Seulement un petit verre [ Elia Snape ]

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Il était environ dix heures du soir. Un chat noir marchait dans le château de Poudlard. Il faisait la garde pour savoir s'il y avait des élèves ou autres dans Poudlard. Il venait tout juste de terminer son post. En effet, la directrice lui avait demandé de surveiller le château quelques jours de 8h à 10h pour voir s'il n'y avait pas d'adultes où autre dans le château. Dimitar avait accepté avec plaisir. Il n'avait pas grand-chose à faire, surtout qu'il ne donnait que deux cours. Mais bon, Dimitar venait de finir et il vut le professeur Flitwick prendre le relais.

Le chat noir lui se dirigeait vers le hall. Il passa les grandes postes du hall et se retrouva dans la noirceur du parc. Quelle idée avait-il derrière la tête? Mais bon, Dimitar quitta complètement l'enceinte de Poudlard et se retrouva à Pré-Au-Lard. Il rencontra quelques chats qu'ils connaissaient très bien maintenant. Dimitar repris sa forme humaine. Il avait une cape sombre et était habillé sombrement. Il transplana en direction de Londres.

Dimitar atterrit dans le chaudron baveur. Il n'y avait pas un chat et c'était le silence complet. On ne voyait que le serveur qui nettoyait les tables. Dimitar commanda une bierreaubeurre, boisson qu'il aimait bien. Le serveur lui apporta et Dimitar l'ouvrit et bu quelque gorger. Le professeur n'avait pas de rendez-vous et était seul, dans cette salle déserte de personne. Soudain, un groupe de 5 personnes rentra et prirent tous une place. Puis ensuite deux autres personnes. Étrangement, le lieu commençait à se remplir. Mais bon, le bulgare regardait autour de lui et vu alors une personne seul rentrer. Leur regard se croisa et Dimitar ressentit un frisson dans son dos. Il ne pourra pas expliquer cela. Cette personne était Elia Snape, une jeune femme que Dimitar ne connaissait pas encore, mais qui allait bientôt connaître...

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Elia n'allait pas très bien en ce moment. Elle avait peu de contacts avec des sorciers, ayant grandit dans l'univers moldu. Elle décida donc d'aller au chaudron baveur, endroit qui, même avec le retour de Vous-Savez-Qui, accueillait encore un bon nombre de sorciers. Se changer les idées, voilà ce dont elle avait besoin.

Elia entra dans le Chaudron Baveur. A peine entrée, elle croisa le regard d'un homme, seul.Il était assis, une bierreaubeurre à la main. Elia détourna son regard et alla s'installer dans un coin de la salle. Elle s'assit et commanda un Wisky-Pur-Feu.
Elle regarda les autres clients, appréciants le bruit des discussions, le brouhaha qu'elles provoquaient.
Lorsqu'elle fût servie, elle but quelques gorgées de sa boisson, tandis que son regard croisait à nouveau celui de l'homme qu'elle avait vue en entrant. Elle ne le connaissait pas, et elle se demanda un instant qui il pouvait être. Il était habillé de vêtements sombres, et la regardait de temps à autres.
Elle avala de nouveau quelques gorgées,
Queques instants plus tard, son regard se dirigea une fois de plus vers l'inconnu. Elle se demanda pourquoi, une fois de plus, ses yeux avaient tourné son regard vers lui. Elle avait l'impression qu'il lui voulait quelque chose...

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Dimitar fixait toujours la jeune femme qui s'était maintenant assis plus loin. Elle avait exactement les mêmes yeux qu'Harry Potter. Il ne savait, car il avait déjà rencontré le jeune Potter quelques fois et puis, il est connue. Dimitar finit sa bierreaubeure et se leva. Il laissa sa bierre là et avança vers la jeune femme. Il se tira une chaise et s'assit à sa table. Pourquoi il avait fait ça? Il avait simplement eu une envie de faire cela et il l'avait fait.

- Bonsoir charmante demoiselle! Je me prénomme Dimitar Krum et vous?

Il ne prononça que ça pour commencer avec un simple, mais très beau sourire. Il ria un peu avant de plonger son regard si beau et ses yeux verts dans les yeux aussi vert de la jeune femme. Il commanda également un Whisky pur feu par la suite. Le serveur lui emmena cela. Le silence régnait toujours entre les deux nouvelles rencontres.

- Vous vous demander certainement pourquoi je suis ici, mais c'est que vous m'intriguez. De plus être avec une belle demoiselle avec de si beaux yeux, n'est pas du tout laçant à regarder! Mais en fait, vous mettre familière chère demoiselle!

Effectivement, Dimitar avait déjà vu la jeune femme dans un rêve. C'tait exactement la même scène, sauf qu'il s'approchait de la table et l'embrassait et repartait du chaudron baveur par la suite. Dimitar N'avait jamais compris ce rêve et l'avait chassé. Mais aujourd'hui, ça lui revenait à la mémoire. Le professeur prit une grande gorger de son verre. Il se mit alaise et se calla un peu dans sa chaise. Il trouvait la femme belle et ne savait plus trop comment réagir ou faire quoi de se soit.

Soudain, un bruit le fit revenir à la réalité. Il se rassît comme il le faut et il la regarda toujours en attendant que celle-ci parle. Elle n'avait toujours pas parlé.

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Elia regarda un moment le jeune homme avant d'ouvrir la bouche. Accoster un sorcier inconnu en ces temps peu sûr était rare, aussi Elia fût surprise de voir arriver le jeune homme, s'asseoir et commencer à lui parler. Elle le regarda attentivement, se méfiant, mais il semblait seulement fatiguer après une dure journée, et d'avoir simplement besoin de se détenre.

- Elia..., dit-elle. Je m'appelle Elia...

Elle n'avait pas l'habitude de dire "Elia Snape". Tant qu'elle pouvait taire son nom, elle le faisait. Il était difficile de faire croire aux gens qu'on était contre le Seigneur des Ténèbres lorsqu'on s'appelait Snape. Les gens se font vite des clichés, à partir d'un nom où d'un milieu social. C'est ce qui arrivait lorsqu'Elia se présentait. C'est pour cela qu'Elia évitait de se présenter.
Elle bu quelques gorgées de son Wisky-Pur-Feu puis leva à nouveau les yeux vers l'homme en face d'elle, plongeant son regard vert dans le sien.

- Pourquoi...pourquoi dites-vous que je vous suis familière ?

Elia essaya de se rappeler si elle avait déjà vu l'homme auparavant, mais rien ne lui revint en mémoire. Elle attendait la réponse de Dimitar, curieuse de ce qu'il avait dit, et du fait qu'elle "l'intriguait". En général, elle passait inaperçu, du moins, elle y était habituée. Elle attendit donc, toujours en regardant le jeune homme.

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