puis le repoussa sur le lit, à côté d'elle. Elle le leva, et enleva ce qui restait de sa robe, faisant apparaître au grand jour ses deux tatouages, un phénix en bas du dos, et bien sûr la marque des ténèbres sur son avant-bras gauche. Elle se jeta sur le mangemort et l'embrassa de nouveau. Elle lui arrachât à son tour son tee-shirt avec violence et se mit à califourchon sur le jeune homme. Elle se penchât et se mit à l'embrasser ou plutôt à le mordiller dans le coup et sur son torse musclé.

Elle le griffa légèrement aussi. Un regard avide, cruelle et passionné se lissait dans ses yeux noisette et envoûtant. Elle le regardât de nouveau.

La rose pouvait lire dans son regard du désir. Oh, oui, il la désirait autant qu'elle le désirait. Elle ne cachât pas sur son visage son grand sourire. Elle éprouvait du plaisir à avoir un tel homme, sauvage, cruel, violent, un meurtrier, un serviteur du mal dans son être. Ils ne faisaient qu'un dans leurs natures, à l'exception d'une chose...L'amour...

Oui, car même si elle était avec un beau 'mâle' dans cette chambre d'hôtel, et qu'ils étaient tout deux semblables, il y avait un point sur lequel ils étaient différents. La Belle avait le coeur emprisonné par un autre homme, a qui elle était toute dévouée en sa présence. Mais quand ce dernier n'était pas là, la véritable nature de Krystel reprenait le dessus et cela n'était pas pour lui déplaire.

Elle ne put s'empêcher de penser à son Auror...Non, il fallait qu'elle ce le sorte de la tête. Elle l'aimait ? Oui, personne ne pouvait dire le contraire mais elle aime aussi avoir des amants, elle aime sa liberté, elle aime être volage, c'est sa nature et rien ne pourrait changer ça. Après tout, elle n'aimait pas Torben, tout comme Graig, où encore les autres hommes avec qui elle avait des liaisons. Il ne s'agissait ici rien de plus que d'assouvir un désir, une passion, un plaisir.

Elle se re- concentra sur l'homme en face d'elle. Elle le désirait tellement. Elle le dévorait littéralement des yeux. C'était comme si son simple regard suffisait à tout dire. Elle se remit à le griffé de plus en plus fort, laissant apparaître des marques sur son torse qu'elle embrassait où mordait juste après selon sa guise. Elle adorait ça, ce jeu, cette confrontation de leurs deux corps, cette violence.

Elle le couchât sur l'homme et lui mordit la lèvre inférieure et se mit à l'embrasser de nouveau très violemment très fougueusement. Elle sentait le goût du sang de Torben sur ses lèvres, elle adorait ça. Elle s'arracha sans ménagement à sa bouche pour se mettre à rigoler sadique de plaisir. Elle caressa son torse, déboutonnât un bouton du pantalon de sa pomme. Elle faisait le tout, en murmurant à son amant se ne prendre aucun gant ni aucune douceur avec elle, car ce qu'elle désirait c'était un véritable Homme brute, sauvage et surtout passionné...

Invité

HJ: désolé pour la taille (misérable) de ce post, la pause déjeuner n'est pas assez longue -_-', je me rattrape ce soir, promis!

Torben vit que son irruption et son entrée en matière ravit la jeune prédatrice, et il ne put s'empecher de poursuivre sur sa lancée, tant elle l'embrassait avec fougue. Elle le repoussa d'ailleurs sur le côté, et elle en profita pour finir de se déshabiller. Il remarqua deux tatouages sur la sublime créature assise a coté de lui. La marque des Ténèbres, bien sûr, elle était mangemorte, tout comme lui. Mais un phénix aussi, dans le bas de son dos. Enfin Torben pensait qu'il s'agissait d'un phénix, il ne voyait pas très bien et était d'ailleurs captivé par d'autres parties de l'anatomie de la jeune femme.

Elle se jeta sur lui sauvagement et l'embrassa de nouveau, lui entaillant les lèvres par la même occasion. Il se retrouva bientôt torse nu, sa chemise reposait au sol, déchirée en lambeaux. Elle s'attaqua a son pantalon, alors qu'elle lui mordillait le cou, le torse et son corps en général d'ailleurs. Torben n'avait jamais connu telle situation. La jeune femme était nue sur lui, et il décida qu'il était temps pour lui de prendre le contrôle des échanges. D'un mouvement du genou, il échangea leurs positions et se retrouva au dessus, interrompant leurs baisers.

Il contempla la jeune femme, nue sous lui. Elle était vraiment très belle, mais elle était une beauté vénéneuse, a la fois belle et séduisante, mais cruelle et sauvage. Torben savait très bien qu'il y avait quelque chose dérrière cette atitude, mais se demandait s'il voulait vraiment savoir quoi. Mais ce visage.... Décidément, cela lui rappelait quelque chose. Un vague souvenir, noyé dans l'alcool. Un souvenir douloureux, il en était sûr. Mais Torben savait qu'il buvait, mais oublier quoi? Il n'avait que trop bien réussit et aujourd'hui, dans cet état, il n'était plus capable de se rappeler quoi.

Il recommença à la caresser quelque peu sauvagement, tout en couvrant son corps de baisers. il sentait le corps sous lui frémir à son contact, et il sentait très bien que la jeune femme s'offrait complétement à lui cette nuit. Avec un sourire, il s'appreta a commencer.

Mais non. Blocage complet. Ce visage le troublait plus que de raison. Un sentiment de culpabilité et de honte mélés se fit de plus en plus fort. Il commençait à se rappeler. ils 'était passé quelque chose, il y a longtemps. Quelque chose de terrible. Sa lui donna même un petit pincement au coeur, chose que Torben n'avait pas ressentit depuis fort longtemps. Il avait connu une femme, oui, et elle était morte. Il s'en rappelait maintenant. Il s'écarta vivement de Krystel, qui semblait étonnée pour la première fois.

Le jeune homme alla jusqu'à la salle de bain et se passa de l'eau sur le visage et sur la tête. Comment avait-il pu? Il se souvenait de tout maintenant, la femme, la douleur, la mort, le sortilège d'amnesie. Il eut un violent accès de colère, et frappa du poing dans la glace en face de lui, brisant son reflet et s'ouvrant la peau sur la main.

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Krystel était contente de l'effet qu'elle produisait au bel homme, il ne pouvait décrocher son visage, son regard d'elle, de son corps sublime. Elle adorait le mordre et le griffer, oui, elle en prenait un malin plaisir et lui aussi d'ailleurs. Enfin un homme comme elle l'aimait brute, sauvage...Elle eu un frisson quand il toucha sa cicatrice en haut de sa cuisse, son signe d'appartenance à la famille des Raybrandt, un demi-R .Il la défigura un instant mais reprit tout de suite leurs échanges bestiaux. Il reprit le contrôle de la situation, se mettait au-dessus d'elle et la caressant un peu violemment. Elle en frémissait de plaisir, elle ne le cachait pas, elle voulait qu'il continue. La sensation brute de ses mains sur sa peau si douce, son contact, son adresse à la caresser...Il n'était pas seulement beau et brutal, il s'y connaissait aussi, ce qui raviva de plus belle la Belle. Elle s'offrait complètement à lui et il savait fort bien. Elle le mit de nouveau à le griffer, de plus en plus fort. Elle sentait le corps de la pomme vibrait à chaque fois qu'elle lui entaillait le dos, à chaque fois qu'elle le caressait avec douceur son torse, ses cuisses, ses bras. Elle voulu le ré embrasser mais sans comprendre pourquoi, il s'écarte d'elle et le leva. Elle le regarda stupéfaite sans comprendre. Que lui arrivait-il ? Ils éprouvaient tous les deux du plaisir, pourquoi donc était-il parti alors qu'ils venaient à peine de commencer ?

Il se dirigea vers la salle de bain et y entrât. Puis elle entendit un bruit de verre brisé. Elle se leva, mit sa cape sur son corps nu et alla voir ce qu'il s'était passé. Elle trouvât sa pomme, devant un miroir brisait, la main ensanglantée. Elle s'était avancée vers lui doucement. La belle prit sa main blessant dans sa sienne, et sorti un gant qu'elle mouillât et commença, délicatement, à panser sa blessure, Elle ne savait pas pourquoi il était comme ça, mais elle lisait de la colère sur son visage, une immense haine. Elle savait qu'elle ne pouvait pas agir comme elle le voulait, elle savait qu'elle devait être patiente. Elle retira le gant, et l'embrassa sur sa main meurtrie. Elle sentit le corps du jeune homme vribrer, mais comme il la laissa faire, elle continua. Puis, de nouveau, elle le regarda, d'un air inquiet, d'un air interrogateur. Elle le lova alors dans ses bras, le serrant délicatement dans ses bras, pour qu'il sente sa présence, la douceur de sa peau, son parfum sublime, et attendit qu'il fasse un geste envers elle, ou qu'il dise quelque chose...

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Torben fulimnait de rage. Une vieille haine s'était réveillée en lui, ainsi que la honte. La honte du déshonneur. Mais la haine était la plus forte. Il avait envie de meurtre. Il devait tuer. Il devait se venger. La respiration haletante et une lueur meurtrière dans le regard, il contempla son reflet dans le miroir. Mal rasé. Couvert de sueur. Mal coiffé aussi. Des cernes sous les yeux. Il ne ressemblait pas au jeune Torben, le jeune noble promu à un bel avenir. Si seulement il avait été plus fort. Il avait visiblement trop longtemps abusé de la boisson. De rage, il reporta un coup dans le miroir, puis entendit un petit bruit dérrière lui. Il se retourna au même moment où la femme qui allait s'offrir à lui entrait dans la salle de bain. Elle avait recouvert son corps d'une cape. Elle n'avait aucune expression sur le visage, a part peut etre un peu de surprise.

Elle prit sa main et essuya le sang qui s'écoulait des diverses plaires superficielles. Elle le fit avec douceur, et embrassa la main endolorie du jeune estonien. Il ne savait pas trop ce qu'elle avait l'intention de faire. Le calmer, surement, mais pour qu'il parte, pour qu'il passe la nuit avec elle? par pitié? Cette dernière pensée énerva un peu plus Torben, mais il resta immobile. Enfin immobile, il ne faisait aucun mouvement, bien qu'il tremblait de rage. Elle lui jeta un drôle de regard, comme pour avoir son assentiment. Pis elle se lova doucement dans ses bras. Torben eut un sourire ironique. Elle devait chercher à le ramener dans le lit. Il n'en avait plus envie, bien qu'il la désirait toujours. Torben l'embrassa doucement sur le front, puis se dégagea encore d'elle, et alla dans la chambre. Là, il commença à rassembler ses affaires. Il s'arreta quand il eut sa baguette entre ses mains. Il la laissa choir par terre, et se prit la tête entre les mains. Il avait tellement mal, si seulement il avait un peu moins bu...

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Elle resta un peu dans ses bras puis il lui déposa un délicat baiser sur le front avant de d'écartait la Belle et regagna la chambre. Une envie de meurtre se lisait sur son visage. Il commença à ramasser ses affaires sous les yeux de la croqueuse. Quand il eut sa baguette entre ses mains, il la fit tomber pas terre et se prit la tête entre ses mains, comme s'il souffrait intérieurement.

La Belle connaissait ça pour trop l'avoir ressentit elle-même. Elle s'approchât de nouveau du bel homme et prit sa baguette pour la poser à côté d'une bougie allumée sur un des meubles. Elle s'accroupit pour être à sa hauteur et puis saisit ses mains entre les siennes délicatement. Elle se penchât et le prit de nouveau dans ses bras, sa tête sur ses frêles épaules. Elle lui touchât et caressa doucement la tête comme une personne le ferait pour réconforter une autre personne, à la différence près que la Belle était nue sous sa cape et que sa poitrine était serrait contre l'homme. Certes, elle voulait de lui, de son corps, de sa chair, mais elle voyait bien que ce n'était pas le moment pour lui. Tant pis, après tout, sais-t-on jamais, peut-être plus tard dans la soirée, où même peut-être un autre jour. De toute façon elle n'avait pas le choix et elle voulait à tout prix qu'il lui redonne du plaisir, voir plus que précédemment.

Elle se mit à l'embrasser sur ses épaules, sur son visage, sur ses joues, sur ses lèvres fougueusement. Elle voulait profiter un peu quand même. Mais même si le jeune homme répondait positivement à ce dernier, elle y mit très vite fin avant de lui murmurait à l'oreille :

-ça va aller ? Je peux faire quelques choses ? Tu veux que l'on remette ça à plus tard peut-être ? Tu sais Torben, je voulais m'offrir entièrement à toi cette nuit comme tu le sais mais je vois bien qu'il y a quelques choses qui te chagrine, et même si j'ai une envie folle de toi, que tu continus à me donner du plaisir, je peux attendre, on peut remettre ça à plus tard...

Pour une des rares fois dans sa vie de Mangemorte, elle avait été sincère. Elle voulait cet homme dans son lit, elle voulait lui apporter du plaisir comme il lui en apporterait, il n'y avait pas photos... Mais elle voyait qu'il était tracassé et elle ne pouvait pas le forcer à quoique ce soit. De toute manière, elle ne voulait pas le forcer, elle voulait qu'il apprécie sa présence, sa chair si douce et son corps si parfait...

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[i]Torben resta immobile un certain moment. Ses pensées défilaient à toutes vitesses. Ce souvenir revenu, les autres, noyés dans l'alcool, revinrent d'eux mêmes. Il avait perdu une femme, une femme qu'il avait aimée. C'était il y a longtemps. Il avait perdu beaucoup à cette époque, c'était une ère de guerre, de pillages, de mort et de souffrances. Mais il s'était vengé. Les yeux dans le vague, il se souvint ce qu'il avait fait et eut un sourire. Il avait pourchassé les ignobles bêtes qui avaient tué cette femme et ses amis. Il les avait rattrapé, et tué une a une. Dans un luxe de cruauté. Il se remémorait chaque détail de son macabre travail. Il n'y avait pas à dire, il avait toujours su manier ses armes. Il se souvenait que son père obtint enfin le prétexte qu'il cherchait depuis longtemps pour l'évincer , alors que la renommée du jeune Torben grandissait. On racontait comme lui et ses hommes gagnaient les batailles. Comment il avait vengé sa belle. "Tu as besoin d'air mon fils. J'ai besoin de toi pour une mission. Loin...... de tout ceci. Tu as prouvé ta valeur par le passé, je ne peux compter que sur toi" avait -il dit. Quel mensonge. Cela faisait des mois qu'il était ici, et qu'il n'avait rien fait a part assassiner un vieillard infirme. Son père devait sans doute administrer son domaine agrandit par le sang de Torben et de ses camarades.

Les tendres baisers de Krystel le firent revenir à lui. La belle le couvrait d'attention, alors qu'il n'était rien pour elle. Tout au plus un vague collègue. Mais il sentait le désir brûlant qui consommait la jeune femme. Désir qu'il savait éprouver aussi. Il pouvait sentir la poitrine de Krystel contre lui, et ses caresses lui procuraient des frissons. Il devait se faire une raison. Il était avec une femme très attirante et l'"autre" femme était morte depuis longtemps. Cette période de sa vie était dérrière lui. Elle lui murmura quelque chose à l'oreille. Il n'eut pas de remords à rendre ses baisers a la jeune mangemorte. Il n'en eut pas non plus lorsqu'il la porta et la déposa sur son lit. Il avait envie d'elle, envie de lui donner du plaisir. Du plaisir à l'en faire crier, hurler même, s'il pouvait. Il se sentait comme renaît. Le vieux Torben était de retour. Il tira la cape de la jeune femme et se mit à la couvrir de baisers brûlants sur tout le corps. Il était prêt à s'offrir à elle, et c'est ce qu'il fit. La nuit était loin d'être finie.

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A la grande surprise de Krystel, Torben la prit dans ses bras, la souleva et l'emmena dans le lit. Il lui retira sa cape sauvagement pour pouvoir contempler le corps si parfait. Il se remit à la caresser, à l'embrasser voulant reprendre leurs ébats 'amoureux'/sexuels. Mais alors qu'elle embrassait sa pomme, elle ne pouvait s'empêcher de penser à sa rencontre dans le cimetière, à l'Auror.

*Non, tu ne dois pas penser à lui maintenant, tu t'en fiche, tu ne le reverras peut-être jamais*

Comme pour se convaincre elle embrassa fougueusement le jeune homme et le caressa un peu partout. Mais rien à faire. Elle n'éprouvait plus aucun désir pour cet homme : elle était obsédée par Peter, et uniquement par lui.

*Arrête, tu vas te gâcher une nuit torride pour rien. Tu ne le reverras peut-être jamais. Peut-être ne viendra-t-il jamais te voir...Et c'est mieux ainsi. Tu aimes et tu détruis tout ce que tu touches, tout ce qui t'approche. Rien ne survie, rien et cette idée de plait. De toute façon, c'est un Auror et toi une Mangemorte, il ne se passera rien c'est impossible, IMPOSSIBLE...Et même s'il revient te voir, tu vas lui gâcher sa vie...*

¤Non, je l'aime et lui aussi, il...il m'aime lui !!Je ne le détruirais pas, jamais je ne pourrais...pour lui, je changerais,...oui, je changerais...Au diable le bien et le mal, quand je suis avec lui, il n'y a rein d'autre qui compte que Lui et Moi, c'est tout...¤

*Et tu crois vraiment ce que tu dis ?...hahhah...Et tu crois vraiment que tu pourras changer ? tu aimes trop le mort, le malheur des gens, la torture, le violent, le fait d'assassiner les gens pour ça...Tu as été élevée ainsi, c'est ton destin, c'est ton but, c'est toute ta vie...Et tu veux tout abandonner pour un homme ? Pour un homme qui plus est, est dans le camp adverse ?...Tu ne le connais même pas... !!!*

¤Si je le connais. Il est si triste, si seul mais son coeur est rempli de bonté, d'amour, de douceur, de tendresse, de passion...Mais aussi de dureté, de combativité !!! Et c'est pour tout ça et même encore plus que je l'aime¤

*Non, c'est faux, tu ne l'aimes pas. Au fond, tu sais très bien qu'il ne te plait que physiquement c'est tout. Tout comme l'homme au-dessus de toi...Ce n'est qu'une simple attirance. Tu ne l'aimes pas, tu veux juste l'avoir dans ton lit...Tu ne le désire que pour une nuit, et une seule nuit, rien de plus et tu le sais...*

¤Non, je veux être avec lui, qu'avec lui, juste lui. Et qu'importe si je dois tout quitter pour lui, je le ferais, je renierais toute ma vie, tous mes ancêtres...Juste pour vivre avec lui...¤

*Petite sotte, tu ne sais plus ce que tu racontes, tu ne penses même pas ce que tu dis. Il t'a jeté un sortilège, un envoûtement c'est tout. Tu ne l'aimes pas, tu agis selon ses désirs. Il veut que tu l'aimes, il te manipule, tu n'as plus toute ta tête...Tu ne l'aime pas en réalité*

¤Nan, je suis lucide, et je sais ce que je dis. Il ne m'a lancé aucun sort. Je suis juste...c'est juste...Coup de foudre...c'est le destin...¤

*Mais, tu ne pourras pas le quitter LUI !!le maître ne voudra jamais te laisser partir vivre le soi-disant grand amour avec un Auror en plus...*

¤Je...Je...Tant pis...Si je...Si je dois...Si je dois mourir pour notre amour, et bien je le ferais sans hésiter. Je donnerais ainsi ma vie pour lui...¤

*Alors, tu mourras dans d'atroces souffrances si tu continues dans cette voix...Tu ne peux pas...*

'-STOP, ça suffit SILENCE...STOP'

Elle avait crié ses derniers mots, revenant ainsi à la réalité des choses. Elle remarquât qu'elle avait griffé à sang le dos de sa pomme, qui n'avait pas arrêté de la caresser et de l'embrasser. Il la regarda d'un drôle d'air. Elle essaya alors de le repousser. Elle n'avait plus rien à faire ici. Sa place n'était pas auprès de Troben, dans ses bras, et encore moins dans son lit. Elle se sentit sale et coupable d'avoir désiré et voulu un autre homme dans son lit. Elle n'aurait pas dû....

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Torben ne put s'empecher de sourire. Elle avait crié d'arreter, de tout arreter. Immédiatement, il vit le remord et la culpabilité sur le visage de la jeune femme. Elle culpabilisait. Torben sourit. Il avait lui-même connu ça quelques instants plus tôt, mais son instinct de tueur avait repris le dessus, et avait chassé tout remord de son esprit, de la même façon qu'il opérait quand il tuait un être humain. Tuer les bêtes avait toujours été plus facile, elles étaient l'ennemi de l'humanité, et devaient être anéanties. Et puis, il était tellement facile de se sentir proche de sa victime, de flancher, qu'il avait eu besoin d'un mental solide. Visiblement, ce n'était pas le cas de Krystel Raybrandt.

Elle devait avoir réalisé que ce qu'ils auraient pu faire été mal, tant au point de vue éthique que moral. Il semblait aussi y avoir autre chose. Un homme sans doute, et elle venait de sentir qu'elle devait l'aimer. Au moins la nuit n'aurait pas été vaine pour tout le monde. Elle avait gagné un amour, lui s'était souvenu comment il avait perdu le sien. L'un perd pour que l'autre gagne, c'était l'ordre naturel des choses. C'était ainsi que l'univers fonctionnait.

Torben savait qu'il aurait pu la forcer, qu'il aurait pu la contraindre à le faire. Il savait se montrer très persuasif, et aussi très violent, mais ce n'était pas la soirée. Il ne voulait pas imposer ça a la jeune femme, et il ne voulait pas se l'imposer non plus. Jamais il n'aurait dû se rappeler. Cela avait fait émerger en lui des sentiments dangereux. Il n'y avait pas si longtemps, il n'aurait pas hésité à faire du mal à Krystel, rien que pour l'avoir stoppé dans son élan. Mais ce soir, il n'en avait même plus envie. Il se sentait las. Il avait envie d'alcool et de son lit. De toutes façons, le bar n'était jamais fermé et sa chambre était presque voisine de celle-ci. Il se rhabilla donc, sans se presser, et sans jeter un regard a Krystel

- De toutes façons tu n'étais pas à la hauteur
dit Torben avec un sourire méchant

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A sa grande surprise et à sa plus grande joie, Torben se laissa repousser. Il se leva d'au dessus de la belle, se mit sur le côté du lit puis se leva. Il entreprit de ramasser ses affaires et se dirigea vers la porte de sortie. Il ne se retournât pas au grand plaisir de la belle. Elle remit ses sous vêtement et sa cape sur son dos. Arrivé au seuil de la chambre, il lui lança alors, avec un sourire cruel aux lèvres

- De toutes façons tu n'étais pas à la hauteur

Krystel s'arrêta d'un coup. Comment...Comment...Mais comment osait-il dire une chose pareille !!! De la colère emplie tout à coup son corps. Jamais, jamais il n'aurait dû dire ça !!! Pas à la hauteur? Quoi? Nan, mais, là, elle ne pouvait pas en croire ses oreilles. Nan, elle avait dû mal entendre. Elle lui lança un regard plein de haine. Nan, il ne savait pas de quoi il parlait...Elle était très forte à ça, et même, elle pourrait se califier de meilleure sportive dans ses jeux sexuelles. Elle saisit sa baguette. Non, elle ne pouvait pas laisser passer un tel affront. Il l'avait cherché, il avait provoqué la rose empoisonée, et il allait donc gouter à sa colère. Il ne faut jamais sous estimer Krystel. Qui sème le vent récolte la tempête comme on dit.

Elle leva sa baguette et lui lança un sort informulé

*Endoloris*

-Comme oses-tu dire une telle chose!!! C'est toi qui n'es pas à la hauteur. La preuve, tu ne m'amuses plus, tu ne m'apportes plus AUCUN plaisir... Ne prends pas ton cas pour une généralité...Et dire qu'au premier abord tu paraîs doué, en fait, ce n'est qu'une impression

Elle l'avait prit en traitre?? Oui, et alors? Après tout, c'était une Mangemorte nan? Elle regardât sa pomme se tortillait de douleur devant elle, puis leva le sort.

*protego*

Pareil, sans que le jeune homme ne le sache, elle venait de se protéger grâce à un autre sortilège imprononçait. Elle avait fort bien remarqué le regard de Torben...

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Torben eut un rictus mauvais. Coup au but. Décidément, c'était trop facile. Toujours pareil avec les femmes, il suffisait de leur sortir une toute petite phrase, un toute petite réflexion sur leur talent au lit et hop, elles entraient dans une colère monstre. Bon, il avait quelque peu exagéré, il devait le reconnaître, m'enfin, on ne jetait pas Torben Badenov comme cela. Non, il avait quand même une certaine estime de lui-même, et n'allait pas se laisser faire par une femme. Encore moins par une femme qui l'avait repoussé de la sorte.

Elle lui jeta un regard noir, empli de haine. Torben savait qu'il aurait réagit de la même façon. Il se demandait juste ce qu'elle allait faire. Réagir, c'était certain, mais comment? Le jeune noble estonien n'eut pas le temps de penser à une réponse à cette question qu'il se retrouvait a genoux, serrant les dents sous le coup de la douleur. Il souffrait comme il n'avait jamais souffert. il souffrait plus que quand il s'était fait embroché par les cornes d'une Bêtes. plus que lorsqu'il fut torturé par les homme de la province de Krascino. Il souffrait le martyr. Ses yeux s'étaient révulsés et roulaient dans ses orbites alors qu'il se mordait la langue pour effacer la douleur de son corps. Son sang le brûlait atrocement. La douleur disparu au bout de quelques secondes. Torben était essouflé et resta un instant au sol, reprenant sa respiration. Il déglutit difficilement avant de se relever. Il regarda fixement Krystel, se doutant qu'elle avait bien pris soin de se protéger. Se protéger oui, mais pas contre les attaques physiques, Torben en était sûr.

Il bondit sur Krystel, la plaquant au sol, tel un joueur de rugby, ce sport moldu tellement amusant. Elle eut le souffle coupé par le choc, et ils retombèrent lourdement au sol. Torben en profita pour se redresser et ramasser la baguette de Krystel, tombée au sol pendant la chute. Il l'a jeta par la fenêtre et revint vers elle. Il la prit par les cheveux et la tira jusqu'au lit.

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Après qu'elle lui eut lancer le doloris, il se jetât sur elle sans qu'elle ne s'en doute une seconde. Il la mit à terre, prit sa baguette, la jeta par la fenêtre avant de la trainer jusqu'au lit par ses sublimes cheuveux. Il allait payer cette affront et pas qu'un peu.

Elle le poussa grâce à la force de ses jambes et lui mordit le bras à sang pour qu'il lâche ses cheveux et c'est ce qu'il fit fasse à cette douleur. Elle se relevât et l'on pouvait voir émaner d'elle de la colère et de la puissance. Tout son corps tremblait sous ses deux émotions. Elle n'avait pas besoin de la baguette, où du moins plus besoin. Elle leva la main et sa Pomme se retrouvât plaquer contre le mur sans pourvoir rien faire. La Belle prit à son tour son arme magique en bois. Elle alla à la fenètre et prononça

-accio bout de bois de chêne

Un bruit fendit l'air et peu de temps après, elle saisissât la sienne dans ses mains. Elle la tournât un instant dans sa main, heureuse de retrouver un des biens de son héritage. La Rose empoisonnée l'orientât vers Torben et leva son sort. Il s'écroulât par terre mais se relevât quand même. Krystel envoyât sa baguette à ses pieds. Elle lui dit alors sur un ton cruel et sec:

-C'est tout ce dont tu es capable? M'attaquer à la façon moldu? Tu devrais avoir honte. Un mangemort? Puff, bas-toi en homme et sorcier imbécile. Endoloris !!!

Elle lui lança de nouveau le sortilège impardonnable, mais intérieurement, elle se protégeât aussi. Elle ne savait pas si son sort allait atteindre une nouvelle fois sa cible ou pas...

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Alors que Torben allait l'amener sur le lit pour lui faire subir des tourments dont lui seul avait le secret, il la sentit soudain pousser sur ses jambes et l'instant d'après, il ressentit une vive douleur au bras. Sacré nom de nom, qu'avaient elles donc toutes à le mordre? La douleur le surprit et il lâcha prise sans s'en rendre compte pour presser la blessure de sa main valide. Sans trop se rendre compte pourquoi, il se retrouva plaqué au mru, le choc le faisant tomber à genoux. Il reprit sa respiration un instant et sentit la pression monter. Il releva la tête et vit sa belle en train de récupéré sa baguette. Elle était séduisante, terriblement séduisante. Même maintenant, parès ce qu'il venait de lui faire.

Elle récupéra sa baguette et jeta celle du jeune homme juste devant lui. Elle jouait avec lui. Il en était conscient. Krystel était puissante, il le ressentait. Mais le mangemort savait aussi qu'il pouvait la battre. Le plus étonnant dans cette histoire était que tout le bruit qu'ils venaient de faire n'avait fait réagir personne dans l'établissement. Personne n'était venu voir ce qu'il s'était passé. Au moins, Torben pouvait faire ce qu'il voulait, personne ne viendrait le déranger.

Sa belle le brima et l'insulta. Il n'en avait que faire. Il avait prouvé sa valeur nombre de fois et n'avait pas à recevoir de leçon de Krystel. Il se releva péniblement en reprenant ses esprits, que déjà il était au sol, en train de souffrir et de se débattre comme un forcené. Finalement, sa volonté eut raison de sa douleur et il se remit debout. Il n'allait certes pas se laisser faire. Il eut un rictus. Il avait une idée dérrière la tête. Sa folie avait repris le dessus. Il bondit vers Krystel et chose incroyable, il l'embrassa en l'enlaçant.

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Elle regardât de tout sa prestance, de toute sa beauté l'homme se tordre de douleur sous ses yeux. Elle aimait ça, faire souffir, et admirait son travail de torture. Elle leva le sortillège. Après tout, la Belle aimait jouer avec ses proies avant de leur affliger le coup mortel, la mort... Il se releva et la regardât un instant avec de lui rebondir dessus. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'elle sentit des lèvres se posaient sur les siennes et lui volaient un baiser. Naturellement elle y répondit fougueusement et sentît en même temps une étreinte autour d'elle. Elle lâchât sa baguette, et mit sa main derrière la nuque de la jeune pomme. Elle fermât les yeux pour profiter de cet instant. Il embrassait tellement bien, il était tellement beau, tellement violent avec elle. Et surtout tellement imprévisible !! La Belle adorait ça.

Ils s'embrassèrent pendant au moins 5 bonnes minutes, l'un collait contre l'autre puis soudain on frappa à la porte. Elle repoussa violemment et s'en le ménager Torben et se dirigeât vers la porte. Elle réajustât sa cape et sa coiffure et entrouvrît la porte. Derrière cette dernière se trouvait madame Rosmerta, qui essayait de voir ce qui se passait dans la pièce..

'-C'est pour quoi?'

'-oh, euh, désolé, on a entendu du bruit et on s'est dit que...Et comme Torben est monté dans votre chambre...Excusez ma curiosité mais tout va bien ici?'

'-Du bruit ici? Certes et alors? En quoi cela vous concerne-t-il? Torben? Maintenant vous surveillez vos client? Et bien, oui, il est ici, avec moi dans cette chambre, je vous laisse deviner pourquoi...Ah moins que vous ayez besoin d'un dessin...Maintenant, mêlez-vous de vos affaires et fichez moi le camps d'ici !! Je ne veux plus être dérangée à l'avenir est-ce clair?'

Son ton était si cruel, si sec, qu'il déconcertât l'haubergiste. Elle ne sût quoi répondre et bégaya un simple :

'-Je...désolée...Oui, un dessin...enfin non...pas doutez que vos ébats amoureux...autant de bruit...bref, bonne soirée'

Elle tournât les talons avant de s'enfuir à moitié en courant dans le couloir.
La Rose fermât la porte à clef, récupérât sa baguette à terre. Elle lança deux sorts sur la porte, un pour la fermer par magie, l'autre pour qu'aucun son ni bruit ne puisse passer à travers les murs de la chambre. Elle sentit derrière elle, sur sa nuque un souffle, au moment où elle accomplissait ce dernier...

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Torben fut surpris de sentir que Krystel répondait avec fougue à ses baisers. Un instant plus tôt, elle semblait prête à lui lancer l'Avada Kedavra et maintenant elle semblait le désirer. Une femme pleine de contraditcions cette Krystel. Et totalement imprévisible. Il entendit un petit bruit, comme un bout de bois qui tombe au sol sur le parquet, et le mangemort sentit la main de la jeune femme venir sur sa nuque, le maintenant pour prolonger l'étreinte. Elle semblait plutôt satisfaite de la situation et n'arreta pas de répondre à ses baisers passionnés. L'instant sembla durer une éternité, Torben ne voulait pas gâcher ce moment. Il ne voulait rien d'autre qu'être avec elle. Malgré la violence dont ils avaient fait preuve l'un envers l'autre, il se sentait plus proche d'elle que bien des femmes qu'il avait recontré dans le passé. Une tristesse commune semblait les rapprocher.

Mais quelqu'un le fit en toquant à la porte. Il allait faire éclater sa colère lorsque Krystel décolla ses lèvres des siennes et semblait encore plus. Elle le repoussa et se dirigea vers la porte, furieuse. Torben plaignait la personne qui avait oser faire ça, car elle allait subir les orions de la belle brune. La porte s'ouvrit à la volée et il entendit la voix peu assurée de Mme Rosmerta. Toujours à le couver celle-là. Elle le prenait pour qui sérieusement? D'accord ils avaient sympathiser, mais de là à prendre soin de lui comme ça....

La belle Krystel lui lança une réplique acide, ne semblant pas gênée le moins du monde par la situation. Elle dit la vérité à Mme Rosmerta, qui semblait un peu perdue. C'est vrai que la jeune femme n'y était pas allée de main morte. Dire ainsi, presque en le criant, qu'elle couchait avec un des résidents de l'auberge. Elle l'avait envoyer dans les roses en lui disant claiement les raisons de tout ce boucan. Enfin, les futures raisons pensa Torben en souriant. Ils n'avaient encore rien fait. Bientôt. Il sentit l'envie naître en lui, une envie irresistible de passer la nuit avec cette femme. Le désir de lui donner du plaisir. Il se leva du lit et alla voir Krystel. Il s'immobilisa dans son dos, et posa délicatement les mains sur le bassin de la mangemorte. Il couvrit son cou de baisers brûlants

- On en était où déjà?

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...Elle sentit derrière elle, sur sa nuque un souffle, au moment où elle accomplissait ce dernier. Des mains se posèrent alors sur sa taille, et des baisers hardent dans son cou. Elle penchât légèrement la tête vers la gauche pour que le Mangemort puisse lui en faire plus facilement, et posa ses mains sur les siennes. Il lui demandât alors où il en était alors, avant d'être dérangés. En fait, la Belle na savait plus trop. Il y a peine 15 minutes, elle le désirait. Puis, il y a 10 minutes, elle voulait sa mort. En enfin, il y a 5 minutes, elle répondait à ses baisers. Alors, où ils en étaient, elle en avait aucune idée, mais bah, après tout, pourquoi ne pas profiter un peu du moment présent? Après tout, elle n'avait de compte à rendre à personne et s'il continuait de la désirer (ce dont elle était sûre, vu les baisers qu'il lui faisait en ce moment même) pourquoi ne pas se laisser aller? Mince à la fin, elle était aller le chercher après tout. EN plus, il avait désaoulé, quoi demander de mieux???

Elle se retournât alors et le regardât dans les yeux. Elle mit une main sur sa taille, et laissât la deuxième vagabonder sur son torse. Elle se rapprochât de lui, lentement, très lentement, très très lentement. Elle fit mine de l'embrasser, mais recula un peu sa tête. Elle voulait un peu jouer avec, le faire languir, qu'il prenne les choses en main comme il venait de le faire. C'est ça qu'elle aimait. Elle le fit deux-trois fois, puis l'embrassât enfin. Elle le jetât très vite cependant, au plus grand mécontentement de Torben. Ils ne s'éffleurèrent juste que leurs lèvres. Elle le repoussât un peu avec violence et lui tournât le dos, pour se diriger vers la salle de bain. Elle fît attention de ne pas marcher sur les morceaux de miroir brisés, pour ne pas se couper. Elle tournât les deux robinets d'eau de la baignoire et bouchât cette dernière. Elle balançât le savon dans l'eau qui commençait à remplir la grande baignoire. Elle se retournât et vit sa pomme la dévorait des yeux, qui s'approchait de la salle de bain. Elle le regardât et se mordillât la lèvre, pour lui montrer qu'elle le désirer aussi, et pas qu'un peu. La Belle eut alors une idée, pour agrémenter le jeu, pourquoi un petit strip-tease?? Elle enlevât sa cape devant lui, dégrafât son soutient-gorge noir, et le laissât tomber par terre. Puis, elle enlevât son petit string noir, avec des dentelles roses dessus, et se retournât très gracieusement. Elle fermât les robinets d'eau car la baignoire était pleine. Elle y entrât et une fois allongeait dedans fermit ses yeux. La Belle ne voulait penser à rien, à rien du tout...

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Torben embrassait le cou de la jeune femme avec passion et celle-ci inclina la tête pour mieux profiter de l'instant. Lentement, elle se retourna, ce qui mit fin aux baisers dans le cou et elle plongea son regard dans le sien. Elle avait de si beaux yeux, si profonds, Torben avait bien envie d'aller s'y noyer. Elle se rapprocha de lui avec lenteur, de façon à faire durer l'attente, qui provoquait encore plus d'envie chez le jeune estonien, qui était à bout de patience. Krystel approcha ses lèvres des siennes et fit mine de l'embrasser, mais recula au moment où elles allaient se toucher. Elle avai un petit sourire aux lèvres, qui fit sourire Torben à son tour. Ah c'est comme ça....

Elle recommença son petit jeu plusieurs fois, mais Torben se laissa faire et donna un court instant de répit à la jeune femme, avant de reprendre le contrôle de la situation. Finalement, elle l'embrassa mais le repoussa très rapidement. Lassé, Torben allait la prendre dans ses bras et l'embrasser avec fougue, mais elle s'éloigna et entra dans la salle de bain. Quelques secondes plus tard, l'eau commençait visiblement à couler dans la baignoire car Torben pouvait entendre le léger calpotis de l'eau, qui remplissait le bassin. Intrigué, le jeune homme s'avança et s'arreta dans l'encadrement de la porte. Ce qu'il vit lui fit chavirer le coeur et lui fit monter le rouge aux joues. Sensations qu'il n'avait plus ressenties depuis des lustres. Puis, sa Belle se retourna et le vit. Une lueur de malice passa dans ses yeux et elle commença à se déshabiller. Torben crut qu'il allait en devenir fou. Finalement, elle entra dans le baquet, et Torben se prépara à y entrer à son tour.

Il la rejoingnit rapidement, ce qui fit déborder légèrement la baignoire, car elle n'était pas prévue pour que deux corps s'y baignent... ou autre chose. Il lembrassa d'abord doucement, lui capturant la lèvre inférieure. Il l'enlaça et caressa le corps de la jeune femme sous l'eau. Il sentit le corps de Krystel frémir sous lui. Il pouvait sentir le désir qui l'habitait et se dit que finalement, ils avaient enterré la hache de guerre. D'une bien jolie façon d'ailleurs. Torben laissa aller ses baisers sur tout le corps de Krystel, de façon à faire encore monté l'envie et le désir de sa maîtresse.

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Krystel entendit Torben arrivait malgré le fait qu’elle ai les yeux fermaient. Non pas qu’il faisait beaucoup de bruit. Pas du tout, mais elle entendit la clapotement de l’eau et elle sentit la baignoire se vider un peu de son eau quand il s’y plongea entièrement. Elle n’ouvrit pas pour autant les yeux. Non, elle voulait le laisser faire. Et la Belle ne fût pas le moins du monde déçue, bien au contraire. Sa Pomme la couvrait de baisers sensuels tout son corps. Il plongeait de temps à autre sa tête sous l’eau. Cela pourrait paraître un peu pareil banal mais quand on a les yeux fermaient alors là, le jeu prennait tout son sens. A chaque fois que les lèvres du mangemorte touchaient sa peau douce et soyeuse, elle frissonnait de plaisir et de surprise. Elle adorait ça. Non, plutôt elle aimait ça. Elle laissait échapper de temps à autres quelques petits soupirs de plaisir. Nan, elle avait bien fait de ne pas le tuer tout à l’heure…

En parlant de mort, pour une fois Krystel n’allait pas jouer à la mante religieuse. En effet, comme cet insecte, elle avait tendance à tuer ses amants après en avoir fini avec eux. Mais là, non, elle ne le ferait pas. Après tout, ce serait avec plaisir qu’elle reprendrait Torben dans ses draps ou dans ses bains. Et qui ne lui disait pas qu’ils repasseraient pas des nuits torrides ensemble ? Après tout, la Belle vivait au jour le jour. Elle aimait ne pas savoir ce que lui réservé l’avenir. Personne ne sait de quoi demain est fait, alors pourquoi se prendre la tête et ne pas vivre intensément le moment présent ? Et qui sait, peut-être qu’il y aurait plus avec cet homme plus tard que de simples aventures d’une nuit ? On ne sait jamais ? Mais, bref, l’enseignante ne voulait pas se prendre la tête sur ça et profiter de la nuit qui venait à peine de commencer…

Par contre, là, elle commençait à s’ennuyer. Et oui, c’est qu’elle se lasse vite la Belle Demoiselle. 10 minutes que ce jeu se déroulait et elle en avait déjà marre. C’est comme ça avec elle. Elle n’aime pas la routine, elle aime changer. Elle repoussa sans ménagement le mangemort. Par contre, ça elle adore le faire, car elle voyait fort bien comment cela embêté sa Pomme et cela montrait donc qu’il la désirait plus que tout en cet instant ^^. Elle ouvrit ses magnifiques yeux noisette et il s’y plongea immédiatement dedans sans demander autres choses, totalement hypnotisé par ces derniers si envoûtant pour les hommes. Elle maintenait toujours l’homme loin de sa délicate peau par ses bras tendus. Tout en le regardant elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait bien faire. Qu’il était beau Torben, avec ses cheveux mouillés, et les goûtes d’eau qui ruisselait sur son torse et sur son magnifique visage. Elle le redressa dans le bain moussant. Elle caressa lentement, d’un geste plein de douceur son visage. Sa peau était si douce, si tendre, si belle, si agréable au contact. Tout en lui lui plaisait.

Elle approcha sa tête de ses lèvres. Elle l’embrassa tendrement. Son baiser était plein de fougue, de passion, de désir, de douceur aussi. Elle aurait pus l’embrasser une éternité, et elle sentait qu’il ne demanderait que ça lui aussi. Elle rompit ce baiser langoureux au bout d’une dizaine de minutes, puis elle prit sa Pomme dans ses bras. Il y un léger frémissement quand elle fit ce geste. Elle lui caressa le dos, le griffant de temps à autres, tout en lui offrant des baisers dans le cou, sur les joues, sur son front, sur le coin de ses lèvres. Puis, s’écartant un peu de lui, elle s’attaqua à son torse. La Rose le mordilla, embrassa avec sa langue ou sans sa peau. A chaque fois que ses lèvres touchaient son torse, sa Pomme avait des frissons. Elle prit tout son temps, laissant des grands intervalles entre chacun de ses ‘cadeaux’. Elle voulait qu’il savoure ce moment à juste valeur. Chose rare, c’est elle qui offrait du plaisir à quelqu’un alors que d’habitude, elle ne le fait pas, c’est à son partenaire de le faire et non pas elle.

Au bout d’une quinzaine de minutes, elle se stoppa. Il avait assez profité, à elle maintenant, après tout, c’était elle qui était aller le chercher, et lui qui l’avait rejoint donc, c’est donnant- donnant, enfin, plus recevant que donnant chez elle, mais c’était là tout son charme et son attirance. L’enseignante n’était pas une femme facile, mais plus fatal qu’autre chose, il ne faut l’oublier. Elle se rallongea dans l’eau du bain, seule sa tête dépassée de la surface. Ses cheveux ondulaient gracieusement dans l’eau de la baignoire. Elle fermit un instant ses yeux et plongea sa tête dans l’eau. Elle y resta un peu puis refit surface, mais toujours, juste la tête en dehors de l’eau. Elle enleva d’un geste les goûtes de son visage et dit alors :

-Et bien, mon beau. J’espère que tu as bien profité, car à moins que tu ne trouves une chose qui pourrait me faire plaisir, je ne vois aucunes raisons que tu restes dans mon bain…Après tout, je suis, comme tu me la si bien dit tout à l’heure, pas à ta hauteur. Bien que je doute fort que tu le penses encore….’

Elle le cherchait, il n’y avait pas photos. Elle ne voulait pas qu’il parte, juste qu’il reprenne un peu le contrôle de la situation. Comme pour lui montrer ceci, elle prit sa main, écarta ses doigts et les mis entre ceux de sa Pomme. C’était à lui de trouver quelque chose pour la séduire un peu plus, et elle ne doutait pas une seconde qu’il trouverait…

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